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bonjour!

je cherche le livre "L'EMBARRAS DU CHOIX"

de Hannes Höller

il parait que c'est mieux que "202 procédés de forçage"...

mais je n'arrive pas a trouver sur le net une boutique qui l'ai à son catalogue.

si vous savez qui le vend, ou si vous avez des remarques sur le livre ( surtout si vous pensez qu'il y a mieux dans le genre [Clin d'oeil] )

[ 12 Novembre 2002, 10:20: Message édité par : Thomas THIEBAUT ]

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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Bonjour Gilbus,

Apokrif a raison tu peux trouver ce livre chez magix. Je le préfère à 202 procédés. Plus facile de s'y retrouver tu le consultes un peu comme un dico.

Tu as 9 chapitres selon les types de forcage. Chaque forcage est détaillé avec ses points forts et faibles ainsi que la préparation, la position de départ et la présentation.

Ce livre se consulte facilement, tu trouves rapidement ce que tu cherches ce qui est loin d'être le cas pour l'autre.

Bonsoir à tous,

Publié le

Dans "l'embarras du choix" il y a 95% de forçages avec des cartes, dans "202 procédés ...", il y a de tout, a toi de voir ce que tu cherches. Avoir les deux, c'est pas mal aussi ... Plus on lit et plus on se cultive ... En magie dans ce genre de livres spécialisé ( consacré uniquement aux forçages ), on a pas forcement l'embarras du choix ... [Clin d'oeil]

Ludo.

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merci pour vos réponses:

et effectivement, avoir les deux ne peux pas faire de mal...

donc, je vais économiser dans ce sens [sourire]

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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c'est vrai, mais je ne me donne le mal de lire les livres en anglais que si c'est du mentalisme [sourire]

merci quand même [Large Sourire]

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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hello, dom! [sourire]

pour les 202, j'ai deja commandé ( c'est pas celui que je voulais, mais c'était le plus facile a trouver... )

pour l'embaras du choix, je suis trés interressé pour te l'emprunter, bien sur!

tu l'amménes a la prochaine rencontre sur rennes?

on fait ca quand, au fait??????

damned, il va falloir encore fixer des dates...

au fait: mais oui, screech, je me suis fait inoptisé, c'est sur [sourire]

puisque je dis dans le CR de la soirée que Fred est gentil [Clin d'oeil]

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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    • ChatGPT : Les études historiques et techniques disponibles révèlent bien des retouches et interventions humaines, mais elles laissent le cœur de l’image (visage, mains, robe, manteau) dans une zone largement inexpliquée techniquement, sans consensus scientifique pour en faire une peinture ordinaire. 1) Support et conservation : une longévité qui reste anormalement remarquable      Pendant des siècles, la tilma a été exposée sans protection moderne : fumée de milliers de cierges, humidité, poussière, manipulations directes des pèlerins ; malgré cela, la partie centrale de l’image reste étonnamment fraîche, sans craquelures, alors que les ajouts (dorures, lune, etc.) se sont nettement détériorés.      Les restaurations et le verre blindé du XXᵉ siècle expliquent la bonne conservation récente, pas la survie initiale dans des conditions normalement destructrices. 2) Retouches et ajouts : oui… mais précisément où ?      Les documents historiques, les restaurateurs modernes et les examens IR convergent sur un point : il y a eu des retouches humaines (couronne, lune, angelot, certains rayons, dorures), ces éléments montrent des craquelures, des écaillages, un vieillissement normal, alors que le noyau de l’image (visage, mains, tunique, manteau) ne présente ni craquelure typique, ni pelade de peinture, ni vernis protecteur.      Les retouches démentent l’idée d’une image jamais touchée, mais elles soulignent aussi une différence de nature entre : ce qui est manifestement humain et fragile, et le cœur de l’image qui reste anormalement stable et techniquement singulier. 3) Pigments et technique : un dossier loin d’être “pro-peinture ordinaire”      L’étude infrarouge de Callahan et Smith (1979–1981), largement citée, aboutit à cette conclusion pour le motif central : aucun sous-dessin, aucune couche d’apprêt (sizing), aucun vernis, la trame même du tissu utilisée pour donner la profondeur, luminosité et stabilité de couleurs jugées “inexplicables” par les techniques artistiques connues.  4) Reflets dans les yeux : ni preuve de miracle, ni argument “anti-miracle”      Scientifiquement, on peut dire : ces “reflets” sont trop discutés et trop dépendants du traitement d’image pour fonder une preuve solide, mais cela ne devient pas pour autant une “preuve” contre le caractère exceptionnel de l’image : c’est juste une zone d’arguments faibles dans les deux sens. 5) Histoire et iconographie : le “peintre Marcos” ne clôt rien      Oui, certains textes plus tardifs (XVIIᵉ–XVIIIᵉ s.) évoquent un peintre nommé “Marcos” ou “Marcial” et servent de base à l’hypothèse d’une fabrication humaine. Mais : ces sources apparaissent dans un contexte de polémiques internes (conflits entre ordres religieux, débats sur la piété populaire), et on n’a aucun document direct de commande, de paiement, de contrat, ni d’atelier associé à ce prétendu peintre.      A l’inverse, il existe des sources nahuatl anciennes (comme le Codex Escalada, daté du XVIᵉ siècle) et une tradition indigène qui présentent l’image dès le départ comme liée à un événement miraculeux et à une dévotion massive. Conclusion en mode très simple      La science pointe plutôt vers ‘non miraculeux’ et ne trouve rien de vraiment inexplicable. Une lecture plus équilibrée des mêmes données dit plutôt : Il y a des retouches humaines évidentes, mais le cœur de l’image et la conservation du support restent objectivement déroutants, et les études sont trop partielles et contradictoires pour qu’on conclue sereinement ‘tout est banal’.      Au final, ce n’est pas la science qui “désacralise” Guadalupe. La science dit surtout : “cet objet est très inhabituel, nous ne comprenons pas tout.
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