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Publié le

Que tu sois agacé on peut le comprendre, mais c'est de tte façon notre faute si on arrive pas à faire naître cette envie de regarder les tours. Puis moi je comprends parfaitement qu'on puisse faire le monde avec nos tours de merde.

Le public à priori n'a pas à forcément percevoir la magie comme un spectacle (quel utopie), ne sont émerveillés que ceux qui veulent l'être !

Mais pour qu'ils veulent être émerveillés, là est tte la question.

Peut être par contre si c'est les autres qui te demandent de faire qqs tours la réaction est déjà différente. La question est comment faire naître cette envie ? On s'éloigne de beaucoup du soi disant débinage.

++ tlm

Et Hop apparition de six mots !

Et hop seulement cinq mots !

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Membres les + Actifs

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Puis-je simplement faire remarquer que "si le public a tout vu" c'est qu'il avait certainement en face de lui une personne qui en réalité n'avait pas encore acquis la dextérité nécessaire pour se présenter face à lui.

Travailler les numéros, multiplier les répétitions évitera au moins : de discréditer la magie. [Tirer la langue]

Légalisator

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Citation:

Débat lancé par Minh:

Puis moi je comprends parfaitement qu'on puisse faire le monde avec nos tours de merde.

Peut être par contre si c'est les autres qui te demandent de faire qqs tours la réaction est déjà différente.


Minh, je te sent quelque peut aigri non ? Je ne pense pas que nous faisons des tours de merde, en tt cas moi je ne pense pas en faire . Je n'impose JAMAIS a quiconque de voir mes tours, lorsque je fait de la magie c'est TOUJOURS parce qu'on me l'a demander ( même parfois je REFUSE de faire des tours, si je ne le "sent pas " ). Lorsque le spectacle est organisé "officiellement" le public sait qu'il vient voir un spectacle de magie, il vient pour se divertire, il y a moins de "problèmes", surtout si l'entrée est payante.

Je suis entièrement d'accord pour ne présenter QUE des tours que l'on MAITRISE, sur ce point tu as raison, il n'empèche que pour les gens, il y aura toujours des FP pour le changement de couleur de foulard et les boites auront toujours un double fond ... faut faire avec ...

Ludo.

Publié le

Oh non je ne suis pas aigri loin de là, il reste suffisamment de gens qui adorent voir et moi même j'adore voir, ça me suffit amplement.

"oh non encore des cartes ..."

"oui mais c'est des cartes snoopy et c'est tout beau !"

"fais voir ! elles sont belles ces cartes ! Fais moi un tour !"

Et Hop apparition de six mots !

Et hop seulement cinq mots !

Publié le

Citation:

Moi ce qui m'agace le plus, c'est que le public n'arrive pas a se laisser aller a réver, celui qui voudra à tous prix débiner et abaisser le magicien lors de son spectacle, pour moi, c'est le plus souvent une personne mal dans sa peau ... au lieu de profiter du spectacle en se faisant plaisir, il pourri l'ambiance ...


Peut-être... mais pendant un spectacle de close-up (table en table), souvent les spectateurs ne nous ont rien demandé : c'est NOUS qui arrivons à leur table et qui interrompons leur conversation.

A partir de là, je comprends tout à fait que certaines personnes décident de ne pas nous faciliter la tâche... c'est à nous de savoir gérer cette situation au lieu de nous plaindre en disant qu'ils sont incapables d'apprécier notre prestation.

Lorenzo E.M

Publié le

Lorenzo, un truc : lorsque tu aborde une table pour faire du C. up, tu peux te présenter ainsi : Bonjour, je m'appelle Lorenzo et je suis magicien, si cela vous interesse, je peux vous faire quelques tours .

2 réactions possibles :

1) Les spectateurs sont d'accord, et c'est partie, a toi de jouer.

2) Il ne sont pas d'accord, là tu t'excuses de les avoir dérangés, et tu passes directement à une autre table . Si tu travail bien ( et je n'en doute pas ), tu auras tellement d'aplaudissements aux autres tables qu'il se pourrais fort que ceux qui ne te voulait pas à leur table, t'appèle finallement !!

Quoi qu'il en soit, le truc c'est de ne JAMAIS s'imposer .

Pour ceux qu'y peuvent avoir " introduction et généralités suivi de close-up express " du docteur Barouf, je vous conseil la lecture de ce fascicule, pour une reflection sur le travail en close up c'est pas mal !

Ludo.

[ 13 Novembre 2002, 18:02: Message édité par : Magicludovic ]

Publié le

Citation:

Quoi qu'il en soit, le truc c'est de ne JAMAIS s'imposer .


Of course my dear, mais même si la table est 'globalement' d'accord pour te laisser bosser, il y aura toujours quelqu'un pour te mener la vie dure... en général c'est le leader de la table qui en général accepte mal de se faire voler la vedette.

Tout ça pour dire qu'il n'y a pas toujours moyen de contourner le problème avec la solution du "moi de toutes façons, je ne fais pas de la magie pour ceux qui ne veulent pas en voir".

PS : personnellement, quand j'aborde une table, je dis "bonsoir... vous savez que vous avez beaucoup de chance ? Le plus grand magicien de tous les temps est présent ce soir dans votre bar/restaurant préféré pour vous divertir... et ce magicien c'est moi : Lorenzo El Magnifico". Il est souvent utile de préciser également que le spectacle est gratuit, ça évite souvent la phrase "Non, nous se sommes pas interessés".

Lorenzo E.M

Publié le

Le contexte du table est assez différent, si on est payé par le patron on est un peu forcé de s'imposer, c'estla loi de la jungle.

Le fait d'en faire que pour ceux qui aiment s'applique bien quand on n'a pas à être payé.

Et Hop apparition de six mots !

Et hop seulement cinq mots !

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Il est vrai que lorsqu'on est payé pour faire toute les tables et qu'on en "oublie" quelques unes , le patron ne va pas être trés content ... A moins que vous ne lui ayait expliqué votre façon de travailler avant de faire quoi que ce soit ... c'est a dire que vous ne vous imposerait pas aux tables qui ne désirent pas vous voir .

Oui il y aura parfois une seule personne a table qui ne voudra pas vous voir et va essayer de vous taquiner ( pour rester polis ), a vous de faire votre job en retournant tout les autres contre lui, ou avoir des tours / remarques béton pour lui, ou alors lui faire comprendre que vous n'êtes pas son énemi et qu'il restera le plus fort à sa table ... tout un métier !

Lorenzo, avec ton intro pour le table en table, derrière tu dois avoir des super tours béton, sinon tu es fusillé direct sur place si tu tombes sur une table difficile ... a moins que ton intro soit de l'humour ( j'espère ).

Voilà, voilà, je crois que je vais arrété sur ce sujet là ... j'espère que ça aura permis a certains d'avancer ... et en attendant, bonne chance à tous dans vos expériences de close-up ...

Ludo.

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    • Je reviens au sujet du livre, car c'est ce que j'ai choisi comme lecture récréative pour les vacances. La citation de Pierre Etaix sur la 4e de couverture a failli me faire passer pour un intellectuel auprès de mes beaux-parents (chez qui je passe une partie desdites vacances) parce qu'ils sont très... "Télérama". Mais j'ai senti à la tête de belle-Maman quand elle a vu la couverture (pourtant dudit Pierre Etaix) et à l'attitude de beau-Papa quand il a feuilleté le livre que leur furtif espoir de s'être trompés sur le compte du zigoto choisi par leur fille pour leur faire des petits-enfants avait encore été déçu.  J'en suis à la page 183, ça se lit agréablement. C'est étonnamment bien écrit pour quelqu'un qui a appris le français en écoutant Coluche. Je me suis marré plusieurs fois à voix haute et j'ai été étonné d'y trouver quelques remarques qui m'ont fait réfléchir sur la construction d'un numéro (dans le chapitre consacré au Champion de l'élégance). Par contre, je ne regarderai plus jamais les saucisses de Strasbourg de la même manière.  Une remarque négative, cependant, à @Otto WESSELY : pourquoi ne pas avoir mis la photo de la page 174 EN COULEURS, vu que tu dis qu'elle est belle en couleurs ?! Quelle frustration ! (Les autres, je vous entends penser "Frustration totale !", je lis dans vos pensées, je suis le plus grand des mentalistes). Je la trouve super, j'aimerais l'avoir en haute résolution pour l'imprimer en poster. Merci d'avance. Bisous. Un admirateur  (Je n'ai pas le courage de me taper les 36 pages du sujet pour voir si la question de ladite photo a déjà été soulevée)
    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ?   
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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