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Publié le

La seule information que j'ai pu trouver sur la baguette magique, c'est dans le dictionnaire de la Prestidigitation de Jean de Merry et André Ciocca comme quoi les magiciens européens l'utilisaient déjà en 1404, selon un dessin de Joseph de Ulm. Jacques Ozanam (1723) la mentionne sous le nom de "Bâton de Jacob" Mais rien sur l'origine

NIRAG

www.nirag.fr

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Publié le

Certains artisans ont créé des objets pour s'associer à ce thème issu du « merveilleux ». Les peuples autochtones, certains chamans, des apprentis-sorciers ou des pratiquants de la Wicca peuvent utiliser des bâtons de parole ou des baguettes serties de cristaux assimilés parfois à des « baguettes magiques » dans leurs rites.

source wikipédia

lien: http://fr.wikipedia.org/wiki/Baguette_magique

Publié le (modifié)

J'ai trouvé ça sur un blog consacré à l'ésotérisme... Au début, il y a un élément de réponse qui me semble cohérent, après ça part un peu en sucette ! :crazy:

le bâton ou la baguette magique sont le prolongement naturel du bras et constitue le symbole du commandement et du pouvoir.

le bâton ou la baguette magique ont pour fonction de canaliser l'énergie émanant du maître et démontre sa puissance de commandement sur l'environnement.

Ils sont aussi la prise de force du rayonnement tellurique quand il est fiché en terre, il sont le canal priviligié fonctionnant dans les deux sens.

Planté en terre et tenu dans la main gauche (la main qui capte), il devient semblable à l'arbre, lieu de rencontres des forces cosmiques et telluriques dont le rayonnement s'effectue par cercles concentriques depuis le tronc, pariel au menhir , qui célèbre le coït entre le ciel et la terre.

le bâton de maîtrise est généralement un simple morceau de bois.

Bien que les origines du bâton et de la baguette soient communes , les deux fonctions se sont spécialiées.

Le bâton est un outil de captation cosmo-tellurique, la baguette constitue un "projecteur" canalisant l'énergie émise de l'opérateur, concernant l'action.

Le bâton est donc tenu dans la main gauche (captatrice) et la baguette dans la main droite (émettrice).

le matériau d'origine est le bois;

Les conifères sont à exclure du fait de la présence de résine dont les propriétés ssont éléectriques et ne conviennent pas !

le sureau semble jouir d'une réputation d'exception!

Le bouleau: Il est particulièrement efficace dans les rituels de guérison et de magie blanche.

Le chêne: Il sert spécialement à la pratique de rituels druidiques et de magie solaire.

Le saule: Il est habituellement réservé aux rituels à la lune.

L'érable: Il est tout particulièrement recommandé pour les rituels de prospérité et d'amour.

Le peuplier: Il est particulièrement efficace pour les rituels pour attirer la chance et la richesse.

L'orme: Il est conseillé pour la pratique des rituels de protection ou encore pour neutraliser les influences négatives.

Le noisetier: Il est souvent réservé pour les rituels de magie blanche.

l'If : un bois très prisé par les druides pour créer leur baguette. sous l'influence de la planète saturne.

LONGUEUR

La longueur de la baguette doit être de la longueur de l'avant bras de celui qui l'utilise mesurée depuis l'extrémité des doigts jusqu'au coude.

le bâton doit avoir la taille de l'opérateur augmentait d'un empan

(L'empan est une unité de longueur ancienne bien pratique. Elle a comme base la largeur d'une main ouverte, du bout du pouce jusqu'au bout du petit doigt, soit environ 20 cm)

Modifié par Cedrik

"Il faut se ressembler un peu pour se comprendre,

mais il faut être un peu différent pour s'aimer."

Paul Géraldy.

Publié le

Moi j'ai trouvé :

" La baguette magique est le prolongement phallique de l'artiste à l'ego surdimensionné. La longueur de la baguette est sensiblement identique à la longueur d'une protubérance charnelle en mâle de reconnaissance"

Il faut aussi savoir que la baguette était à l'origine une branche utilisée comme perchoir par le Chat Manne, compagnon fidèle de Moïse.

Les pratiquants de la Wicca utilisaient les bâtons de parole. Désormais les magiciens critiqueurs, défenseurs du "Yaka-Faukon" utilisent ce symbole de virilité. Certains de ces magiciens aiment à montrer leur virilité défaillante avec la baguette "Kisskass"

Source Whiskypedia

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

Publié le

Moi j'ai ça !!!

Les premières trace de l'utilisation de la baguette magique remonte à l'Egypte et le Grèce antique.

A cette époque se n'était qu'un vulgaire bâton qui symbolisai l'autorité et les pouvoirs magiques ou mystiques.

Depuis l'aspect et la symbolique de la baguette ont changé.

Cet au moyen âge que les magiciens alchimiste l'adoptèrent comme symbole de leurs pouvoirs magiques.

On ne s'est pas à quand remonte la première utilisation de la baguette magique dans un tour de magie. Mais au moyen âge les magiciens de rue découvrir ses nombreuses possibilités bien qu'elle avait un attrait occulte.

Les techniques qu'ils développèrent avec, par exemple le détournement d'attention, sont toujours utiliser de nos jours.

A la fin du moyen âge la magie n'est déjà plus perçue comme de la sorcellerie.

A la fin du XIX siècle, alors que Robert Houdin révolutionne la magie, la baguette reste qu'en même un outil essentiels. Elle a alors l'aspect qu'on connaît aujourd'hui : noir au bouts blancs.

Au début du XX siècle, les magiciens adopte la queue-de-pie et le chapeau haut forme.

La baguette est toujours utilisée et elle est à présent truquée..

Aujourd'hui, les magiciens ont pour la plupart mis de coter la baguette magique, mais elle revient souvent dans les spectacles pour enfant.

Pour voir qu'il fait noir, on n'a pas besoin d'être une lumière.

Publié le

Donc, élément de réponse : c'est Robert Houdin qui a créé ce design (on ne disait pas design à l'époque, c'est à noter). Mais quelqu'un sait-il pourquoi il a mis des bouts blanc (pourquoi pas une baguette avec un seul bout vert par exemple ?). Y-a-t-il un rapport avec les gants blancs ?

A l'avenir, je profiterai plus de l'instant présent que par le passé.

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    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
    • Entre temps, j'ai eu un retour de @Pathy BADD qui a demandé à Peter DIN le vice président de la FISM et en charge des notations.  Sa réponse  Cela répond donc à ta question sur les 120 points 😜
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