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Bonjour on m'a questionné sur le sujet et je n'ai su répondre si cela avait été documenté. Je me demandais donc s'il existait un ouvrage sur le sujet. Certain magicien vont présenter une illusion et à la fin le rideau se ferme pour ensuite se ré-ouvrir pour la présentation d'un autre numéro. Doit-il nécessairement y avoir un lien, combien de temps le changement de numéro devra durer, doit on laisser un fond musicale, doit-on faire appel à un présentateur, doit-on avoir un metteur en scène, etc... Je n'ai rien trouvé avec mon ami la fonction recherche donc désolé si le sujet a déjà été abordé. Juste pour éviter un temps mort entre les numéros.

Visitez moi : www.riendanslesmanches.com

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Publié le

pour mon spectacle "le tour du monde en 80 tours" nous avons fait une bande son car je me change de vétements entre chaque numéros, et bien je doit dire que les avis sont trés partager

certains aime et d'autres trouvent cela long et ennuyant...

si tu as les moyens, le mieux , a mon avis , c'est un comédien animateur pour faire vivre les transitions...mais bon il y a un coup financier évident..

voili voilou

frank

Publié le

voici l'avis d'un professionnel (ce n'est pas moi rassurez vous). Il faut d'abord écrire une histoire et ensuite incorporer les effets magiques dans la trame de l'histoire puis vient ensuite la mise en place de la musique et de la lumière (pour la scène).

la conception de l'ensemble doit avoir un développement avec des effets de plus en plus fort (sans temps mort) avec un final (et oui il y a du boulot plus de multiples répétitions pour que tout soit lisse et semble naturel)

Pour la plus part d'entre nous nous contentons de présenter des tours, qui comme il est dit plus haut, qui n'ont pas forcément de suite logique et le spectateur est très vite perdu ou décroche parce que l'on a pas matière (où su) à retenir son attention.

Donc un conseil regardez les professionnels et analysez ce qu'ils présentent (scénario, présentation, magie, musique, lumière)

toujours débutant et assoiffé de savoir

Publié le

Toutes ces remarques sont pour moi très judicieuses (même si les effets ne sont pas finalement de plus en plus fort, tout dépend du rythme général de l'ensemble mais il en va en magie comme en musique, parfois un silence après un temps très fort est tout à fait approprié... Et ce, même si la recette "classique" de la progression tout au long du numéro fait ses preuves".)

Nous parlons bien ici d'un enchainnement de plusieurs numéros par LE MÊME ARTISTE ?

Dans ce cas le théâtre ou le café-théâtree apporte beaucoup d'élément de réponses. Une solution est de concevoir le show comme un tout, ce qui n'empêche en rien d'avoir un entre-acte par exemple. L'idée d'une intervention d'une autre personne n'est à mon avis valable que si sa présence est justifiée et pensée dans la mise en scène et l'histoire.

Je rentre à l'instant du spectacle "Le magicien Voyageur" de Peter Din. Il y a trois grandes partie dans le show, avec une sortie entre chacune de ces partie. Peter Sort tout simplement de scène, une musique vient parfois entre l'entrée et la sortie. Mais à chaque fois la sortie est justifiée ou marque clairement la fin d'une action. La sortie la plus longue pour lui est celle où il va chercher Boby, son chien pour le numéro de ventriloquie. Il lui faut donc le temps de se préparer et même s'il est très rapide, l'action commence sur scène avant la sortie pour se poursuivre en coulisse puis revenir sur scène... Entre temps, le changement d'ambiance et l'équipement avec la marionnette a eu lieu. On ne se rend pas compte de la transition, et pourtant elle est bien là...

Pour ma part, en condition de cabaret, je pratique souvent la fausse sortie et l'ammène même parfois sous la forme d'un gag (en revenant d'un autre côté ou avec un accessoire "marrant"). Cela FAIT PARTIE DE MON PERSONNAGE et est donc justifié.

A mon sens, il faut mettre à profit ces moments de transition, les mettre en scène, et transformer ce qui peut sembler comme une faille en un moment fort à part entière.

Je n'ai pas vu ton numéro et ne peut donc apporter que quelques idées qui ont fait leur preuves dans les cas précis que j'ai évoqué, mais peut-être que cela sera le début d'une voie possible...

Cordialement,

Le plus beau sentiment qu'on puisse eprouver est le sens du mystere... (A. Einstein)

Publié le

Bonjour, je viens de lire ce post fort interressant et moi aussi, je me suis poser cette question.

Bon, il faut aussi voir les conditions de la prestation.

Une pose entre deux tour peut etre mise à profit pour présenter quelque chose de particulier, par exemple un ancien dirigeant si sagit d'association ou d'entreprise .

Entre deux routine on peut aussi utiliser un chariot que l'on accompagne en coulisse et on revient ensuite avec autre chose.

Bon, tout ceci se prépare avant en pensant aux anomalie pouvant survenir à tout moment

Bonne magie

*************

magie magie ... quand tu nous tiens .....

T. N... L.... P..

Invité WillQw
Publié le

Pour ma part, je pense que cela dépend du spectacle proposé.

Par exemple, certains comiques proposent une sortie entre chaque scene, d'autres enchainent tout d'une traite..

Par contre, je pense comme John, que chaque sortie de scène doit être justifiée, ou marquer la fin de quelque chose. Si c'est juste sortir pour passer un autre numero sans logique, ce n'est pas bon.

D'où l'interet de toujours créer un univers autour de chque scène proposée. Si celui ci a un début et une fin, alors votre sortie sera logique, comprise de tous. Cela n'empeche en rien d'avoir aussi un univers qui dure tout le spectacle.

Ne pas non plus tomber dans le : 12 numeros, 12 sorties de scène.. il faut quand même regrouper un peu.

Par contre, je crois qu'un presentateur qui reviendrait presenter a chaque fois le meme artiste, au bout d'un moment, ca ferait un peu limite... A garder plutot pour les galas....

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    • Les réponses ici, et c’est impressionnant :   
    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
    • C'est en grande partie parce que ce congrès se déroule sur Paris. Il y a moins de contraintes (déplacements, hôtel, repas) donc l'organisation pour y aller nécessite moins de recherches et il y a des frais en moins. Si ce congrès avait lieu loin de Paris, il rencontrerait, je pense, pratiquement les mêmes problèmes que le congrès FFM. C'est aussi plus intimiste donc on se dit qu'on va un peu plus prendre son temps, échanger plus facilement avec les artistes et les autres congressistes. Pour être allé dans des congrès dans différents pays (The session en Angleterre, BMF en Belgique, FFAP en France et Masters of Magic en Italie), je dirais que ceux qui ont le public avec le plus de jeunes sont les congrès Italiens et Anglais. Pour The Session, la proximité de Londres joue indéniablement. Pour Blackpool, je n'y suis encore jamais allé mais c'est la très grande foire aux trucs qui semble être le plus gros point d'intérêt. Pour les congrès Italiens, c'est très animé avec Walter ROLFO et son équipe (entre les soirées à thème, les hall avec du mobilier qui favorisent au maximum les échanges, une ambiance toujours assez festive et surtout de très beaux plateaux, de beaux programmes). Je regrète juste qu'il ne fasse plus le congrès à Saint Vincent qui est une magnifique petite ville avec un casino qui comportait une salle de spectacle garantissant une bonne visibilité contrairement aux salles à Turin). Et pour les Français, Allemands et Suisses, ça faisait aussi moins de route. Pour revenir aux masterclass, je pense que les déceptions sont essentiellement par rapports aux masterclass dans les congrès que l'on règle en plus, parfois assez cher et qui se font sur 2h souvent et par groupe de 10 à 15, ce qui n'est pas un format adapté. Ce sont ces masterclass qui, je pense, laisse l'impression d'avoir assister plus à une conférence en petit commité qu'à une vraie masterclass. Il faut un après-midi voir une journée entière pour laisser le temps au maître de stage de voir ce que vous savez faire, évaluer votre niveau et puisse vous corriger, vous donner les bons tuyaux pour progresser. Et il ne faut selon moi ne pas être plus de 6. Mon raisonnement est le même que pour les cours de soutien que je donne à certains élèves en Physique-Chimie. Au delà de 6, en 1h de soutien, je ne peux pas passer plus de 10 min derrière chacun et ça revient à refaire un cours classique plus qu'un cours de soutien. En 1h, j'aborde les difficultés sur à peu près un chapitre donc des exercices sur un même sujet. Pour un masterclass de magie, en un après-midi, on peut envisager de travailler sérieusement 4 - 5 routines si elles sont déjà apprises (si les "élèves" savent déjà la faire mais mal et qu'il faut les corriger), moins si on part de zéro (si il faut apprendre la routine). Et puis par rapport à un cours de soutien où on sait que tous les élèves qui vont y venir sont en grande difficulté, le niveau sera plus hétérogène dans un masterclass de magie (entre celui qui maîtrise déjà bien la routine et qui veut pousser le truc plus loin, trouver des plans B ou C si il arrive ceci ou cela, trouver une accroche, une présentation et celui qui aimerait présenter la routine mais qui l'a juste vue ou lue). Il faudrait presque faire des groupes de niveaux après une première partie en commun. Mais certains n'accepteraient peut-être pas d'être mis dans les "débutants" après avoir payé cher l'entrée. Gérer les égos est aussi un obstacle parfois mais il est vrai que lorsqu'on se retrouve dans un groupe ou l'un demande à apprendre une technique de base, c'est un peu rageant pour d'autres.  
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