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Ariel FRAILICH

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Tout ce qui a été publié par Ariel FRAILICH

  1. Ouellecomme, tout le monde ! J'ai trouvé ce fichier par hasard, en essayant de trouver les 2 tomes pour pas cher (lorsque j'ai quitté Bruxelles, j'y ai laissé les miens ). Il n'y a donc pas de raison pour que je trouve d'autres biographies. Mais ça ne doit pas être trop difficile à en trouver, s'ils existent.
  2. PDF à télécharger, gratuit. Auteur du Manuel Pratique de Prestidigitation et Illusionnisme et bien d'autres livres sur plusieurs sujets. Personnage très intéressant ! Une biographie de Rémi Ceillier.pdf
  3. En fait, c'est Roll-Over-Kill et c'est de moi, Ariel Frailich. Le 4e livre d'Allan Ackerman est « Magic Mafia Effects », 1970, 39 pages, reliure spirale.
  4. Ah, oui — ça fait bien longtemps... Merci, René-François !
  5. Oui, une compilation, mais il n'est pas dit que tout ce qui y figure a été publié auparavant. En plus, il me semble qu'il y a aussi des mises à jour.
  6. Ah, voilà — merci beaucoup Max Magic ! En effet, j'avais entendu parler des traductions de Jean M. à l'époque, mais je n'en ai jamais vu. Et bien sûr, j'ignorais qu'il avait traduit le LePaul.
  7. À vue de nez — je viens de lire, je n'ai pas eu le temps de bien y réfléchir — je dirais que beaucoup de sucker tricks peuvent être présentés sans prendre les spectateurs pour des imbéciles si le protagoniste n'est pas présent, c.-à-d., s'il s'agit d'un personnage dans une histoire. C'est un peu comme le bonneteau tel que René Lavand le présentait : il raconte qu'il était à côté de quelqu'un qui y jouait et il lui disait à chaque fois, Non, señor, ce n'est pas la bonne carte, etc. Pour la toute petite histoire (non, je ne cherche pas la petite bête ), un twist en anglais et dans ce sens-ci, donc littéraire, veut dire un tournant, généralement surprenant : quelque chose d'imprévu, une surprise, une révélation, etc. Un des premiers grands maîtres du twist était le romancier américain O. Henry. Il y a un tour de rassemblement d'as dans un paquet, mais lorsque le 4e devrait y arriver, le paquet ne contient que des cartes indifférentes, et les 4 as se retrouvent dans un autre paquet : « O. Henry Four Aces » (dans Frank Garcia).
  8. C'était la veille du congrès de Bruxelles en... 1974, je crois. Il y avait une salle dans laquelle les congressistes pouvaient se rencontrer, ce qu'on appelle le "night-before party". Jean Merlin faisait des tours à une table. En très peu de temps, presque tout le monde est venu voir. Les chaises autour de la table étant occupées, on était presque tous debout autour de lui — non seulement devant, mais aussi à sa droite, à sa gauche, et même derrière lui, regardant par-dessus sa tête. Et il a fait du lapping (entre autres) et on a tous été bluffés.
  9. Je ne suis malheureusement pas à jour en ce qui concerne le lapping, et je suis certain qu'il y a d'excellentes techniques et approches de pointe qui valent la peine d'être étudiées. Mais je parie qu'il n'y a personne qui a trouvé ce que Merlin a trouvé, et qui vaut son pesant d'or : une façon de faire du lapping complètement entouré !! On devrait lui demander s'il a jamais écrit un traité sur le lapping, et sinon, l'encourager à en écrire un.
  10. J'ai étudié pratiquement tout ce qui était disponible sur le lapping dans les années '70. À mon avis, le maître incontesté du lapping à cette époque, c'était Jean Merlin. Je sais qu'il en a parlé dans son Petit Livre de Close-Up; il a peut-être écrit autre chose sur ce sujet.
  11. Je crois qu'il s'agit aussi d'une question d'émerveillement. Plus on réussit à émerveiller le spectateur, moins ça l'intéresse de savoir comment le tour est réalisé. Je vous félicite donc — avec beaucoup de retard ! — à y être parvenu !
  12. Aïe ! C'est de Paul Curry, même si Lorayne avait sa propre version. Il est plutôt connu pour une version très différente, Out of This Universe.
  13. « The Waco Kid », inspiré d'un vieux film, « Le shérif est en prison », sur mon blog.
  14. Désolé, ça ne vaut pas la version originale. Voir « Tours pour toilettes, salles de bains, bains turcs, saunas et autres pièces d'eau », Ed Marlo, 1946, 22e méthode.
  15. J'ai mal au cou à force de hocher la tête à chaque phrase écrite ci-dessus !
  16. Hélas ! Quand quelqu'un sur Facebook écrit qu'il faut absolument voir Untel faire Le meilleur tour du monde, je vais sur Youtube pour regarder. Dans le meilleur des cas — un grand nom que je ne connais que de réputation — je regarde jusqu'à la fin et... je reste sur ma faim. J'ai l'impression d'avoir gaspillé mon temps. Dans le pire des cas, j'arrive à tenir le coup pendant 30 à 60 secondes, puis je m'ennuie tellement que je ferme la page. Ce n'est pas que je suis blasé. Je fais de la magie depuis une cinquantaine d'années et j'ai vu et rencontré des tas de grands noms, mais ça ne m'empêche pas d'être émervellé par quelqu'un qui fait un bête tourniquet avec une pièce en disant quelque chose d'intéressant, qui réussit à m'entrainer dans un autre monde, ou qui me fait rire — ou pleurer — ou me poser des questions, etc. En effet, peu arrivent à ce stade.
  17. Simon Cowell, ancien producteur de musique, est le créateur, fondateur et propriétaire des séries Incroyable Talent. Il est également l'un des juges dans les éditions anglaise et américaine. Or, de temps en temps, il arrête un chanteur tout au début de la chanson et lui dit : « Recommence en y mettant du coeur. » (Si le concurrent comprend, c'est un triomphe, avec standing ovation du public — et parfois des juges — etc.) J'en déduit ceci : Il faut un minimum de technique (si le chanteur chante faux, Cowell l'envoie paitre illico); Mais la technique seule ne suffit pas; il faut jouer sur les émotions des spectateurs. Pourquoi en serait-il autrement pour nous ? Ça fait des décennies que j'entends des magiciens dire que les effets magiques en eux-mêmes peuvent éliciter le sentiment d'émerveillement. Franchement, j'en doute — et même si j'ai tort, il y a toutes sortes d'autres émotions qu'on peut éliciter. Il n'y a aucune raison de se limiter à celle-là. Pour moi, s'en tenir à l'effet et à la technique, c'est ne faire que la moitié des choses. La magie nous offre toutes sortes de possibilités, d'émotions — de théâtre. Profitons-en !
  18. Je crois que Paul Hallas est en train d'écrire un troisième volume dans sa série Small but Deadly.
  19. Une idée que j'ai eue, il y a longtemps : on plie la carte raccomodée pour en faire un petit carré, dans lequel on passe une ficelle pour en faire un pendentif qu'on met autour de son cou, ou de celui du spectateur. C'est joli avec les cartes Tally-Ho Circle.
  20. Merci pour les « like » ! Puisque ça semble intéresser les gens, je me permet de vous en parler en peu plus. Je ne m'y connait pas du tout en Bullet Catch, mais je crois bien que la version de Klingsor était originale. Ce qui la différencie des autres versions que je connais, c'est qu'entre le spectateur avec la carabine et Klingsor, il y avait deux assistant qui tenaient une très grande vitre. L'idée était que la balle perce la vitre, ce qui prouve qu'il y a bien une balle et pas de cartouche à blanc. Lors de la représentation, un spectateur choisit une cartouche (je crois qu'il la signe, je ne sais plus), qui est mise dans la carabine, Klingsor met des lunettes de protection, se place à l'autre bout de la scène, et les deux assistants tiennent la vitre entre les deux. 3... 2... 1... le spectateur tire. Coup de feu, la vitre est percée, Klingsor tient la balle entre les dents... et saigne !! Mais, ouf; ce n'est qu'une petite blessure au front, dûe à un éclat de verre. Ce qui m'amuse énormément, c'est que, lorsque je suis allé le voir le lendemain au magasin, il était tellement, tellement content — et fier ! — d'avoir été blessé, parce ça aidait au réalisme de son Bullet Catch. Je suis persuadé que, si c'était possible, il s'arrangerait pour qu'il soit blessé à chaque fois qu'il présentait le tour * * * Klingsor, le club des jeunes magiciens, ma jeunesse à Bruxelles, etc., c'est de l'histoire ancienne, des vieux souvenirs, puisque ça fait plus de 45 ans que je suis revenu au Canada, où je suis né. Mais la vie vous réserve parfois des surprises, et on n'échappe pas toujours à son passé... Or, il y a quelques mois, j'ai reçu un email de @Carlos VAQUERA, que je ne connaissais que de nom, puisqu'il n'a rejoint « mon » groupe à Bruxelles que bien après mon départ. Carlos m'a proposé de publier un livre assez inhabituel : un recueil d'interviews qu'il a faites de personnalités magiques. J'ai accepté, et le livre sortira bientôt. Ce sera le premier livre que je publierai en langue française. Souhaitez-nous bonne chance !
  21. Si vous lisez l'anglais — et réussissez à trouver un exemplaire — Jon Racherbaumer a écrit un merveilleux livre qui ne traite que de la carte folle, Wild Card Kit. Si je me souviens bien, toutes les routines emploient un jeu de carte folle standard. Il y en avait un inclus avec le livre.
  22. J'ai plus ou moins grandi dans sa boutique Klingsor était pratiquement mon mentor. Je crois qu'il a fait le Bullet Catch pour la première fois à Bruxelles en 1973 ou 74. Le lendemain du spectacle, je suis allé au magasin et il m'en a parlé, ensuite il m'a montré comment il a fait (!!!). C'était la première fois que j'ai vu la technique qui, près de 50 ans plus tard, m'a amené à écrire le livre que j'ai mentionné hier, Sub Rosa. La boucle est bouclée ! Grâce à Mandrex, qui en a eu l'idée, et Klingsor, qui l'a réalisée, je suis devenu membre du Club des Jeunes Magiciens de Bruxelles, où j'ai rencontré d'autres jeunes. Nous sommes devenus amis, on se voyait tous les samedis au magasin, ensuite on allait au café en face, où on apprenait le close-up. C'est de ce groupe qu'est issu Bob Alan, Marc Decoux, Christian Chelman, Carlos Vaquera, et sans doute d'autres que je ne connais pas (puisque j'ai quitté la Belgique en 1974).
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