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Publié le

Bonjour,

J'ai recherché via le moteur de recherche interne de VM mais n'ai rien trouvé à ma question !

Je voulais savoir si vous aviez une technique quasi "infaillible" pour faire monter un spectateur sur scène. En effet je reçois, même si cela reste assez rare, quelques refus de la part de spectateurs pour monter sur scène.

Donc si vous avez quelques pistes à faire partager je suis preneur ...

Merci d'avance !

MAGIEcalement

Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques un... J.Brel

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Publié le

Tu demande à un spectateur de bien vouloir t'apporter un élément qui te serait utile (une chaise ....) et puis tu l'enchaines "Tiens bah pendant que vous êtes là" .....

Sinon va chercher toi même le spectateur dans le public .... jusqu'à lors je n'ai jamais rencontré de réticence de cette manière ... et les autres spectateurs sont tellement heureux de ne pas avoir été choisi qu'ils vont même t'aider à faire lever ton spectateur :)

Publié le (modifié)

Un premier truc est de bien repérer avant ton passage les personnes que tu vas faire monter. On reconnais vite les spectateurs qui seront adaptés au style de tour que tu vas faire.

Un deuxième truc est de ne pas poser la question. Ne pas demander : "Est-ce que vous souhaitez monter sur scène ?", personne ne veut monter sur scène. Aimer ça est une perversion... oui, nous sommes des pervers ;)

Un dernier truc, une fois que tu as dit à la personne qu'elle devait monter sur scène avec toi il faut la faire tout de suite applaudir avant qu'elle n'ait pu répondre quoi que ce soit. Elle ressent alors le soutient de la salle et le fait qu'elle n'a plus le choix. Donc elle vient. Après à toi de la mettre à l'aise.

Après ça, si la personne ne veut pas venir sur scène c'est peut-être qu'elle a de très bonnes raisons bien plus graves qu'une simple timidité. J'ai entendu parlé d'un magicien américain qui est allé cherché presque de force un gars dans le public qui ne voulais absolument pas venir, jusqu'au moment où il a compris que cette personne n'avait pas de bras... (pas de chocolat)

Modifié par Phil-Day

www.philippeday.com

Antoine de Saint-Exupéry : "Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité, et surtout pense à refaire le plein de l'avion"

Publié le

Bonsoir !

Moi, "j'en veux" aux Black Fingers

(gentiment, on m'aura compris,

ce sont 2 talentueux amours !)

de m'avoir fait monter sur scène,

et d'avoir ainsi contrarié ma timidité scénique.

C'était pour un sketch de ventriloquie,

je devais enfiler le costume d'un magicien

(je dois avoir des fotos),

je devenais leur chose, leur marionnette mal-habile.

Au départ, ils étaient partis sur d'autres cobayes...

Le choix s'est porté sur un spectateur qui une fois debout

s'est révélé trop grand...

Sur une salle de 500, au moins,

c'était vraiment la faute à malchance

d'être choisi...

Et bingo, ou plutôt pas bingo,

c'est sur moi que c'est tombé.

Le magicien intimide, possède un réel pouvoir...

Et avec le recul, je ne regrette pas,

bien leur a pris,

je me suis surpris pendant le numéro

à prendre du plaisir à accompagner nos amis

dans leurs sympathiques délires !

Petitbonhomme

Jean-Yves Loes (Petitbonhomme)

http://www.lamagiedupetitzebulon.com/

Publié le

Les adultes sur scène sont à traiter comme les enfants. Il faut les regarder très régulièrement pour voir si ils sont un minimum à l'aise. Si vous les sentez paniquer il suffit de garder un maximum un contact visuel réconfortant et de leur parler un peu plus. Il y a aussi des trucs à dire : Bravo, vous êtes formidable, parfait... et lui dire quand le numéro va se terminer (sauf si il y en a encore pour une demi-heure)

Il n'y a rien de pire pour l'image du magicien que de passer pour un bourreau de spectateur. Et quand on fait un numéro où on est limite avec un spectateur, il faut vraiment trouver quelqu'un qui va avoir suffisamment d'aplomb pour s'amuser avec vous.

www.philippeday.com

Antoine de Saint-Exupéry : "Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité, et surtout pense à refaire le plein de l'avion"

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    • Hello,  Parmi ceux qui possèdent ce livre, il y en aurait-il qui voudraient partager leurs impressions ? Merci d'avance 🙂  W.
    • Toujours disponible! Baisse de prix: 40 € fdpi Bonne journée!  
    • Hello Minh J’adore le choro. Mais si j’ai relayé une reprise de Tico-Tico c’est surtout parce qu’il s’agissait d’une interprétation à quatre mains… sur une seule guitare. L’idée de ce sujet dans VM est de montrer des propositions musicales décalées, des musiciens hors norme, des instruments peu communs… Il ne s’agit pas de présenter les musiciens ou les morceaux qu’on aime ou qu’on préfère (sinon il y aurait évidemment beaucoup de musiques brésiliennes et notamment celles de guitaristes comme Baden Powell et Antônio Carlos Jobim) : ici on fait dans le bizarre ! 😀 Justement il existe un morceau magnifique interprété par ses deux géants, dont au moins l’intro colle avec le sujet :   L’idée « originale » est de reproduire en partie le timbre du berimbau avec une guitare, et son esprit :  https://fr.wikipedia.org/wiki/Berimbau Mais ChatGPT est plus explicite encore, citation :    « La chanson “Berimbau” (Baden Powell & Vinicius de Moraes, 1962) porte ce titre parce que tout le morceau est construit comme un hommage direct au berimbau, à sa fonction dans la capoeira et à ce qu’il symbolise culturellement. Mais ce n’est pas seulement parce que c’est un « nom d’instrument » : il y a trois raisons principales. 🎵 1. Imiter le jeu du berimbau à la guitare L’un des objectifs musicaux de Baden Powell était effectivement de transposer le rôle rythmique et hypnotique du berimbau sur une guitare classique. Il imite la pulsation ostinato du berimbau. Il reproduit l’alternance grave / claqué, typique de l’instrument. Il crée une texture quasi « monocorde », comme le berimbau qui n’a qu’une corde. 👉 Le motif de guitare de “Berimbau” est pensé comme une traduction guitare du jeu du capoeiriste. Baden Powell a expliqué dans plusieurs entretiens qu’il voulait que la guitare soit capable de « jouer comme un berimbau », même si elle ne peut évidemment pas imiter son timbre exact. 🥋 2. Le texte de Vinicius de Moraes célèbre la philosophie du berimbau Vinicius ne parle pas seulement de l’instrument : il décrit la loi du berimbau, c’est-à-dire le code moral de la capoeira. Les paroles énoncent une série de maximes : « Quem é homem de bem, não trai » « Berimbau me chamou » « É melhor ser humilde com os humildes » Ce sont des préceptes traditionnels qui renvoient à la sagesse populaire des maîtres de capoeira. Ainsi, l’instrument est un symbole culturel, presque un “guide moral”, pas seulement un effet sonore. 🇧🇷 3. Le berimbau comme emblème afro-brésilien Dans les années 1960, Baden Powell et Vinicius de Moraes cherchaient à intégrer des éléments des cultures afro-brésiliennes dans leurs œuvres : Candomblé Capoeira Rythmes africains Sambas de roda Le berimbau est emblématique de cette identité. En nommant la chanson ainsi, ils revendiquent son ancrage afro-brésilien et lui donnent une place centrale dans leur projet musical (ce qui culminera plus tard avec Os Afro-sambas). 📌 En résumé La chanson s’appelle Berimbau parce que : La guitare imite le jeu rythmique du berimbau (objectif musical). Les paroles décrivent la philosophie de la capoeira et les “lois” du berimbau (objectif poétique et culturel). Baden Powell et Vinicius voulaient célébrer les racines afro-brésiliennes dans une forme accessible et populaire. » Donc, ta remarque est très juste : il y a bien une intention de retrouver l’esprit (pas le timbre exact) du berimbau à la guitare, mais ce n’est qu’un aspect d’un hommage plus large à sa symbolique. »
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