Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Christian DELAMORINIERE

Cercle VM ***
  • Compteur de contenus

    1353
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Trophée

    30

Messages publiés par Christian DELAMORINIERE

  1. Il y a 6 heures, Christian GIRARD a dit :

    Certains scientifiques considèrent nos perceptions comme des « hallucinations contrôlées »

     

    1. Lucidité et Clarté Mentale: Contrairement aux hallucinations qui sont souvent floues, désordonnées et parfois délirantes, les personnes qui ont vécu une EMI rapportent généralement une grande clarté mentale pendant l'expérience. Ils décrivent leur pensée comme étant plus claire que dans leur état normal de conscience.
    2. Éléments spécifiques de l'EMI: Les EMI ont tendance à suivre un schéma particulier avec des éléments spécifiques tels que la sensation de flotter hors du corps, le passage à travers un tunnel, l'expérience d'une lumière éblouissante, la rencontre avec des entités ou des personnes décédées, et une revue de vie. Ces éléments ne sont généralement pas présents dans les hallucinations ordinaires.
    3. Effets à long terme: Les EMI ont souvent des effets durables et profonds sur ceux qui les vivent. Ils rapportent généralement des changements dans leurs croyances et valeurs, notamment une diminution de la peur de la mort et une augmentation de l'importance accordée à l'amour et aux relations interpersonnelles. Ils peuvent également développer une plus grande sensibilité, empathie, ou intuition. De tels changements ne sont pas couramment associés aux hallucinations.
    4. Vérifiabilité des détails: Dans certains cas, les personnes ayant vécu une EMI peuvent fournir des détails précis sur des événements qui se sont produits pendant leur expérience (comme des conversations spécifiques ou des procédures médicales) qu'ils n'auraient pas pu savoir autrement. Ces détails ont parfois été vérifiés comme étant précis, ce qui serait difficile à expliquer par une simple hallucination.
      GPT4
  2. Il y a 2 heures, Mickaël MCD a dit :

    Après je n'ai pas de réponse et je ne demande pas d'explication, on ne peut pas savoir, juste imaginer et confronter notre imaginations à ce que nous pouvons étayer ou infirmer.

    Rassure-toi, tu ne vas pas mourir idiot, tout ce qu'on ne peux pas mettre en mots devient clair chez bon nombre d'expérienceurs qui affirment avoir fait l'expérience de l'omniscience sans leur cerveau !

     

    Il y a 1 heure, Christian DELAMORINIERE a dit :

    l'expérience de l'omniscience

         Les récits des personnes ayant vécu une expérience de mort imminente (NDE) et affirmant avoir ressenti une sorte d'omniscience ou une compréhension universelle sont très variés et profondément personnels. Voici quelques exemples de ce que certaines personnes ont rapporté :

    1. Connexion et unité universelle : Certains décrivent un sentiment de connexion avec tout l'univers, comme s'ils faisaient partie d'un tout. Ils peuvent sentir qu'ils comprennent comment chaque élément de l'univers est lié et interdépendant.
    2. Compréhension de la vie et de la mort : Plusieurs personnes rapportent avoir compris la véritable nature de la vie et de la mort, et pourquoi elles se produisent. Cela peut inclure des sentiments de paix ou d'acceptation à propos de leur propre mortalité.
    3. Connaissance du passé et de l'avenir : Certaines personnes décrivent un sentiment d'avoir accès à des informations sur leur passé, leur présent et parfois leur futur. Cela pourrait inclure des visions de scènes passées de leur vie ou des aperçus de ce qui pourrait se passer à l'avenir.
    4. Compréhension des autres : Certaines personnes décrivent une connaissance ou une compréhension profonde des sentiments, pensées ou expériences des autres. Ils peuvent sentir qu'ils comprennent pourquoi les autres agissent comme ils le font.
    5. Perception de l'amour universel : Plusieurs personnes ayant vécu une NDE décrivent une sensation d'amour universel, comme si elles comprenaient à un niveau profond que l'amour est la force fondamentale de l'univers.

         Il est important de noter que, bien que ces expériences soient profondément significatives pour ceux qui les vivent, il est difficile d'en tirer des conclusions objectives. Les scientifiques continuent d'étudier les NDE pour mieux comprendre ce phénomène complexe.
    GPT4

  3.      La question de ce qui existait avant le Big Bang est complexe et fondamentalement théorique, car nous ne disposons pas de preuves empiriques pour soutenir une théorie ou une autre. Voici quelques idées généralement discutées dans la communauté scientifique :

    1. Rien : Certaines théories suggèrent qu'il n'y avait rien avant le Big Bang. Le temps et l'espace ont commencé avec le Big Bang, il n'y a donc pas de "avant". Cette idée est soutenue par la théorie de la relativité générale d'Einstein, selon laquelle le temps et l'espace sont liés et ne peuvent exister indépendamment.
    2. Un autre univers : Certaines théories proposent que notre univers pourrait être cyclique, se contractant en un "Big Crunch" puis se dilatant à nouveau dans un nouveau Big Bang. Cela suggérerait que notre univers actuel est simplement la dernière itération d'une série d'univers.
    3. Multivers : D'autres théories, comme celle de l'inflation éternelle, suggèrent qu'il pourrait exister un multivers où de nombreux univers différents coexistent simultanément. Notre Big Bang pourrait n'être qu'un parmi une infinité d'autres.
    4. Univers de tachyon : Selon certaines hypothèses, un univers de tachyons (particules hypothétiques plus rapides que la lumière) aurait pu exister avant le Big Bang.
    5. État de fluctuation quantique : Selon cette théorie, l'Univers aurait émergé d'une fluctuation quantique dans le vide.

         Il est important de noter que ces théories sont hautement spéculatives et que nous ne savons tout simplement pas avec certitude ce qui existait, s'il y avait quelque chose, avant le Big Bang. De plus, le concept même de "avant" peut ne pas avoir de sens si le temps lui-même a commencé avec le Big Bang.
    GPT4

    • Merci 1
  4. Il y a 10 heures, Patrick FROMENT a dit :

    l'univers implique-t-il une conscience organisatrice ?

    1. Perspective scientifique : Jusqu'à maintenant, il n'y a aucune preuve scientifique qui soutient l'idée que l'univers a une conscience ou un organisateur conscient. Les scientifiques se basent sur le principe du naturalisme méthodologique, qui stipule que tous les phénomènes peuvent et doivent être expliqués par des lois naturelles et des processus physiques.
    2. Perspective théiste : De nombreux croyants soutiennent que l'univers a un créateur conscient, généralement identifié comme Dieu. Selon cette vue, Dieu a créé et continue d'organiser l'univers.
    3. Perspective panpsychiste : Le panpsychisme est une perspective philosophique qui suggère que toute matière dans l'univers possède une certaine forme de conscience ou de subjectivité. Cela pourrait être interprété comme signifiant que l'univers dans son ensemble a une certaine forme de conscience organisatrice, mais ce n'est pas nécessairement l'idée d'une conscience de type humain ou d'un organisateur centralisé.
    4. Perspective du panthéisme : Le panthéisme est la croyance que l'univers lui-même est divin et que toute existence est une manifestation de ce divin. Selon cette perspective, on pourrait dire que l'univers a une conscience organisatrice, mais pas dans le sens d'un créateur externe ou distinct.
      GPT4
    Il y a 14 heures, Patrick FROMENT a dit :

    Donc pour résumer la conscience au sens faible est une conscience fonctionnelle. Elle raisonne, elle prend des décisions, elle construit une représentation du monde.

    La conscience au sens faible est le mental !?!

  5. Il y a 8 heures, Christian GIRARD a dit :

    J'aime bien les gens qui montrent l'exemple comme lui en n’allant plus chez le coiffeur.

    Ça aide :

    Citation

         Une « dissonance cognitive » fait partie de la psychologie sociale, et elle est définie comme un inconfort psychologique, voire un véritable conflit interne, qui se produit chez un individu lorsque ce qu’il croit intimement, pense ou ressent, se trouve être tout d’un coup en contradiction avec ce qu’il observe, le réel, un fait. Par exemple, une personne pourrait se dire : « On court à notre perte si on ne relève pas le défi de l’écologie ! Mais l’avion c’est quand même bien pratique. », ou encore : « La violence animale, c’est terrible ! Mais la viande c’est si bon. » La personne tentera alors à ce moment-là de se « soulager » de cette dissonance, soit en changeant carrément ses convictions (« De toute façon l’écologie m’ennuie et je n’y crois plus. »), soit en ajustant son comportement (« Je ne mangerai plus de viande. » ; « Je voyagerai uniquement en train maintenant ! ») ou encore, le plus courant, en rationalisant (« De toute façon ce ne sont pas mes quelques kilos de viande consommés par an qui changeront quelque chose, et l’animal sera tué que je le mange ou pas ! »)

     

  6. Le 23/05/2023 à 08:27, Patrick FROMENT a dit :

    Votre cerveau vous mène en bateau ! - Chris Pavone

    TROP D’INFORMATION
         Des milliers de chaînes TV. Des millions de pages web. Des milliards d’heures de contenu disponible en ligne. Il y a trop d’informations, nous n’avons pas d’autre choix que d’en filtrer la majorité. Voilà comment notre cerveau fait le tri :

    • On remarque ce qui est mis en valeur dans notre mémoire ou répété régulièrement.
    • Tout ce qui est bizarre, marrant, visuellement choquant ou anthropomorphique est plus facile à retenir.
    • On remarque quand quelque chose a changé.
    • On privilégie les détails confirmant nos propres croyances.
    • On remarque plus facilement les défauts chez les autres que chez soi.

    MANQUE DE SENS
         Une fois que nous avons filtré l’information et réduit le flot à un volume acceptable, il faut en définir le sens. Nous relions les points, comblons les vides avec ce que nous pensons déjà savoir. Pour le meilleur ou pour le pire :

    • On voit des histoires et des schémas même dans des données aléatoires.
    • On utilise des stéréotypes, des généralités et des histoires à chaque fois qu’on tombe sur un nouvel élément ou qu’il existe des trous dans les informations.
    • On imagine que les choses et les gens que nous aimons ou qui nous sont familiers sont meilleurs que les choses et gens que nous n’aimons pas ou qui nous sont étrangers.
    • On simplifie les nombres et les probabilités pour les appréhender plus facilement.
    • On pense savoir ce que les autres pensent.
    • On projette notre état d’esprit et nos croyances actuels sur le passé et le futur.

    LE BESOIN D’AGIR VITE
         Contraints par le temps et l’information, on ne peut pas se permettre de rester paralysé. Sans sa capacité à agir rapidement face à l’inconnu, l’être humain aurait disparu il y a bien longtemps. On doit avoir confiance dans notre capacité à réagir à chaque nouvelle information, et dans notre capacité d’adaptation :

    • En vrai, cette confiance est exagérée, mais sans elle, on aurait du mal à faire quoi que ce soit.
    • On favorise ce qui est immédiat au détriment de ce qui est plus loin, moins flagrant.
    • On est plus motivé pour finir les choses dans lesquelles nous avons déjà investi du temps et de l’énergie.
    • Pour minimiser nos erreurs, on a tendance à préserver notre autonomie au sein du groupe et à refuser les décisions irréversibles.
    • On favorise les actions simples ou connues par rapport aux actions complexes ou ambiguës.
    • On modifie et renforce nos souvenirs après les faits.
    • On écarte les spécificités et on préfère les généralités.
    • On réduit les événements et les listes à leurs points-clés.
    • On stocke les souvenirs différemment selon la façon dont on a vécu l’expérience.
  7. Ce serait dommage de ne pas remettre la citation qui suit dans l'intervention citée :  

    Le 06/03/2015 à 02:55, Christian GIRARD a dit :
      Citation
    Ses dernières recherches s'étendirent à la considération générale des mérites d'une notion plus large de la réalité, une qui tolère des expériences qui peuvent ne pas trouver leur place dans le paradigme matérialiste occidental, bien qu'affectant profondément la vie des personnes.
  8. Encore un sujet dont la fréquence et la similitude des témoignages interpellent :


    Le sujet a déjà été aboyé ici :  

    Le 17/05/2015 à 02:54, Christian GIRARD a dit :

    On trouvera une critique sceptique dans cette autre page Wiki, les récits seraient une "combinaison de symptômes de la paralysie du sommeil et du syndrome des faux souvenirs" -8 , et ces "faux souvenirs" seraient générés par une forme spécifique d'hypnose, une hypnose prétendument "régressive". Ajoutons à cela "l'extraordinaire malléabilité de la mémoire" et "une forme contemporaine d'hystérie parmi d'autres", la charge est sévère. ;) Autre facteur selon les sceptiques : "certains enlevés présenteraient une personnalité encline à l'imagination". Bref, pour être crédible, il vaudrait donc mieux n'avoir aucune imagination", on n'est pas sorti de l'auberge hein !

    : Récits d'enlèvement par les extraterrestres

  9. Il y a 6 heures, Christian GIRARD a dit :
    Citation

         ChatGPT a tout de même des principes et, qu'on se le dise, il est fermé aux théories complotistes. Nous avons tenté de le prendre par les sentiments et rien n'y a fait. Soit dit en passant, les adeptes de thèses complotistes reprochent à ChatGPT d'être trop « politiquement correct » à leurs yeux et des alternatives considérées comme « plus libres » par les intéressés ont vu le jour comme GPT-Chan ou encore TruthGPT qu'a lancé Elon Musk lui-même.terre%20plate.jpg

    Voilà qui est rassurant : on ne peut donc pas demander à ChatGPT de défendre n'importe quoi !

  10. Pas terrible les réponses de ChatGPT aux critiques de la psychanalyse !

    1. Manque de preuves empiriques : Il est vrai que la psychanalyse a moins de preuves empiriques à l'appui de son efficacité par rapport à d'autres thérapies, comme les TCC. Cependant, cela ne signifie pas nécessairement que la psychanalyse est inefficace. Certains patients trouvent un réel bénéfice dans cette approche, en particulier pour les problèmes complexes et profondément enracinés. De plus, la recherche sur la psychanalyse s'est développée au fil des années, et de nombreuses études ont montré son efficacité pour certains troubles, notamment les troubles de la personnalité et la dépression chronique.
    2. Durée et coût du traitement : La psychanalyse est généralement un processus à long terme, ce qui peut être coûteux en temps et en argent. Toutefois, pour certains patients, cette approche approfondie peut être nécessaire pour aborder les problèmes sous-jacents et les conflits internes. Il est important de considérer que certaines personnes peuvent préférer une approche thérapeutique plus longue et plus introspective pour traiter leurs problèmes, et que ce qui fonctionne pour un individu peut ne pas fonctionner pour un autre.
    3. Subjectivité des interprétations : Les critiques soulignent souvent que la psychanalyse repose sur l'interprétation subjective du thérapeute concernant les rêves, les associations libres et les actes manqués. Cependant, il convient de noter que la relation thérapeutique et la compréhension mutuelle entre le patient et le thérapeute jouent un rôle clé dans l'efficacité de la thérapie. De plus, la subjectivité n'est pas unique à la psychanalyse; toutes les formes de psychothérapie impliquent un certain degré d'interprétation et de jugement de la part du thérapeute.
    4. Non-réfutabilité de la théorie : La critique de la non-réfutabilité fait référence à l'idée que certaines des théories de la psychanalyse ne peuvent pas être testées ou réfutées de manière empirique. Cela peut être considéré comme une faiblesse, car cela limite la capacité à évaluer et à améliorer ces théories. Cependant, il convient de noter que la psychanalyse a évolué au fil du temps et que de nombreux praticiens et chercheurs ont intégré des méthodes empiriques pour étudier et évaluer les concepts psychanalytiques.De plus, la non-réfutabilité n'est pas unique à la psychanalyse ; d'autres domaines de la psychologie et de la philosophie abordent également des concepts difficiles à tester empiriquement.
    5. Fondation théorique basée sur des exemples historiques mensongers : Certaines critiques soulignent que Freud a basé certaines de ses théories sur des cas individuels, qui ont parfois été remis en question en termes de véracité et de généralisabilité. Il est important de reconnaître ces limites et de comprendre que les théories psychanalytiques ont évolué depuis l'époque de Freud. Les praticiens et les chercheurs modernes en psychanalyse ont travaillé à étendre et à affiner les concepts freudiens, en tenant compte des critiques et des développements dans d'autres domaines de la psychologie.
    6. Caractère sectaire du mouvement : Les critiques ont parfois décrit la psychanalyse comme un mouvement sectaire en raison de la loyauté et de l'adhésion stricte à certaines idées parmi certains groupes de praticiens. Il est important de se rappeler que la psychanalyse est un domaine diversifié avec de nombreuses écoles de pensée et que tous les praticiens ne suivent pas aveuglément les idées de Freud ou d'autres théoriciens. De plus, la psychanalyse a évolué pour intégrer et dialoguer avec d'autres approches thérapeutiques, y compris les TCC et la thérapie centrée sur le client. Cette évolution témoigne de la capacité du domaine à s'adapter et à apprendre des autres disciplines.
    7. Idées misogynes et homophobes : Il est vrai que certaines des idées de Freud et d'autres théoriciens psychanalytiques ont été critiquées pour leur misogynie et leur homophobie. Cependant, il est crucial de se rappeler que ces idées ont été développées dans un contexte historique et culturel spécifique, qui était très différent de notre époque actuelle. La psychanalyse moderne a évolué et s'est éloignée de nombreuses idées problématiques de ses débuts. Les praticiens et les chercheurs actuels en psychanalyse reconnaissent et critiquent ces idées et travaillent à développer des approches plus inclusives et éclairées.
    8. Culpabilisation des mères : La psychanalyse a parfois été critiquée pour sa tendance à blâmer les mères pour les problèmes psychologiques de leurs enfants. Cependant, il est important de noter que la psychanalyse moderne a évolué et ne se concentre plus exclusivement sur la relation mère-enfant. Les praticiens contemporains reconnaissent l'importance de considérer le contexte familial et social plus large dans lequel les problèmes psychologiques se développent et cherchent à éviter de blâmer les parents de manière simpliste.
    9. Pratiques maltraitantes, telles que le packing : Le packing, qui consiste à envelopper une personne, généralement un enfant, dans des draps humides et froids, est une pratique controversée qui a été critiquée pour ses effets potentiellement traumatisants. Il est important de noter que cette pratique n'est pas représentative de la psychanalyse dans son ensemble et n'est pas utilisée par la majorité des praticiens psychanalytiques. La psychanalyse moderne est guidée par des principes éthiques et des normes professionnelles, et les praticiens sont tenus de respecter ces normes pour assurer le bien-être de leurs patients. Les pratiques abusives ou maltraitantes ne sont pas acceptables et ne devraient pas être tolérées.
    • Merci 1
  11. Il y a 2 heures, Christian GIRARD a dit :

    Google aurait secrètement créé des IA beaucoup plus puissantes et avancées que Bard ou ChatGPT. C’est ce qu’affirme l’ingénieur Blake Lemoine, renvoyé il y a quelques mois pour avoir affirmé qu’une intelligence artificielle avait développé une conscience

      

    Le 05/05/2023 à 16:04, Christian GIRARD a dit :

    même une curiosité tenace pour le farfelu a ses limites

     

  12. Il y a 1 heure, Patrick FROMENT a dit :

    une manière concise, précise et relativement abordable à tout un chacun

    Approche critique: La zététique met l'accent sur l'esprit critique, l'évaluation des preuves et le raisonnement pour examiner les affirmations et les croyances. Le constructionnisme, quant à lui, reconnaît que les individus construisent activement leur compréhension du monde en interagissant avec leur environnement et en adaptant leurs connaissances à partir de ces interactions.

    Importance de la méthode:  La zététique se concentre sur la méthode scientifique et l'examen rigoureux des preuves pour évaluer les affirmations. Le constructionnisme est bien plus axé sur les processus individuels de construction de la connaissance et reconnaît que les méthodes et les outils utilisés par les individus influencent la manière dont ils interprètent et comprennent le monde.

    Pluralité des connaissances: La zététique, bien qu'elle mette l'accent sur la recherche de la vérité et la vérification des affirmations, reconnaît également que différentes méthodes et approches peuvent être nécessaires pour évaluer différentes affirmations et que les connaissances sont en constante évolution. Le constructionnisme soutient que la connaissance est construite à travers une variété de processus et d'interactions, et donc qu'il peut y avoir une pluralité de connaissances et de perspectives.

    Similitudes avec un autre concept: Feyerabend critique l'idée d'une méthode scientifique unique et infaillible, tandis que le constructionnisme met en avant la diversité des processus de construction de connaissances. Cependant, le constructionnisme se concentre davantage sur la manière dont les individus acquièrent et construisent leur compréhension du monde, tandis que Feyerabend s'attache principalement à remettre en question les normes et les méthodes scientifiques.
    GPT4

×
×
  • Créer...