Tu peux te renseigner, comme tu l'as fait il y a quinze jours, en écrivant à Frantz où à moi même, ce qui en soit est normal. Mais alimenter des critiques incessantes, avec d'autres, c'est fatigant pour ceux qui travaillent. Et je te le redis, la RdlP est un organe associatif et malgré mes demandes dans plusieurs éditoriaux, et même directement par mail (en ce qui te concerne) je n'ai pas vu l'hombre d'un article émanant de ta personne. Pourtant, faire partie d'une association (ou fédération) c'est bien aussi participer à sa vie et à son développement non ? Écrire, une fois par an, un compte rendu ou un article ne prend pas trop de temps. Il faut juste avoir envie de la faire.
Comme je l'ai écrit plus haut, l'immobilisme me peine beaucoup. Mais la majorité silencieuse à la bonne idée de le rester aussi au moment des critiques. Ce qui me devient intolérable, ce sont ces gens qui ne participent pas, qui ne font rien et qui critiquent avec véhémence, ceux qui travaillent, en mettant leurs propos sur la place publique dans l'espoir que la polémique enfle... Lorsque tu travailles beaucoup, lorsque tu passes beaucoup d'heures (beaucoup plus que tu ne peux l'imaginer) pour rendre la RdlP vivante, intéressante, diversifiée, alors oui tu acceptes mal les critiques de ceux qui ne font rien et qui comme je l'ai écrit plus haut, ne se positionnent qu'en consommateurs et non en tant que membres. La RdlP n’est pas une revue privée, mais bien un organe de liaison entre les membres de la fédération. Elle n’a pas de journalistes attitrés, et compte sur les adhérents pour la faire vivre. Il serait donc bien que ces derniers passent plus de temps à y participer et moins à critiquer.
La ponctualité ? Seul celui qui n’a jamais été en retard peut se montrer intransigeant à ce niveau-là ! Pour les autres, un peu de compréhension ne fait pas de mal.