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Publié le
Ils ont besoin de vêtements?

Y en a qui ont tout perdu, même leurs vêtements. Je ne peux me déplacer jusque là bas, je ne suis pas militaire ou secouriste.

Moi j'aide comme je peux...et si ces vêtements peuvent servir ne serait-ce qu'à une personne, je serai heureux de savoir que j'ai pu aider quelqu'un, contrairement à d'autres qui passent leur temps sur des forums à critiquer et à répondre bêtement.

Tout est possible...mais rien n'est facile !

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Membres les + Actifs

Publié le
contrairement à d'autres qui passent leur temps sur des forums à critiquer et à répondre bêtement.
Si c'est de moi dont tu parles, faudra que tu m'expliques ce que j'ai critiqué ou ce que j'ai bêtement répondu..
Publié le

non absolument pas, je ne parlais pas de toi. Je croyais que c'était une moquerie, donc je voulais remettre les choses à leur place.

Je me suis mal exprimé, pardon

Tout est possible...mais rien n'est facile !

Publié le

Ah non, je ne me moque pas, mais j'étais surpris de la collecte de vêtements pour le Japon, ce n'était pas la première nécessité qui me venait à l'esprit, mais vu les dégâts c'est possible que des vêtements leurs soient utiles.

En général dans ce genre de cas je fais un don à la Fondation de France, ils savent dispatcher le fric en fonction des nécessités.

Publié le

c'est vrai qu'il est difficile d'ici de connaitre les besoin de ces sinistrés.

Je me rappelle du tremblement de terre au Pérou en 71/72 je me suis retrouvé avec mon hélico à larguer des sacs collectés par le secours catholique français. Ils contenaient ( à ma grande surprise) des chaussures à talons hauts!! c'est vrai que ça pouvait être très utiles à ces sinistrés en haute montagne!! Heureusement le deuxième jour nous avons réussi à leur larguer de la nourriture et des couvertures, je dis bien larguer car nous les balancions d'une altitude de deux trois mètres pour ne pas être pris d'assaut et ne plus pouvoir décoller. Même chose au Bengladesch! Non pas que ces gens n'aient pas de dignité mais devant les élément déchainés de la nature on est sans défense et tout est bon. J'ai remarqué que les Japonnais sont d'une dignité sans commune mesure par rapport à l'amplitude de la catastrophe chapeau bas.

WINFRIED

Publié le

Je ne sais pas si c'est réellement de la dignité, c'est peut-être aussi simplement culturel. En tout cas les ressortissants français témoignaient que les japonais étaient effectivement étonnamment calmes.

Peut-être est-ce parce qu'ils savent qu'ils vivent avec une épée de Damoclès sur la tête et qu'ils savent qu'ils ne couperont pas à ce genre de catastrophe.

Publié le

Tokyo n'est pas la région la plus touchée, mon frère y vivant n'a pas déploré de dégâts matériels.

Les trains sont très perturbés ce qui explique pas mal d'absence au boulot.

Les rayons de supermarchés se vident et les coupures de courants à heures fixent sont mises en place pour assurer une alimentation en electricité à tout e monde.

La situation nucléaire reste alarmante aux dernières nouvelles. Cela ne devrait pas dégénérer en Tchernobyl mais on a affaire un cas de contamination avéré et inévitable. Certains réacteurs sont entrés en fusion, cela veut dire qu'ils ont fondus et que l'on ne contrôle plus la réaction, les systèmes de refroidissement sont en panne à cause de l'innondation, pour éviter l'explosion, il est obligatoire de relâcher de la vapeur du circuit primaire pour éviter la catastrophe. Cette vapeur est radioactive puisqu'elle est au contact de la matière radioactive. C'est la vapeur qui ne sort jamais du réacteur (circuit primaire fermé), ce n'est pas la vapeur que vous voyez sortir de nos tours aéroréfrigérantes. Cette vapeur la est inoffensive.

Des périmètres de sécurité ont été mis en place autour des centrales et les civils évacués de ce périmètre.

Pour ce qui est de Tokyo, mon frère m'a confirmé que les gens reprenaient le quotidien comme si de rien n'était à part les abscences dues aux coupures de train.

Cette catastrophe nucléaire était selon les experts impossible à prévoir (dans les études de risques), aussi, je trouve un peu opportuniste l'utilisation de ce drame pour argumenter un rejet du nucléaire...

Je conseillerais aux expat' de faire des réserves de nourriture et d'eau par précaution et éventuellement de prendre contact avec l'ambassade de France. J'ai pu lire que AirFrance a mis en place des tarifs spéciaux pour les retour en France. Mon frère comme beaucoup de monde se conformera aux consignes données par sa boite.

En tout cas, on pense bien à vous! En espérant que la situation s'arrange au plus vite.

Publié le

l'ambassade de France conseil aux Français de quitter le japon.

Publié le

Salut,

Je suis vraiment claque alors je reste pas mais je passe juste pour

dire a Nicolas que la situation est assez grave et que tout n est pas sous controle malheuresement...

On fait du mieux possible mais comme a dit un specialiste

-nous sommes en territoire inconnu-

Une pensee speciale pour les gens qui se battent et essaient de stopper tout ca et aussi toutes les aides que l ont recoit.

Pour Air France les infos que j ai ne sont pas les memes...

Ou alors j ai pas compris tarif speciaux dans le bon sens ...!! :crazy:

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2011/03/14/air-france-quitter-le-japon-a-tous-les-prix/

AIR FRANCE - Quitter le Japon, à tous les prix

Dimanche 13 mars, l’ambassade de France au Japon a encouragé ses ressortissants à s’éloigner de la région de Tokyo devant le risque nucléaire et de possibles répliques du séisme. Mais hier, les Français voulant quitter Tokyo se sont heurtés à des prix prohibitifs sur le site d’Air France. Dans Libération (ici en payant), un Français vivant à Tokyo a trouvé des billets entre 2 000 et 3 000 euros. Sous l’effet d’une forte demande, et devant un délai très court, ces tarifs sont normaux, se justifie Air France.

Alors que les expatriés français reprochent à la compagnie de ne pas avoir abaissé le prix de ses billets, Air France doit donner un “coup de pouce” et instaurer un tarif réduit sur les vols Tokyo-Paris, affirme Libération. Un porte-parole de la compagnie a affirmé à l’Agence France Presse que ces tarifs qui resteront dans le cadre “commercial” seront disponibles lundi “en fin de journée”.

Lundi matin donc, un aller simple Tokyo-Paris s’élevait à 292 600 yens, soit 2 566 euro hors taxes. Avec les taxes d’aéroport, le prochain aller simple pour Paris coûte 306 810 yens, ou 2 684 euros. Aucun billet n’était disponible avant jeudi.

"LIFE IS NOT ABOUT WAITING FOR THE STORM TO PASS ... IT'S ABOUT LEARNING HOW TO DANCE IN THE RAIN"

Publié le

Merci Rossini de nous tenir au courant, j'ai eu vent des prix enflammés d'Air France et je ne peux que m'indigner de cette situation ultra malsaine, j'ai vécu la même chose lorsque j'étais piégé dans les inondations qui ont ravagées le Pakistan et le nord de l'Inde en Aout 2010.

Cela dit, et surement grâce à la puissance des réseaux sociaux, Air France a baissé ces tarifs et ceux ci sont maintenant à 700€ pour Paris, prix affichés sur le site (hors taxes).

La situation au Japon est exceptionnelle par sa gravité et j'espère que ca va s'arranger bien vite. Je surveille l'actualité avec attention et j'espère bien que ca va aller pour toi.

Courage.

Nico

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    • Je reviens au sujet du livre, car c'est ce que j'ai choisi comme lecture récréative pour les vacances. La citation de Pierre Etaix sur la 4e de couverture a failli me faire passer pour un intellectuel auprès de mes beaux-parents (chez qui je passe une partie desdites vacances) parce qu'ils sont très... "Télérama". Mais j'ai senti à la tête de belle-Maman quand elle a vu la couverture (pourtant dudit Pierre Etaix) et à l'attitude de beau-Papa quand il a feuilleté le livre que leur furtif espoir de s'être trompés sur le compte du zigoto choisi par leur fille pour leur faire des petits-enfants avait encore été déçu.  J'en suis à la page 183, ça se lit agréablement. C'est étonnamment bien écrit pour quelqu'un qui a appris le français en écoutant Coluche. Je me suis marré plusieurs fois à voix haute et j'ai été étonné d'y trouver quelques remarques qui m'ont fait réfléchir sur la construction d'un numéro (dans le chapitre consacré au Champion de l'élégance). Par contre, je ne regarderai plus jamais les saucisses de Strasbourg de la même manière.  Une remarque négative, cependant, à @Otto WESSELY : pourquoi ne pas avoir mis la photo de la page 174 EN COULEURS, vu que tu dis qu'elle est belle en couleurs ?! Quelle frustration ! (Les autres, je vous entends penser "Frustration totale !", je lis dans vos pensées, je suis le plus grand des mentalistes). Je la trouve super, j'aimerais l'avoir en haute résolution pour l'imprimer en poster. Merci d'avance. Bisous. Un admirateur  (Je n'ai pas le courage de me taper les 36 pages du sujet pour voir si la question de ladite photo a déjà été soulevée)
    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ?   
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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