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[Boutique] XtremIllusion


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Publié le

Salut Hrej, désolé si je t'ai vexé, mon propos était pour montrer que derrière le coté artiste ce cache une démarche mercantile de premier plan.

Je n'ai rien contre les ratissants, loin de là, mais l'artisant fait ce qu'il vend, l'artiste vend ce qu'il fait.

Pour répondre à Amagie : la différence avec un site de marchand, c'est que tu as accès à la magie en payant, les explications de techniques qui ne t'appartiennent pas n'est pas déantologiquement correcte.

Pour donner une métaphore simple : Voler le sac d'une vieille dame n'est pas correcte non plus, mais l'acheter l'est.

Pourquoi ce site n'explique t'il pas le flying de David :-) j'ai ma petite idée...

Notre magie à comme base le secret.

Carl Valentin

Magicien : mon rêve, ma passion, mon métier.

Publié le

Amagie,

On est bien d'accord sur le fait que la boutique en question ne vend pas forcément ses tours a un non magicien (et même a certains magiciens)! Mais il n'est pas question de cela dans ce sujet donc je t'envoie un MP ! ;)

Ps : J'espère que beaucoup de monde verra ce message : VICTORIA est mon nom de famille.... ;)

Publié le (modifié)

Je comprends ceux qui s'insurge contre le débinage ...

Ce que je comprends moins ... c'est qu'ils semblent s'insurger à géométrie variable ... lorsque c'est Alexandra Duvivier qui débine un tour à la TV on ne les entends plus ... c'est dommage ...

Y'aurait-il des tours que l'on peut débiner et d'autres pas ? Qui décide des tours que l'on peut débiner et ceux que l'on ne peut pas ?

A+

PS: peut-être étiez vous en vacance ... donc tapez ceci "[Télévision] Alexandra DUVIVIER et Sébastien FOLIN sur France 3" dans le moteur de recherche et vous trouverez 10 pages sur le sujet ...

Modifié par lapin
Publié le (modifié)
Je comprends ceux qui s'insurge contre le débinage ...

Ce que je comprends moins ... c'est qu'ils semblent s'insurger à géométrie variable ... lorsque c'est Alexandra Duvivier qui débine un tour à la TV on ne les entends plus ... c'est dommage ...

Il suffit de regarder le nombre d'amis que Val Valentino a dans la communauté magique, y compris de grands pros du monde entier, et pourtant lui, il a tout déballé...

l'émission a fait un réel succès a coup de millions de téléspectateurs, alors qu'un site , si on tape pas "magie" au minimum dans Google, on ne tombe pas dessus et au pire, 10 000 visiteurs sur 7 milliards d'habitants?

Au PGCDM, les côtés de la scène sont ouvert et il y a du public, ils voient tout, réponse de Patrick Sébastien, tu travailles pour 5 millions de personnes, pas pour 100 personnes sur le côté, c'est le même discours

Modifié par Amagie
Publié le
Je comprends ceux qui s'insurge contre le débinage ...

Ce que je comprends moins ... c'est qu'ils semblent s'insurger à géométrie variable ... lorsque c'est Alexandra Duvivier qui débine un tour à la TV on ne les entends plus ... c'est dommage ...

Y'aurait-il des tours que l'on peut débiner et d'autres pas ? Qui décide des tours que l'on peut débiner et ceux que l'on ne peut pas ?

Bah justement oui !

Entre débiné un tour simple dont on ne connait pas l'auteur, tellement l'effet et vieux et connus. Et révéler le numéro d'un magicien contemporain qui gagne sa vie entre autre sur ce tour ou cet effet. Et cela sans son accord. Il y a tout de même une différence !

De plus Alexandra en explique 1. Alors que le site d'Xtremillusion en est remplit...

Publié le

Bah justement oui !

Entre débiné un tour simple dont on ne connait pas l'auteur, tellement l'effet et vieux et connus. Et révéler le numéro d'un magicien contemporain qui gagne sa vie entre autre sur ce tour ou cet effet. Et cela sans son accord. Il y a tout de même une différence !

Où est la différence ? Les tours connus des vieux schnocks des cimetières font partie du patrimoine magique, autant que les grandes trouvailles contemporaines. Combien gagnent leur tartine en se servant encore des trucs et principes des dinosaures ? peut-être un peu plus que les inventeurs d'un tour pour une personne. Cracher dans la soupe à papy, si vieille et si connue (de qui ?) ce n'est pas beau non plus, car il y en a dans de nombreuses assiettes. Vos assiettes ...

Soupe populaire servie avec de vieux légumes volés...

T'as vu ? Y'en a plus !

Publié le (modifié)

Lapin,

En ce qui me concerne que ce soit Alexandra Duvivier, Gaëtan Bloom, sylvain Mirouf, Antonio, Georgio ou un inconnu... ne change rien au fait que le débinage reste du débinage et ces gens n'ont aucune excuse car notre art repose sur le secret.

Les débineurs ne se rendent pas compte de ce qu'ils font et ça les rends d'autant plus dangereux pour notre métier.

Ce que je préfère c'est l'argument de la promotion de la Magie.... Qui à intérêt à ce qu'il y ait beaucoup de Magiciens?, si vous observez bien, les débineurs ont toujours quelque à vendre, du matériel, des dvd, des livres, où bien.... Eux et leur ego.

Modifié par Wanda & Viktor
Invité
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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
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