Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

"L'acide désoxyribonucléique : support de stockage ultime de l'humanité ?"


Recommended Posts

Le bouquin développe ensuite une réflexion sur les stratégies que devrait adopter une Intelligence Artificielle non organique de taille cosmique pour assurer sa pérennité, sa survie, lors d'un hypothétique Big Crunch. En gros, il lui faudrait permettre l'éclosion d'un nouveau Big Bang intégrant des valeurs si précises aux constantes physiques qu'elles permettraient inéluctablement d'engendrer la vie, donc à terme des créatures comme l'homme capables d'inventer des machines et ainsi de suite, en un cycle de l'éternel retour...

Là c'est plus de la science, c'est de la fiction... mdr

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Là c'est plus de la science, c'est de la fiction...

Exactement.

D'ailleurs, peu de "sciences" ont été dites depuis le début..

Et concernant la singularité technologique :

J'ai bien aimé une phrase trouvé je ne sais plus où :

"la Singularité, délires d'adolescents attardés refusant de voir que la réalité n'est pas conforme à leurs livres de SF ou conceptions visionnaires ?"

Il faut juste être nuancé pour ne pas rentrer dans le ridicule d'un délire digne d'une série B de science fiction.

"Celui qui vise le soleil au zénith, bien qu'il soit sûr de ne jamais atteindre sa cible,

est assuré de tirer plus haut que celui qui se contente de viser un buisson"

_________________________

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Oui Kristo, d'autant plus que rien n'est suggéré sur ce qui pourrait permettre d'agir sur les valeurs d'un Big Bang à venir :crazy::confused: , l'auteur nous laisse avec cette idée que tout cela ne peut que nous échapper puisque notre intelligence humaine est à des années-lumière ;) de cette Intelligence Artificielle imaginaire.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

"la Singularité, délires d'adolescents attardés refusant de voir que la réalité n'est pas conforme à leurs livres de SF ou conceptions visionnaires ?"

Il faut juste être nuancé pour ne pas rentrer dans le ridicule d'un délire digne d'une série B de science fiction.

Pas d'accord, mais ça on en parle plutôt là.

On est pas loin d'une machine à intelligence humaine (et 20 ans de plus pour qu'elle soit à taille humaine); les puissances de calcul sont multipliées par 1000 tous les 20 ans.

Oui Kristo, d'autant plus que rien n'est suggéré sur ce qui pourrait permettre d'agir sur les valeurs d'un Big Bang à venir :crazy::confused: , l'auteur nous laisse avec cette idée que tout cela ne peut que nous échapper puisque notre intelligence humaine est à des années-lumière ;) de cette Intelligence Artificielle imaginaire.

Oui, on peut évidemment douter que même une intelligence supérieure puisse influer en quoi que ce soit sur le sort de l'univers, mais surtout, ces problèmes ne sont pas du tout de la même échelle.

La machine à intelligence humaine (et le dépassement de la singularité technologique) sont pour très bientôt : de l'ordre de quelques années ou dizaines d'années.

Le bouleversement que ça pourrait occasionner (sans parler de tous les autres chocs qui seront causés par l'épuisement des ressources naturelles, le dérèglement climatique, la bêtise humaine etc) est relativement proche même à l'échelle humaine.

Alors que la fin de notre univers, c'est pas avant dix ou vingt milliards d'années : il reste un peu plus de temps mdr

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 months plus tard...

Oui, ADN = Acide DesoxyriboNucléique.

L'ADN stocke déjà toutes les informations du vivant.

Cette molécule se réplique et se transmet d'une génération à l'autre ce qui lui permet d'être immortelle.

Et maintenant un texte extraordinaire pour comprendre l'origine de la vie. Ce texte a fait bcp parlé de lui à l'époque. Quand je l'ai lu la première fois j'ai trouvé ça génial.

Extrait du chapitre 2 "Les réplicateurs" du livre "LE GENE EGOÏSTE"

DE RICHARD DAWKINS :

... A un certain moment, il se forma dans cette soupe originelle, par accident, une molécule particulièrement remarquable. Nous l'appellerons le réplicateur. Ce n'était pas forcément la plus grande ou la plus complexe des molécules des environs, mais elle avait l'extraordinaire propriété de pouvoir créer des copies d'elle-même. Cela peut paraître invraisemblable; c'est pourtant ce qui arriva. C'était hautement improbable.

... En réalité, une molécule qui produit une copie d'elle-même n'est pas aussi difficile à imaginer qu'il y paraît tout d'abord. Une seule suffit. Imaginons le réplicateur comme un moule, ou un gabarit, une grande molécule consistant en une chaîne complexe de différentes sortes de pierres formant la base des molécules. De telles petites pierres sont nombreuses dans la soupe entourant le réplicateur. Supposons maintenant que chaque pierre ait une affinité avec sa propre espèce. Ainsi, quand une pierre venant d'ailleurs tombe à un endroit du réplicateur avec lequel elle a une affinité, elle tendra à rester à cet endroit. Ces pierres de base qui se fixent ainsi elles-mêmes seront automatiquement disposées selon une séquence qui copiera le réplicateur lui-même. Il est alors facile de penser qu'elles se joindront pour former une chaîne stable, comme lors de la formation du réplicateur originel. Ce procédé continue en un empilage progressif, couche après couche : c'est ainsi que les cristaux se forment. D'autre part, les deux chaînes peuvent se séparer. Dans ce cas, nous avons deux réplicateurs, et chacun continue de faire d'autres copies. Une autre possibilité, plus complexe, est que chaque pierre de base ait une affinité non pas avec sa propre espèce, mais avec une autre espèce particulière qui serait à son tour attirée par elle. Le réplicateur agirait alors comme un gabarit, non pour une copie identique, mais pour une sorte de « négatif », qui à son tour referait une copie exacte du positif original. Le fait que le procédé original de copie soit positif-négatif ou positif-positif nous importe peu. Il faut pourtant remarquer que les équivalents modernes du premier réplicateur, les molécules d'ADN, utilisent le système positif-négatif. Ce qui compte, c'est l'arrivée soudaine d'une nouvelle sorte de « stabilité » dans le monde. Auparavant, il est probable qu'aucune sorte particulière de molécule n'ait été abondante dans la soupe, parce que chacune de ces molécules dépendait des pierres de base tombées au hasard dans une configuration particulière et stable. Ainsi, dès après sa naissance, le réplicateur a rapidement distribué ses copies à travers les mers, jusqu'à ce que les plus petites pierres de base moléculaires deviennent un matériau rare et que la formation de molécules plus grandes diminue de plus en plus.

Nous avons maintenant, semble-t-il, une importante population de répliques identiques. Pourtant, comme dans tout procédé de copie, aucune n'est parfaite. Il y a des erreurs. J'espère que ce livre ne contient pas de « coquilles », mais en cherchant bien vous en trouverez certainement une ou deux. Elles ne changent pas sérieusement le sens des phrases, ce ne sont que des erreurs de « première génération ».

En tout cas, pour la copie des réplicateurs biologiques, l'erreur peut réellement être bénéfique, comme nous le verrons. Elle a été essentielle pour l'évolution progressive de la vie. Nous ignorons de quelle manière le réplicateur de molécules originel faisait ses copies, mais leurs descendants modernes, les molécules d'ADN, sont étonnamment fiables comparés aux procédés humains de copie les plus raffinés, bien qu'ils commettent aussi des erreurs de temps à autre. Ce sont ces erreurs qui rendent l'évolution possible. Les réplicateurs originels étaient certainement bien plus capricieux, mais en tout cas nous pouvons être sûrs que des erreurs furent commises et qu'elles s'accumulèrent.

Comme de mauvaises copies furent faites et répandues, la soupe des premiers âges se trouva envahie par une population non pas de répliques identiques, mais de plusieurs variétés de répliques de molécules, « descendant » toutes du même ancêtre. Certaines variétés furent-elles plus nombreuses que d'autres? Il est presque certain que oui. Il y en avait de plus stables que d'autres ; certaines, une fois formées, étaient moins sujettes à se briser. Des molécules de ce type sont donc devenues relativement nombreuses dans la soupe : elles vivaient plus longtemps et avaient par conséquent plus de temps pour faire des copies d'elles-mêmes. Les réplicateurs de haute longévité se sont ainsi multipliés et, toutes choses étant égales par ailleurs, il y eut une « tendance évolutionnaire » vers une plus grande longévité dans la population des molécules.

Mais quelques conditions ne furent sans doute pas égales, et une autre propriété d'une variété de réplicateurs dut avoir encore plus d'importance pour sa dispersion dans la population : ce fut la vitesse de reproduction ou «fécondité». Si un réplicateur de type A fait en moyenne une copie de lui-même par semaine, tandis que le réplicateur de type B en fait une par heure, il n'est pas difficile de constater que les molécules de type A seront très vite en nombre inférieur, même si elles « vivent » bien plus longtemps que les molécules de type B. Il y a donc eu sans doute une « tendance évolutionnaire » vers une plus grande « fécondité » des molécules dans la soupe. Une troisième caractéristique des réplicateurs est la précision de la copie. Si des molécules de type X et de type Y ont la même durée de vie et se copient à la même vitesse, mais si X fait en moyenne une erreur toutes les cent copies, les molécules de type Y deviendront évidemment plus nombreuses. Le contingent X de population perd non seulement les « enfants » mal formés, mais aussi leurs descendants, réels ou potentiels.

Si vous avez déjà une idée de ce qu'est l'évolution, ce dernier point peut sembler paradoxal. Pouvons-nous concilier le fait que les erreurs de copie soient une condition préalable essentielle à la marche de l'évolution avec l'idée que la sélection naturelle favorise la haute fidélité de la copie ? Je répondrai que si l'évolution peut vaguement sembler une « bonne chose », en particulier parce que nous en sommes le produit, en fait rien ne «demande» à évoluer. L'évolution est un phénomène qui arrive bon gré mal gré, en dépit de tous les efforts des réplicateurs (aujourd'hui des gènes) pour prévenir son arrivée. Jacques Monod analyse fort bien ce problème dans sa conférence sur Herbert Spencer, en faisant sèchement remarquer : « Un autre aspect curieux de la théorie de l'évolution est que chacun pense la comprendre ! »

Pour en revenir à la soupe originelle, comme les molécules individuelles avaient une vie assez longue ou se copiaient rapidement, ou encore se copiaient avec précision, elle se peupla de variétés stables de molécules. La tendance évolutionnaire vers ces trois sortes de stabilité agit dans le sens suivant : si vous aviez pris des échantillons de soupe à deux époques différentes, le dernier échantillon aurait contenu une plus grande proportion de variétés à hautes longévité, fécondité et fidélité. C'est essentiellement ce qu'un biologiste entend par évolution quand il parle de créatures vivantes, et le mécanisme est le même : c'est la sélection naturelle.

Devrions-nous alors appeler « vivant » le réplicateur originel de molécules? Qu'importe ! Je pourrais vous dire que « Darwin était le plus grand homme qui ait jamais vécu ». Vous pourriez répondre que « c'était plutôt Newton ». Mais je ne souhaite pas prolonger une discussion dont les conclusions ne débouchent sur rien. Les vies de Darwin et de Newton restent inchangées, quel que soit le qualificatif. De même, l'histoire des réplicateurs s'est probablement déroulée comme je viens de l'expliquer, que nous les appelions «vivants » ou non.

... Quoi qu'il en soit, « vivants » ou non, les premiers réplicateurs furent les ancêtres de la vie - nos ancêtres.

Je parlerai maintenant de la compétition, abordant un point très important de mon exposé. Le sujet a été étudié par Darwin lui-même, bien qu'il l'applique aux plantes, aux animaux et non aux molécules. La soupe originelle n'était pas capable de supporter un nombre infini de réplicateurs. D'abord, parce que la taille de la Terre est finie ; ensuite, pour d'autres raisons tout aussi importantes. Dans notre description du réplicateur agissant comme un gabarit ou un moule, nous avons supposé qu'il baignait dans une soupe riche en petites molécules de base, pierres nécessaires à la fabrication des copies. Mais lorsque les réplicateurs devinrent nombreux, les pierres de base furent sans doute employées en si grand nombre qu'elles devinrent un matériau rare et précieux. Des variétés ou des lignées différentes de réplicateurs ont dû lutter pour les avoir. Nous avons étudié les facteurs qui pourraient avoir accru le nombre de variétés favorisées de réplicateurs. Nous constatons maintenant que les variétés les moins favorisées sont devenues moins nombreuses à cause de la compétition, et qu'à la fin beaucoup de leurs lignées ont disparu. La lutte pour l'existence existait déjà parmi les différentes variétés de réplicateurs. Ils ne savaient pas qu'ils luttaient, et ne s'en inquiétaient pas. La lutte n'était animée par aucun mauvais sentiment. En fait, par aucun sentiment d'aucune sorte. Mais ils luttaient, en ce sens qu'une erreur de copie ayant pour résultat un plus haut degré de stabilité ou un nouveau moyen de diminuer la stabilité des rivaux était automatiquement conservée et multipliée. Le processus d'amélioration fut cumulatif. Les moyens d'accroître sa propre stabilité et de diminuer celle du rival devinrent plus élaborés et plus efficaces. Il fut possible de briser chimiquement les molécules des variétés rivales et d'utiliser les pierres de base rendues disponibles pour faire ses propres copies. Ces proto-carnivores obtenaient simultanément nourriture et élimination de leurs rivaux. D'autres réplicateurs découvrirent peut-être comment se protéger eux-mêmes, soit chimiquement, soit en construisant un mur physique de protéines autour d'eux. C'est peut-être ainsi que les premières cellules vivantes apparurent. Les réplicateurs commencèrent non seulement à exister, mais aussi à se construire des enveloppes, des véhicules pour leur survie. Les réplicateurs qui survécurent furent ceux qui construisirent des machines à survie pour y vivre. Les premières machines à survie plus élaborées et plus efficaces. Ainsi, suivant un procédé cumulatif et progressif, les machines à survie devinrent plus spacieuses et plus raffinées.

Devait-il y avoir une fin à l'amélioration graduelle des techniques et artifices utilisés par les réplicateurs pour assurer leur propre continuité dans le monde ? Cette amélioration a disposé de beaucoup de temps pour progresser. Quels étranges engins d'autoprotection les millénaires apportèrent-ils ? Après quatre milliards d'années, que sont devenus les anciens réplicateurs ? Ils ne sont pas morts, puisqu'ils étaient passés maîtres dans l'art de la survie. Mais ne cherchez pas à les voir flotter librement dans la mer. Il y a longtemps qu'ils ont abandonné cette liberté désinvolte. Ils fourmillent aujourd'hui en grandes colonies, à l'abri de gigantesques et pesants robots, isolés du monde extérieur, communiquant avec lui par des voies tortueuses et indirectes, et le manipulant par commande à distance. Ils sont en vous et en moi. Ils nous ont créés, corps et âme, et leur préservation est l'ultime raison de notre existence. Ils ont parcouru un long chemin, ces réplicateurs. On les appelle maintenant « gènes », et nous sommes leurs machines à survie.

Modifié par Melvin

Melvin

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

(...) j'ai trouvé ça génial.

Effectivement, un texte qui laisse à penser...

Merci Melvin

JaB

~~~~~~~~~~

Le monde n'est pas ce que vous croyez, voyez, sentez, touchez, entendez .. !

1/Si temps R. (temps du réel) = V. (temps du virtuel) =/ R. (temps du réel),

2/ Alors temps RV. ?(temps de la réalité virtuelle) = V.=R.

3/ Et temps RA. (temps de la réalité augmentée) = [(RV. * RV.)*w.] / T.

#

L'illusion est parfaite !

Réveillez-vous,.. éveillez votre entourage...

RêveSolutions.. !

http://expositions.bnf.fr/utopie/index.htm

Si l’utopie traduisait l’impossible, la vie, l'humain n'existeraient pas.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 months plus tard...

Un groupe de scientifiques anglais affirme avoir découvert dans la haute atmosphère une sphère de métal microscopique contenant de la matière organique qui aurait été envoyée sur terre par une civilisation extraterrestre pour « ensemencer » notre planète. Cela s’apparente plus au début d’une nouvelle de science-fiction qu’à de la science pure et dure… et pourtant.

La NASA a aussi lancé un programme de recherche comparable et cette découverte coïncide à quelques mois près avec la création par des scientifiques britanniques et japonais de l’Institute for the Study of Panspermia and Astroeconomics (L’Institut pour l’étude de la Panspermie et de l’Astroéconomie) dont l’objectif est de prouver que la vie sur terre vient du cosmos.

Article complet à lire ici :

http://www.slate.fr/story/98219/spheres-metal-microscopiques-adn-vie-terre#xtor=RSS-2

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

"La mystérieuse balle de métal a été photographiée expulsant une substance biologique qui selon les scientifiques pourrait être du matériel génétique"

On est donc pas certain qu'il s'agit d'ADN et pourtant facile de vérifier avant de sortir une telle info !

«une balle de la largeur d’un cheveu humain qui a des filaments à l’extérieur et du matériel biologique en son centre».

Matériel biologique : ce peut-être n'importe quelle molécule organique et pas forcément de l'ADN. Etonnant qu'une analyse plus précise n'ait pas été faite.

"Il ajoute que la balle découverte a laissé un impact sur le ballon «ce qui prouve qu’elle arrivait sur terre de l’espace. Un organisme venant de la terre ne se serait pas déplacé à une telle vitesse en retombant et n’aurait pas eu un tel impact…».

Dans l'espace il y a plein de trucs humains en métal, touché par des humains et qui retombent souvent sur la Terre.

L’Institut affirme que: «les institutions scientifiques ont combattu ces théories mais maintenant des preuves venant de météorites, de bactéries dans l’espace et d’observations rendent cette résistance moins forte. Prouver que la terre est dans un échange constant de matière avec le cosmos aura des implications pas seulement pour notre identité, mais aussi nous apportera des connaissances sur les virus extraterrestres ce qui peut être important pour notre évolution et notre survie».

Des bactéries dans l'espace ????????

D'où cet institut tire-t-il ces infos ?????

Etrange cette histoire !

Modifié par Melvin

Melvin

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Messages

    • Je continue les comptes-rendus en temps réel à coup fe photos et vidéos.  Voici quelques images.  Pour suivre mes aventures c'est ici   
    • Bonjour  il s’agit de la version mayfair : un peu plus haut de gamme en terme de fabrication, cuir brun,  épuisé.  Accompagné de deux dvd. Neuf.  70€ via mondial relay    Le Stealth Assassin Wallet Mayfair Edition est le premier produit à obtenir le magnifique traitement Alakazam London Collection. Le nouveau portefeuille Stealth Assassin Mayfair Edition a été fabriqué en cuir marron de haute qualité, qui est complété par une doublure marron foncé (la combinaison du cuir marron avec la doublure marron foncé est une pure perfection). Conçu pour l'artiste élégant, le portefeuille Stealth Assassin Mayfair respire le style et la sophistication et montre que vous avez un bon goût pour vos accessoires. Rempli de toutes les fonctionnalités que vous avez appris à aimer à propos de l'Assassin, mais maintenant avec beaucoup plus de classe ! L'Assassin original est parfait pour ces performances impromptues (c'est exactement ce pour quoi Peter l'a conçu), mais l'édition Mayfair est conçue pour le mentaliste habillé plus formellement et n'aura pas l'air déplacé d'être retiré de la poche de votre costume élégant et pointu. Peter a initialement publié 100 Assassins bruns lorsqu'il a lancé le portefeuille Stealth Assassin original et tous, à l'exprès de 5, ont été vendus en un rien de temps super rapide. Les cinq autres ont été conservés comme réserve privée de Peter. Maintenant, vous aussi, vous pouvez posséder l'un des meilleurs portefeuilles de mentalisme à avoir jamais frappé les marchés de la magie et du mentalisme dans la nouvelle édition marron cool de Mayfair. Il est temps d'améliorer votre jeu et votre style avec le nouveau portefeuille Stealth Assassin Mayfair Edition. Livré complet avec : Le portefeuille Stealth Assassin Mayfair Edition Les DVD originaux du tutoriel Assassin, avec les routines de Peter Nardi et Marc Spelmann (beaucoup ont dit que ce sont les meilleurs DVD d'instruction sur un portefeuille Peek jamais créés)
    • Livre "Fabula Hermetika" de Christian Chelman Prix FDPI mondial relay avec assurance : 95 euros Livre en français, format 22 cm × 31 cm, 256 pages.
    • Aucun utilisateur enregistré actuellement en ligne
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8069
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Fred Performer
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      82.8k
    • Total des messages
      674.1k

×
×
  • Créer...