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David UD0VTSCH

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Tout ce qui a été publié par David UD0VTSCH

  1. J'ai la chance de posséder toute la collection des " the MAGIC of ABC" (devenu the MAGIC of David Copperfield" au bout de quelques épisodes) et c'est vrai que des les débuts, il y a vraiment de chouettes choses à revoir (plus à voir d'ailleurs car toute cette période est vraiment méconnue en France,et à part les quelques extraits des TMODC les plus récents diffusés dans les années 90 dans la fameuse émission avec Claudia Shieffer "15 years of magic", le reste est inconnu du public non américain). Mais à quand une nouvelle émission?! Rien depuis Tornado of Fire qui personnellement m'avais un peu laissé sur ma faim, avec cette scène circulaire "bidon" (bon certes il y avait tout de même de chouette effets en soit, Thirteen, Portal...)
  2. A voir aussi, sa version de Airtight (Jay Sankey)! [video:youtube]
  3. Je fais remonter ce post pour faire une petite critique des livres Art of astonishment: Tout ce que j'ai à dire, c'est que comme d'habitude, quand j'achete un livre, je prépare mes petits marques pages pour noter les tours qui me plaisent au fur et à mesure, mais avec ces livres, je me suis très rapidement rendu compte que cela me coûterait cher en petit papier, car je marquais pratiquement toutes les pages! Non franchement, n’hésitez plus, une MINE D'OR!
  4. C'est à moitié un parti pris, les personnages réagissent très mal à la lumière sur ce soft 3D et donc rendent comme si ils n'étaient pas éclairés, bien qu'il y ai de la lumière sur eux. Mais cela étant concernant l'éclairage de face, je déteste, et moins je peux en mettre dans mes créas, mieux je me porte
  5. Je rejoint plusieurs commentaires: Je n'ai pas compris le premier effet, dans le sens où je n'ai aucune idée de ce qu'il se passe a vrai dire, mais le second effet est sympathique! (j'aurais presque dis, "sympa à faire avec des écouteurs empruntés", mais si le tour fonctionne comme je l'imagine... moyen ) Effectivement, par pitié, STOP le tirage de gueule sur les vidéos de Street Magic, ça ne sert à rien, ça ne te rends pas "plus mystérieux", surtout à ton age... on dirais juste que t'est pas sympa alors que je suis certain du contraire... bref mais là on rejoint un sujet laaargement déja débattu Mais sinon, après toutes ces critiques, bravo tout de même pour ta vidéo, je trouve que c'est une bonne initiative! ps: la prochaine fois, investis dans un pied de caméra, ça n'a l'air de rien, mais tu verra ça change la vie!
  6. merci beaucoup, très intéressant tout ça !
  7. Bonsoir à tous! En attendant que la mise à jour de mon vieil article de jeunesse sur la lumière soit publié sur le site de VM, j'ai souhaité vous en faire profiter sur le forum. N'hésitez pas à me faire des retours et à me poser des questions! Prochainement une deuxieme partie... Techniques d'éclairage scénique Je vais tenter par le biais de cet article de vous initier à l'éclairage de spectacle et de vous apporter les bases pour éclairer efficacement votre spectacle. Nous allons d'abord voir le coté technique, avec les divers types de projecteurs, ainsi que les moyens de commande, puis nous parlerons du coté artistique dans un futur article. LES DIFFERENTS TYPES DE PROJECTEURS Il existe principalement deux grandes familles, les projecteurs traditionnels et les projecteurs automatisés. Je m'attarderai peu sur les seconds dans cet article, leur utilisation étant réservée majoritairement selon moi aux "gros spectacles", et surtout aux gros budgets. Avant toute chose, je tiens à éclaircir un terme que je vais souvent utiliser, et qui peut porter à confusion: une lampe. Pour le grand public, la lampe est l'ensemble du luminaire, tandis que pour un éclairagiste, la lampe, c'est l'ampoule pour le grand public. De plus, il existe deux types de lampes: Les lampes halogènes: ce sont celles ci qui sont surtout utilisées en spectacle dans les projecteurs traditionnels. Elles sont connues du grand public, car ce sont les classiques lampes à filament. On y a simplement introduit un gaz afin d'augmenter leur durée de vie. Elles existent en une multitude de puissances, de formes et de culots, et sont relativement peu couteuses Les lampes à décharge: équipant la majorité des projecteurs automatisés, ces lampes ont un bien meilleur rendement que les lampes à filament (pour une même puissance, l'intensité lumineuse est environs 4 fois supérieure). Leur principe consiste à créer un arc électrique entre deux électrodes, celles ci étant plongées dans un gaz qui s'échauffera. Ces lampes ont une très bonne durée de vie, mais sont très couteuses. Le défaut principal pour les utiliser en spectacle est qu'elles ne sont pas graduables (ou du moins, pas totalement), et surtout qu'elles mettent un certain temps à atteindre leur niveau de luminosité normal, l'échauffement nécessitant parfois deux bonnes minutes. Encore une fois, il existe une multitude de puissances, il n'est pas rare de croiser des projecteurs de 18kw sur les plateaux de cinéma. Bien entendu pour compliquer le tout, il existe des projecteurs automatisés avec des lampes halogènes et des projecteurs traditionnels avec des lampes à décharge, d'ailleurs plus courant, et surtout utilisés dans le monde du cinéma, et de la télévision. Voici donc les projecteurs les plus courants: Les traditionnels La famille des PAR Un PAR (pour "parabolic aluminized reflector lamp") est le plus simple des projecteurs. Grossièrement on peut considérer que c'est une simple boite en métal, s'apparentant à une boite de conserve, c'est pour cela qu'il coute très peu cher. Toute l'optique, est regroupée dans la lampe, d'où le nom. Il existe plusieurs tailles de PAR, PAR 16, 20, 30, 36, 38, 48 56, 64. Le chiffre correspond au diamètre en pouce multiplié par 8 (ça, inutile de le retenir), les PAR les plus utilisés étant les 36, 56, et 64, respectivement de 50, 300 et 1000w. Le faisceau est modulable en fonction du type de lampe montée, les plus courantes étant les CP60, CP61, et CP62, de plus en plus large. Il existe beaucoup de possibilité de type de lampe, de puissance en fonction du PAR. Dans la pratique, ce projecteur fournit une lumière assez pêchue, une tache de lumière très vive mais sans bord vraiment défini. Il est très utilisé! Le dernier réglage possible sur ce type de projecteur est "la banane": en effet, le faisceau n'étant pas rond, mais ovaloide, on pourra donc orienter le sens de cet oval... en tournant simplement la lampe par l'arrière du projecteur! Un PAR64, et une lampe type CP62, la plus large donc! Les PC et Fresnel J'ai choisi de regrouper ces deux projecteurs car ils diffèrent seulement de par leur lentille. Le système optique est simple: une lampe (traditionnellement au théâtre de 1KW, mais encore une fois, il en existe en 150W, 300, 500... jusqu'a 2kW, et j'ai même vu un jour un Fresnel de 10kw!), placée devant un réflecteur renvoie sa lumière à une lentille qui la focalise en un cône de lumière. Le diamètre du cône est variable, la lampe se déplaçant sur un chariot dans le projecteur. Une lentille de type PC (plan/convexe) produira un faisceau aux bords assez durs, tandis qu'une lentille de type Fresnel produira un faisceau aux bords très doux. Il existe aussi des lentilles PC martelées, pour casser un peu les bords durs. Projecteur PC, avec une lentille claire, plan convexe et une Lentille Fresnel Les découpes Un projecteur de découpe s'apparence à un projecteur PC, mais son système optique plus perfectionné permet d'avoir de jolis bords très nets. On peut y régler le diamètre du faisceau et la netteté. Il dispose également de couteaux (4) qui, placés au centre optique permettent de créer des formes et donc de délimiter des éléments très précisément. On peut également glisser une forme découpée dans une feuille de métal, un GOBO, pour projeter logo, ou tout autre motif. A noter qu'il existe des gobos en verre, coloré ou non. Un projecteur de découpe Les projecteurs d'ambiance Ces projecteurs sans grande qualité optique ont un faisceau très large et peu défini. On s'en sert pour couvrir de grands espaces au sol, ou pour éclairer des cycloramas, grandes toiles gris clair placées en fond de scène. Parmis le plus classique, on trouvera le cycliode: Voici pour les projecteurs traditionnels les plus classiques, il y a déjà de belles possibilités! Le contrôle des projecteurs traditionnels Un simple branchement sur une prise 220V fera briller nos projecteurs, cela peut suffire , mais souvent il est nécessaire de faire varier l'intensité de nos projecteurs. On utilise pour cela des Gradateurs. Chaque gradateur dispose classiquement de 6, 12 ou 24 voies de 2KW chacune. Soit on les commande localement grâce à des potentiomètres, soit de façon numérique, et pour cela je vous invite à lire le chapitre suivant! Pour la couleur de projection, on utilise des filtres appelés Gélatines (or, il y a bien longtemps que la gélatine n'entre plus dans la composition des filtres!). Les catalogues des fabriquant sont immenses, et après ce n'est presqie plus qu'une question de bon gout pour le choix des bonnes couleurs... Mais je dis "presque" car cela reste un métier! http://www.leefilters.com/ http://www.rosco.com/uk/index.cfm Les projecteurs automatisés C'est la famille la plus récente, arrivée du numérique oblige! En effet, ces projecteurs sont contrôlés via une liaison digitale nommée DMX512, 512 pour 512 canaux disponibles, de chacun 256 pas. On peut donc contrôler 512 projecteurs traditionnels sur un univers DMX (1 univers = 512 canaux). Sur un gradateur de 12 canaux, l'adresse 1 contrôlera le projecteur branché en 1, etc... Mais un projecteur automatisé dispose d'autres fonctions que la simple gradation, et les canaux sont donc utilisés pour choisir par exemple la couleur (roue de couleurs, ou même trichromie sur 3 canaux), le gobo, la mise au point.... Par exemple, le Canal 1 sera consacré au Dimmer (gradation), le canal 2 au gobo (valeur 1 à 30= gobo 1, valeur 31 à 70= gobo 2...) ... Je passe dans cette catégorie tout les projecteurs automatisés destinés à l'animation des soirée de type Goboflower, laser... Les projecteurs de type Lyre et Scanner Concrètement ce sont des sortes de découpes, mais entièrement automatisés, en mouvement, couleur, gobo, mise au point... Les scanners se servent d'un miroir pour déplacer les faisceau, ils sont assez rares dans le milieu, et surtout destinés aux DJ, et tendent même à ne plus être utilisés du tout! Sur les Lyres (communément appelées "Machines" ou "Autos") , c'est le projecteur entier qui se déplace, le débattement est donc beaucoup plus important que les scanner que cela soit en PAN (panoramique, de gauche à droite) ou en TILT (de haut en bas). Ces automatisés peuvent être équipés de lentille claire, pour de la projection nette (type SPOT), mais aussi d'une lentille type Fresnel pour du nappage de couleur (type WASH) Ces projecteurs nécessitent souvent plus de 20 canaux DMX. Je passe rapidement sur ces projecteurs, car ils coutent relativement cher (plus de 6000 euros pour une machine de qualité), et demandent de sérieuses connaissances quand à leur utilisation. Deux lyres, SPOT et WASH, ainsi qu'un scanner, pour la postérité! Les changeurs de couleur Il existe des changeurs de couleur dotés de lampes à décharges, de très bonnes facture, mais qui aujourd'hui font mauvaise mine face à une technologie incontournable: la LED! Ces projecteurs permettent de créer des nappages de couleur, en trichromie additive, c'est à dire que l'on dispose de trois réglages principaux, la proportion de Rouge, la proportion de vert, et la proportion de bleu. On pourra donc créer en théorie toutes les couleurs voulues. Le faisceau se rapproche d'un PAR ou d'un Fresnel. Les meilleurs projecteurs disposent aussi en plus de LEDS Blanches pour avoir un beau... blanc (en effet, l'ajout des trois composantes RVB ne crée tout de même pas un blanc parfait), dont on pourra même régler la température de couleur (de blanc chaud à blanc froid). Certains projecteurs sont entièrement automatisés sur leur mouvements. Ils disposent également soit de lentilles additionnelles pour régler la taille du faisceau, soit d'un zoom. Attention aux projecteurs que vous achetez: en effet, le marché est inondé de produits bas de gamme, peu chers certes, mais de mauvaises qualité: aucune puissance, faisceau horrible, et surtout "effet pizza": les leds de chaque couleur sont toutes ensemble, ce qui fait que lorsque l'on veut créer un banc, le projecteur est constellé de couleurs d'ou le nom de pizza. De plus, dans de cas, de près le mélange de couleur ne peut se faire. Il faut vraiment acheter des projecteurs sur lesquels le mélange RVB se fait à la source même, le prix en est plus élevé mais la qualité est souvent là. Les projecteurs bas de gamme sont reconnaissables par leur grande quantité de petites LEDS sur leur face. Projecteur LED de bonne qualité... à coté d'un projecteur de piètre qualité! Lyre Wash à led La commande des projecteurs Bien, maintenant il va falloir commander tout ces projecteurs. Nous allons partir du principe que nous utilisons le DMX. Pour tous les relier ensemble, rien de plus simple, chaque projecteur ou gradateur dispose d'une prise DMX IN et DMX OUT, il suffit donc pour créer son réseau de tout relier en cascade, en partant de la prise DMX out de notre console de commande. Il existe des multiprises DMX (Splitter) pour simplifier le câblage et éviter les grandes longueurs. Le DMX utilise des câbles à 5 conducteurs, et des prises XLR 5 broches. Cela étant, les deux derniers conducteurs n'étant pas utiles la plupart des cas, les constructeurs qui souhaitent faire des économies ne mettent généralement que des prises XLR 3 broches. Il faut ensuite donner une adresse aux projecteurs, pour qu'ils sachent quelles valeurs ils vont devoir recevoir. Par exemple imaginons que nous ayons un gradateur de 12 canaux, ainsi que 4 projecteurs à LED de 4 canaux chacun: Nous allons donc régler notre gradateur sur l'adresse 1, et chaque projecteur à LED respectivement aux adresses 13, 17, 21 et 25. On pourrait aussi débuter à partir de l'adresse 100, ou même mettre la même adresse à nos projecteurs LED, pour économiser des canaux: dans ce cas, ils réagiraient de la même façon tous ensemble. Les adresses sont données au projecteurs soit grâce a des afficheurs digitaux, soit grâce a des dip switchs. Il faut bien noter quelle adresse est assignée à chaque projecteur, sinon on se perd vite, surtout dans le cas d'installations conséquentes. Passons aux consoles de commandes. Le plus souvent, une petite console manuelle suffira. Classiquement, celles ci disposent de 24 ou 48 canaux, avec deux préparations: on crée notre état lumineux sur une partie de la console grâce aux potentiomètres, celui ci est envoyé, et pendant ce temps, on crée l'état suivant sur la deuxième partie, et ainsi de suite. Ce type de console est réservé aux projecteurs traditionnels voir, aux projecteurs à LED, mais ne permettent par de réaliser beaucoup d'effets à part des chenillards (clignotements). De plus, peu permettent la réalisation de mémoires, peu pratique donc, ceci dit ces consoles sont assez peu onéreuses et fonctionnent bien pour les petites installations. Console manuelle 24 canaux Les consoles plus évoluées sont hélas très chères, sauf en location, et il est peu raisonnable d'investir dans ce type de machine, qui nécessitent en plus de très bonnes connaissances! C'est encore une fois un métier! Aujourd'hui il existent de petits boitier USB/DMX, peu chers et de très bonne qualité. Ils permettent grâce a des logiciels souvent gratuits de contrôler tout type de projecteur, de faire des mémoires, des effets. http://www.chamsys.co.uk/download http://users.telenet.be/freestylerdmx/ Boitier USB/DMX de chez ENTTEC Conclusion Voilà pour cette première partie consacrée principalement au coté technique de l'éclairage. J'ai tenté d'être le plus complet et explicite possible, mais c'est un milieu très riche, et en constant renouvellement. N'hésitez pas à m'écrire pour me poser des questions! Dans un prochain article j'aborderais le coté artistique de la lumière, le placement des projecteurs, l'intention, la signification...
  8. Bonsoir à tous! Je viens vers vous ce soir pour vous demander un petit coup de pouce... Voilà, je participe à concours de jeune créateur lumière organisé par la societé MARTIN. Le principe est simple: il fallait faire une vidéo 3D avec un design lumière sur une chanson de son choix, avec une scène imposée. Le concours se termine ce samedi (le samedi 16 Mars à Minuit), et le gagnant est celui qui récolte le plus de votes. Celui ci gagne une version logicielle d'une console lumière du fabricant, ainsi qu'un voyage à Francfort au salon Prolight+Sound. Comment m'aider à gagner? Et bien c'est simple, il faut avoir un compte Facebook, et ça prend à peine 20 sec: Il faut simplement se rendre sur cette page Facebook qui est la page de ma vidéo, et cliquer sur voter! : https://apps.facebook.com/offerpop/Contest.psp?c=299582&u=1178423&a=202991206406825&p=176728505692086&v=Entry&id=v12571&rest=1 En plus, il y a assez peu de concurrents, mais surtout, je suis le seul Français! Alors même si l’éclairage ne vous passionne pas, au moins pour défendre la création artistique dans notre beau pays... ? Bref, merci à tout ceux qui m'on lu, merci à ceux qui regarderons la vidéo, et donc un triple merci à deux qui cliquerons sur "VOTER" à bientôt, DAVID
  9. Une nouvelle édition de cet ouvrage (544 pages) est prévue pour le 10 mai 2013 et vu le prix (moins de 60 €) je pense qu'il s'agit d'une version 'poche'. wOW, merci de l'info! Je me met 15 post it pour être sur de pas le louper! tu as vu ça ou?
  10. Serieusement?! Alors pour ma part, lorsque je présente un effet de lévitation, je préféré jouer franc jeu et annoncer que l'objet sera rattaché à un morceau de fil et leur montrer ce qu'est un barillet, et c'est encore plus magique car incompréhensible pour les spectateurs, le fil est invisible!
  11. Comme ça, j'aurais dit peut etre en le chauffant...
  12. Je ne connais Artmik que par les vidéos, mais comme beaucoup, je ne peux que lui apporter tout mes voeux de rétablissement. Courage face a cette épreuve!
  13. tu es sur que c'est dans le 1 (on parle bien des fascicules New original MAGIC?)? J'ai feuilleuté, et rien du tout!
  14. Je ne pense pas que ce tour soit commercialisé. Mais en tout cas, rien de très compliqué à reproduire quand on fouine un peu
  15. Pourquoi pas un immeuble en petit? Tu pourrais même en éclairer les fenêtres!
  16. De bonnes idées! Par contre, rien qu'en voyant le titre de ton post, j'ai rapproché, ton Pyris, du Pyris de Nicolas Lepage. Meme gimmick/idée, ou mon esprit divague?
  17. Mais d'ailleurs, où peut on trouver l'explication de ce tour? Je connais la version de Duraty avec les lames de rasoir, mais jamais vu aucune description de la version "aiguilles"!
  18. C'est drole, j'ai recement acheté le premier recueil des MAD MAGIC, et au vu de certains articles, j'ai l'impression qu'il y a des emm*erdes depuis cette époque (voir avant?) à la FFAP!
  19. Pour ceux qui s'interessent un peu à Tesla, je vous conseille le très beau livre "Des éclairs" de Jean Echnoz, pas vraiment une biographie, pas vraiment un roman, disons, une biographie romancée!
  20. J'ai smoker qui est TRES bien !! Smoker pro a l'air d'être encore mieux (mais pas le même prix...) je viens d'aller voir la vidéo démo de smoker sur un site marchant (vidéo qui semble être la vidéo "officielle), et, je ne sais pas si c'est moi, mais clairement ont voit la fumée sortir de la manche... peut etre juste un mauvais timing de la part du magicien, mais en tout cas peu convaincant je trouve!
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