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Publié le

Y a t il des soirées magiques spécial halloween ce jeudi soir sur Paris (pour moi) ou ailleurs (pour les autres).

Bon congrès pour ceux qui seront à Nancy.

St3pts

Stan

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Il y a deux, trois an on se demandait encore ce qu'était Halloween ! A present on est envahie de cette fête ! Alors des soirées tu en as partout ! Même chez moi (qui est un trou paumé) on fête halloween partout.

Essaye de voir du côté de chez Duvivier au Double Fond [Large Sourire] , il me semble qu'une année il avait fais une soirée Halloween, peut être qu'il en fais une cette année.

Sinon tu as bercy avec Laurie et les L5.... [Confus]

Allo... ouiiin... ici Trouille [Tirer la langue]

MAGIX Cyril

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"Montélimar c'est le nougat, et Montcuq c'est du poulet ?"

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Je pense qu'Halloween peut être l'occasion de voir la créativité des magiciens concernant ce sujet (à priori je ne suis pas le seul à penser celà cf le précédent sujet sur Halloween).

A priori, tu ne partages pas cet avis.

C'est dommage, car je pense qu'il y a plein de choses à apprendre dans des soirées comme celle là.

Au fait, il y a 3 ans, je pense que tu étais un des seuls à ne pas connaître Halloween.

Au fait (2), c'est qui Laurie et les L5 [Clin d'oeil]

Stan

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Erreur, je me suis mal exprimé. J'aime Halloween, depuis 5 ans je fête cet évènement avec des amis américain qui m'invite sur Paris pour l'occasion afin de rendre "magique" cette soirée en faisant des tours invocant le surnaturel et avec l'ambiance un peu gloque (tout le monde est déguisé) ca rend super bien.

Or ce que je vois actuellement on est loin, tres loin de la fête traditionelle.

Ceci dis j'apprécie beaucoup qu'il y ais des endroits (bar, pub, resto,...) qui font appel à des magiciens pour cette soirée car ca apporte beaucoup à l'ambiance et on se sent vite transporter dans un monde fantastique.

MAGIX Cyril

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"Montélimar c'est le nougat, et Montcuq c'est du poulet ?"

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Il faudrait surtout ne pas oublier qu'à l'origine Halloween est une fête Française (Gauloise) connue il y a 2500 ans sous le nom de nuit de Samain. Elle a disparu chez nous avant de renaitre aux états-unis importée par les immigrants Irlandais (qui n'était pas moins celtes que les gaulois).

On peut, lors d'une présentation magique, parler d'haloween en des termes autres que commerciaux: y'a de la matière historique.

Publié le

Il ne faudrait pas oublier non plus de rappeler à ceux qui critiquent Halloween pour sa soi disant origine Américaine et la comparent à Noël une fête bien de chez nous que la mythologie actuelle de Noël (sapin, cadeaux, costume rouge...) est d'origine américaine... (création d'un illustrateur pour enfant). Il faut rappeler également que des cardinaux français ont brûlé des effigies du père Noël sur les marches des églises dans les années 50 !

C'est y pas le monde à l'envers ça ?

Fred

PS : avez-vous lu le spécial Arcanum de ce mois ?

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Ce qui me dérange dans Halloween ce n'est pas tant l'origine américaine que le fait que les gens gobent vraiment n'importe quoi. Ils suivent les médias comme des veaux.

Nous avions déjà une f^^ete relativement ressemblante à Halloween qui s'appel le Carnaval (costumes, masques, bomboms, etc.).

Autrefois dans mon coin les enfants se balladaient dans les rues le jour du mardi gras, frappaient les portes et demandaient des friandises ou de l'agent. (il n'y a pas si longtemps : cela se faisait encore il y a une vaingtaine d'années)

Cette tradition a été perdue. Il faut croire que cela n'intéresse plus les enfants, ce doit ^^etre ringard. Sauf qu'halloween, par contre, est de plus en plus prisé. Je veux bien qu'halloween met l'accent sur le morbide et l'horrible. Mais fondamentalement je ne vois pas où est la différence.

Comme quoi, nous ne vivons plus que par ce que nous dit la télévision (c'est la religion cathodique. sic !). Un magazine de France 2 a expliqué que l'industrie du costume de f^^ete avaient entrepris de faire remonter son activité via Halloween. Pour cela des "représentants" avaient été envoyés dans les médias (notamment les émission du type "club dorothée" à l'époque). Il n'a suffit que de ça...

Pourquoi vouloir toujours faire "comme la télé", "comme les autres", "comme les américains"... ? Ne pouvons nous pas ^^etre nous-m^^eme ?

Publié le

Je me souviens, quand la fête de Mardi Gras a été instaurée il y avait un monsieur qui disait : "Autrefois dans mon coin les gens faisaient ceci et cela et c'était autrement mieux que cette idée idiote de mardi Gras !"

Conclusion : avant c'était mieux mais avant avant c'était encore mieux !..

Publié le

sans vouloir entrer dans une polémique qui ne menerait a rien, je me pose une quéstion: l'europe en général et la france en particulier serait-elle atteinte d'un complexe d'inferiorité par rapport aux états unis pour sans arret les critiquer? Halloween est une fête d'origine gauloise, celte? hé bien les celtes et les gaulois n'avaient qu'a savoir la garder. Et garder les blues-jeans aussi. J'allume mon poste de télé et les américains en prenent plein la gueule, et maintenant c'est sur un forum de magie et le plus bête de cette histoire est que le pays ou la magie est le plus populaire c'est justement les états-unis.Sans cesse on nous répète(et ce a juste titre) que Robert-Houdin est le maitre incontésté des magiciens et bien demandez aux employés du ministère de la culture s'ils connaissent ce personnage et la majorité vous dira non. Maintenant demandez a un petit américain niveau C.P. qui est Harry Houdini, il vous répondra dans la seconde, car en Françe la magie n'est pas considérée comme un ART et n'est pas reconnue sur le plan culturel, et ce n'est pas Peter Din qui me contredira sur ce point. Pour terminer je dirais donc que si les Américains on réussi a populariser halloween ca ne me pose aucun problèmes. Pardon si je me suis un peu égaré dans le débat mais je n'ai pas pu m'en empecher.

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    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
    • Entre temps, j'ai eu un retour de @Pathy BADD qui a demandé à Peter DIN le vice président de la FISM et en charge des notations.  Sa réponse  Cela répond donc à ta question sur les 120 points 😜
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