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Publié le (modifié)

Salut Max !

Je crois savoir que le magicien en question, il s'agit donc de Dani Lary

est le premier à regretter que les illusions présentées le soient systématiquement ainsi !

Ce qui est vrai, c'est que pour un certain nombre,

elles sont de véritables créations,

et que pour le plus grand nombre, comme tu la rappelles,

ce sont des interprétations revisitées, personnelles,

(appelons les choses ainsi) de tours souvent oubliés

du patrimoine magique, dont certaines ont un siècle et bien davantage !

Parenthèse perso, en ça, on peut lui être gré de permettre à celles-ci de connaitre une nouvelle vie

et être à nouveau présentées sur une scène,

qu'elles soient revues et corrigées ou pas !

Je pense notamment à l'impressionnante scie de Goldwin

présentée dans sa version originale à Marigny,

et présenté comme telle, une reprise, par l'artiste.

Lary s'inscrit dans la grande tradition des illusionnistes bateleurs

de la grande époque (je ne parle pas forcément ici talent),

voire des forains. Rien de péjoratif dans ma bouche.

Ce qui est vrai aussi, d'où l'ambigüité sur laquelle joue aussi Sébastien,

c'est que l'ami Lary conçoit et fabrique lui même ses illusions.

Je crois que Frantz a fort bien dit les choses :

1. Le droit d'auteur ne dure que pendant 70 ans après la mort de l'auteur, ensuite l'oeuvre appartient au "domaine public".

2. Si les principes mis en oeuvre par certaines illusions présentées par ledit magicien datent effectivement du siècle dernier, la plupart des mises en scène, des chorégraphies, des designs des illusions sont la création de ce magicien et de son équipe, et constituent donc une oeuvre originale.

Petitbonhomme qui trouve votre discussion fort passionnante !

Je vous lis avec intérêt.

Petitbonhomme

Modifié par petitbonhomme

Jean-Yves Loes (Petitbonhomme)

http://www.lamagiedupetitzebulon.com/

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Membres les + Actifs

Publié le (modifié)

Sur la voiture logique qu'il n'y est rien d'écrit, cependant si vous avez une voiture c'est que vous avez le permis de conduire et donc le code de la route donc c'est que vous savez la plupart des choses a savoir.

Alors que pour la magie, on vous dit rien, c'est marquez nul part et aprés on s'en prend plein la gueule car on fait t'elle ou t'elle chose.

Faut reprendre le problème depuis le début (du moin c'est ce que je pense)

Oui, il faut effectivement reprendre le problème depuis le début, mais peut-être pas véritablement comme vous semblez vouloir l'imposer.

Si on ne vous dit rien en magie, si "rien n'est marqué nul part", c'est parce que lorsqu'une personne décide d'exercer une activité à titre professionnel, c'est à elle, et à elle seule de prendre les différents renseignements pour déterminer ce qui est autorisé et ce qui ne l'est pas. Exercer une activité à titre professionnel, ce n'est pas seulement aller chercher un cachet et se faire imprimer des cartes de visite ; c'est aussi, et surtout, la prise de décision de s'intégrer dans un cadre légal que l'on respectera, pour respecter ceux qui vivent de ce métier, et dont les créations permettent à notre art de se développer; c'est encore prendre la décision d'accomplir toutes les formalités et recherches nécessaires pour faire les choses comme elles doivent être faîtes. En d'autres termes, exercer une activité professionnelle, c'est se comporter en professionnel. Malgré vos doléances, je n'irai donc pas plaindre ceux qui ont la présomption, et la légèreté aussi, de ce lancer dans une activité professionnelle en pensant qu'il n'y a rien à rechercher, et que tout doit leur être servi sur un plateau, même si cela ressemble à une tendance lourde, dans une société ou l'assistanat est de plus en plus souvent érigé en institution.

Voilà ce qui consiste, selon moi, à prendre le problème depuis le début comme vous semblez vouloir le faire.

Modifié par Pierre Fleury
Publié le
c'est que vous avez le permis de conduire et donc le code de la route donc c'est que vous savez la plupart des choses a savoir.

Alors que pour la magie, on vous dit rien, c'est marquez nul part

Ce n'est pas écrit "nulle part" : c'est écrit dans les textes de loi (Code la propriété intellectuelle pour ce qui nous concerne ici). Et "nul n'est censé ignorer la loi"...

Invité WillQw
Publié le (modifié)

Voila pourquoi moi je me suis mis aux ballons... mdr

Bon, je sors...

Modifié par WillQw
Publié le

et qu'en est il de la vente du matériel d'occasion?

si je vend un matériel original le créateur ne subit il pas un dommage

puisque l'on peut penser que l'acheteur s'il n'avait pas trouvé de l'occasion aurait acheté du neuf?

cette question pour les acheteurs et vendeurs de bonne foi (si..si...il y en a) mais qu'en est il de ceux relativement nombreux qui commercent en toute illégalité?

Publié le

La revente de matériel d'occasion, dés lors que ce n'est pas de la contrefaçon, est autorisée ! heureusement qu'on peut revendre sa voiture, sa télé, voir sa maison (!) d'occasion, après les avoir utilisés. L'acheteur accepte alors d'avoir un matériel déjà utilisé, éventuellement défraichi et peut être hors de la garantie du constructeur...

Publié le
La revente de matériel d'occasion, dés lors que ce n'est pas de la contrefaçon, est autorisée ! heureusement qu'on peut revendre sa voiture, sa télé, voir sa maison (!) d'occasion, après les avoir utilisés.

Oui, mais dans certaines conditions... Il faut que ce soit occasionnel, il faut que le matériel soit usagé (de la "vraie" occasion, pas un truc construit en 10 exemplaires dans son garage pour le revendre), et deux ou trois autres conditions comme ça...

Je rechercherai le texte exact...

(Pour les voitures, je crois que l'on est limité à deux par an par exemple, etc.)

Publié le

Entierement d'accord avec Frantz car tous ceux qui comme moi vont réguliérement sur la partie vente du forum, pourront s'étonner que certains nom ou pseudo reviennent très régulièrement proposer

divers matériels et routines!!

  • 2 weeks plus tard...

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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