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Manuel STERNIS

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Tout ce qui a été publié par Manuel STERNIS

  1. Ciao Maestro....un immense magicien espagnol...
  2. C'est sûr...Mais en même temps, le résultat final est que ça en devient nuisible, voire néfaste pour la magie en général. Les magiciens deviennent sceptiques sur ce genre de vidéo. Quand ça parait vraiment trop beau, en général, c'est qu'il y a baleine sous gravier ... Et dans ce cas, le risque, c'est que la déception, au déballage du tour, soit telle que le magicien se sente vraiment trompé, et ne veuille plus retenter l'expérience chez ce producteur. Il s'était passé ce genre de problème avec Shin Lim, et apparemment ça n'a pas encore été oublié par tout le monde
  3. De rien Melvin J'ai donné l'info sur cette version mais je ne crois pas qu'elle plaira à grand monde : la reconstruction est "flash", elle se fait d'un coup, on passe de 4 morceaux à un morceau (la carte entière). Cela dit, quand c'est bien exécuté, et qu'on ne s'attend pas (en spectateur) à une conclusion si rapide, ça surprend !
  4. Dans un jeu normal, il y a déjà 12 cartes qui conviennent Il suffit de se garder quelques jeux de côté pour cet effet, et utiliser les autres cartes pour autre chose Le prix des jeux de cartes a été divisé par 4 en 20 ans, il faut bien qu'on puisse en profiter !
  5. Merci Melvin Il me semble ne pas avoir vu dans ton tableau la version de Joe Monti (dans le DVD Card Fusion 5 avec Chris Angel). A priori, elle correspond aux conditions que tu as fixées en préambule
  6. Pareil, je possède ce livret, et je le conseille très fortement !! C'est le must en terme de mentalisme avec des cartes !
  7. Je disais ça parce que je sais que tu utilises Mnémonica
  8. Oui, j'avais compris Je ne connais pas de jeu marqué de cette façon, mais si tu as des références, ça m'intéresse En même temps, passer par cette étape supplémentaire de codification ne me fait pas trop peur Au fait, 22, c'est 8 de pique
  9. Budget, ok. Pratique... c'est moins évident. Je ne pense pas qu'un jeu qu'on marque soi-même avec un stylo puisse rivaliser de lisibilité et surtout d'invisibilité avec ceux produits par des fabriquants. Je possède le jeu de Boris Wild, c'est vrai que c'est très facile à lire, mais si tu laisses la carte à l'examen un petit moment, le spectateur trouve le marquage. Sur le jeu La Chouette, impossible, le marquage fait partie du design.
  10. Oui, je parle bien d'un jeu à faces blanches à dos marqué Oui, on peut le marquer soi-même, mais si le marquage est déjà fait, autant en profiter
  11. Oui, si ça existe, c'est évidemment mieux d'avoir un jeu marqué avec un marquage de nombre au dos qui correspond au nombre sur la face...Cela retire l'étape de transcription de la carte Mnemonica en son nombre associé... Mais est-ce que ça existe ? Et si ça existe, est-ce que le marquage est rapide à lire et vraiment invisible ? Si c'est le cas, pourquoi pas... Mais j'ai eu l'idée à partir de ce jeu La Chouette que j'ai retrouvé par hasard. J'ai toujours aimé le marquage de ce jeu, insoupçonnable et en même hyper rapide à identifier Mais s'il y a un moyen de marquer par exemple des dos Bicycle de façon efficace, avec une lecture très rapide du nombre, et avec une véritable invisibilité au niveau de système de marquage, je suis intéressé !
  12. Une idée vient de me surgir (si si , ça arrive parfois ^^ ) dans un coin de la tête ! J'en profite pour vous la livrer, elle peut s'avérer utile... Elle répond à mon questionnement sur l'utilisation d'un jeu marqué à faces blanches, j'avais posé la question il y a peu de temps. L'idée serait de l'utiliser pour un ACAAN, où on ne demande pas aux gens de nous annoncer oralement le nombre , puis la valeur de la carte, mais de les penser, puis de les sortir de deux jeux respectifs...Je m'explique : Vous posez deux jeux sur la table. L'un des jeux est un jeu normal pour le public (mais c'est un jeu marqué au dos). Le second jeu est un jeu à face blanches, avec des nombres écrits dessus (mais en fait, il est marqué au dos également) On fait mélanger les jeux, un spectateur pense à une carte, puis cherche cette carte dans le jeu "normal". Un autre spectateur pense à un nombre, puis cherche la carte avec le nombre correspondant dans le jeu qui comporte des carte à face blanches avec les nombre écrits dessus. Il y a donc deux cartes sur la table, une qui représente la carte pensée, et l'autre le nombre pensé. Le spectateurs pensent que personne ne connaît les infos, alors que c'est faux A partir de là, vous pouvez continuer votre routine d'ACAAN normalement La préparation est facile : il suffit donc d'identifier chaque carte d'après son marquage au dos, et écrire le nombre correspondant au chapelet que vous comptez utiliser. Par exemple, si on utilise Mnemonica, sur la carte dont le dos marqué indique Valet de Pique", vous écrirez 45 sur la face Et ainsi de suite ! Ce jeu spécial peut donc servir à faire un "peek" d'un nombre de façon originale. Il y a sûrement plein d'autres utilisations pour ce genre d jeu marqué, mais en voici déjà une
  13. J'ai eu la même pensée... J'ai l 'impression qu'à vouloir trop en faire, on peut finalement arriver à un effet moins convaincant. Il me semble que l'idée d'une carte à dos bleu est suffisante pour éloigner le spectateur d'un lien avec le jeu à dos rouge qu'on lui présente. Et on reste avec des cartes conventionnelles...Pas de cartes "bizarres" à dos blanc
  14. Ton idée de carte à dos blanc, c'est la même chose que la proposition de carte à dos bleu de Chakkan, c'est ça ? Le bonus, je voudrais être sûr d'avoir compris... Sans donner la méthode, je récapitule les étapes : 1: carte blanche dans la boite 2: choix d'une carte, signature sur la face 3: carte signée perdue dans le jeu 4: on sort une carte blanche du porte-feuille 5: on demande d'écrire un mot sur la carte blanche (sur un coin j'imagine) 6: on la plie en 4 7: on attire l'attention sur la carte blanche dans la boit 8: on la sort de la boite : d'un côté, il y a le mot, et de l'autre la face + signature J'ai bon ?
  15. Merci pour l'info Et en plus, ça fonctionne parfaitement avec la méthode que j'avais décrite, puisque le défaut (marque de coupure sur le dos) n'est jamais visible pendant l'effet (puisqu'on montre toujours un dos qui n'est pas celui de la carte "préparée") !
  16. Et si en plus, on ajoute dans le débat les gens qui se disent croilliants et se comportent comme s'ils ne croivaient pas, et qu'on ajoute aussi ceux qui se disent non-croillants mais qui se comportent comme s'ils y croivaient, on ne s'en sort plus
  17. Bien vu Maness ! Mais il me semble que ceux qui ont une spiritualité vraiment profonde sont plutôt très humbles. Idem pour ceux qui ont une connaissance scientifique profonde d'ailleurs... Tout à fait d'accord avec toi Christian, il est assez évident que l'humilité augmente en même temps que la connaissance/spiritualité, il y a tellement d'exemples d'illustres savants/penseurs à prendre pour exemple ... Et au fait, merci à toi, pour ce long passage sur Bronner, ce qu'il dit semble tellement juste et lucide !
  18. Pas seulement. On joue aussi sur des représentations. Accepter que sa non croyance est aussi une forme de croyance, c'est mettre son fonctionnement au même niveau que celui du croyant, sans le filigrane de la supériorité intellectuelle que l'on peut ressentir chez les non-croyants. Et pourtant, dieu sait qu'en temps que non croyant je suis supérieur intellectuellement... Tout à fait d'accord ! Sauf que cette supériorité affichée, on peut la retrouver des deux côtés: certains "non-croyants" veulent faire ressentir aux autres une certaine supériorité intellectuelle, et j'ai déjà vu des "croyants" faire ressentir aux autres une certaine supériorité spirituelle. Le mieux n'est-il pas de simplement d'admettre notre imperfection, notre ignorance (il n'y a rien de tragique à ça!) et de tenter de profiter au mieux de notre présence actuelle en ce bas monde ?
  19. Au temps pour moi, en plus c'est toi qui l'a proposé, mais je suis passé au travers Petit détail pour ceux qui ne veulent pas utiliser de double-d, il suffit de faire le montage suivant en partant du haut : 1- carte à dos rouge identique au duplicata 2- carte quelconque 3- carte duplicata à dos bleu Même modus operandi (avec LT...) sauf qu'une fois la carte retournée face en haut, il faudra la faire signer en la gardant sur le jeu (évidement sinon on flashe une face en dessous ) Le seul inconvénient est qu'on ne pourra pas prendre la carte de face et la poser sur une table pour la faire signer (ce qui est excellent convincer dans cet effet). Cela dit, les magiciens font souvent signer directement en prenant le jeu comme support, et les spectateurs y sont habitués. Cette méthode permet de se retrouver avec un jeu normal à la fin (je comprends bien qu'avoir des cartes "spéciales" qui traînent au milieu du jeu peut être gênant pour enchaîner plusieurs routines).
  20. Les remarques et idées concernant cette fameuse MS sont vraiment intéressantes ! Alors, j'aime beaucoup l'idée de la carte déjà là dans la boîte, avec ensuite le final impossible, mais en effet, si comme l'a expérimenté Alex, des spectateurs font déjà la remarque "c'est ta caret signée qui va se retrouver là, tu vois, dans la boîte", c'est pas génial... Même si ça leur paraît impossible, ils auront deviné le scénario à l'avance. Ce que je propose (je fais déjà une routine similaire mais sans boîte), c'est de réaliser l'effet, MAIS avec une carte dont le dos est de couleur différente Evidemment, il y a un peu plus de techniques à introduire, mais là on associe l'ensemble des deux avantages : on voit déjà une carte dans la MS, à dos bleu, et pliée, et à la fin, quand on déplie la carte, c'est la carte signée ! Par rapport à la routine habituelle, il faudra simplement ajouter une carte à dos bleu dans votre jeu à dos rouge, faire un f***ge, une LT (une LD ne fonctionnera pas), puis un Mercury-F. Poser dès le début la Mystery Solved, avec une carte à dos bleu pliée à l'intérieur, bien visible. Là, la séquence des réactions peut être vraiment bien. "1: ça sera sa carte!" "2: non, regarde elle n'a pas le même dos" "3: de toute façon ,j'ai signé une carte de ce jeu, et elles ont des dos rouges, donc c'est impossible Et BAM, le final, on déplié la carte à dos bleu, c'est la carte signée Voici ma méthode quad je veux ce genre d'effet : Exemple pour un jeu à dos rouge: Il faut un duplicata à dos bleu d'une des cartes du jeu. Le montage, depuis le dessus, est : 1: carte à dos rouge identique au duplicata 2: carte "double-d" rouge-rouge 3: carte à dos bleu (la seule du jeu, celle à faire signer) 1: f**ge de la carte du dessus, on laisse le spectateur la prendre pour s'en rappeler, on la faire remettre sur le dessus (là, l'idée c'est de lui avoir laissé tenir en main sa carte, avec un dos rouge bien visible), puis via un texte du genre" ah au fait, ce n'est pas dérangeant si je la connais? De toute façon, elle sera unique puisque vous allez la signer 2: LT, puis poser la carte face en l'air (c'est la duplicata à dos bleu) 3: Lui faire signer la carte, au centre 4: reprendre la carte, la poser su r le jeu, RT, puis lui demander d'insérer la carte dans le jeu (il va insérer celle non signée, à dos rouge) 5: une fois presque enfoncée totalement, montrer une dernière fois la face de la carte (la signature étant au milieu, il ne voit aucune différence avec sa carte) 6: il suffira ensuite de se débarrasser de la double-d qui est sur le dessus, et de procéder à un Mercury-F de la carte signée à dos bleu. 7: enfin, réaliser la manip requérant la Mystery Solved Cette façon de présenter l'effet rend l'ensemble vraiment incompréhensible ! J'obtiens déjà de super réactions quand je présente ce genre d'effet SANS boîte (avec par exemple une carte à dos bleu dans le porte-feuille) !
  21. Heu, ça, c'est impossible. Dire qu'un non-croyant a une croyance, c'est un peu comme dire qu'un non-voyant peut voir, ou qu'un non-comprenant peu comprendre. Ca n'existe pas malheureusement. Je ne vois pas pourquoi c'est impossible ! Croire par exemple qu'il n'y a rien après la mort, c'est croire !! C'est croire à quelque chose, tout comme croire en un dieu. Un non-croyant croit qu'il n'y a pas de dieu, c'est donc quand même une croyance, certes différente, mais c'est en une ! Il y a longtemps maintenant, en mathématiques, le nombre "zéro" n'existait pas, ou plutôt n'avait pas été conceptualisé. A cette époque, ce n'est pas parce qu'il n'avait pas été théorisé qu'il n'existait pas. En faisant une sorte d'analogie, on peut tout à fait comparer le "zéro" en mathématiques, au fait de croire qu'il n'y a "rien" après la mort, le "zéro" signifiant souvent le "rien" en mathématiques. Et quand on voit comment le "zéro" a ensuite révolutionné les sciences, je pense qu'il faudrait accorder un peu plus d’importance à cette croyance, qui en est réellement une, et qui est aussi estimable que celle consistant à imaginer un dieu lambda. Il faut arrêter de vouloir mettre les gens ou les pensées dans des cases. Donc si j'ai bien compris, d'après toi, les seuls "autorisés" ou "habilités" à être croyants sont ceux qui croient en un dieu quelconque ? On n'a donc pas la même définition du mot "croyance", et pour le coup je préfère la mienne Les indigènes qui croient en la nature (les forêts, les océans, et tout un tas de composantes de la Terre ou de l'Univers), tu les places où alors ? Dans les croyants, ou dans les non-croyants ? Leur croyance ne se base pas sur un icône sacré, sur un nom, mais sur une globalité. Le mot "croyance", s'il est appliqué aux seules religions monothéistes (qui pour certains ne sont que des sortes de "sectes qui ont réussi" ), ou aux religions très implantées dans le monde, le mot est dans ce cas très mal utilisé : il instaure une ségrégation, une dichotomie entre ceux qui "croient" en quelque chose de "standard", et les "autres". Pour moi, le mot croyance s'applique en effet à tous. Tout comme un penseur connu a écrit "je pense donc je suis", on pourrait dire "je pense donc je crois". C'est exactement comme ça que je vois les choses.
  22. Salut BOUMS, Je vais répondre à la partie de ton commentaire ci-dessus. Ce que melvin t'explique, c'est que pour un non-croyant, la notion de blasphème n'a pas de sens, c'est une notion qui n'existe pas. Donc en effet, à partir du moment où la religion amène des non-croyants à s'interdire certaines choses (comme caricaturer des icônes sacrés) qui n'ont pourtant pas de sens pour eux, ça commence à ressembler à de la dictature. Le blasphème n'existe pas pour un non-croyant. D'ailleurs, il ne faudrait pas dire "non-croyant", car l'athéisme ou le fait d'être agnostique SONT aussi des croyances. Elles sont simplement différentes. Il y a une erreur dans ton raisonnement quand tu veux inverser les rôles. Pour la première partie, je partage la vision de melvin : une religion qui amène ou oblige à ne pas caricaturer, ça s'apparente à de la dictature, puisqu'on oblige des gens à éviter le blasphème, alors que ça n'a aucun sens pour eux et que ça ne représente rien pour eux, dans la mesure où ils sont non-croyants. Dans la seconde partie de l’argumentation : Alors, tout d'abord, un caricaturiste ne va pas faire une caricature exprès pour ne pas se soumettre, il va simplement utiliser sa liberté d'expression, son but premier n'est à mon avis pas d'engager une "guerre" contre la religion. Les caricaturistes se sont moqués de personnages politiques, et de tout un tas de choses en fait. La religion est loin d'être le seul thème moqué par les dessinateurs en général (mai sil en fait partie, et heureusement). Toujours dans la seconde partie, tu veux inverser les rôles, comme tu le dis : Si je comprends bien, ce que tu dis, c'est qu'un dessinateur n'a pas à imposer la caricature à un croyant, parce que s'il le fait, il impose à ce croyant de subir cette caricature. L'énorme différence, c'est que le croyant n'a pas à "subir" cette caricature. Comment fait-on pour ne pas subir une caricature ? Très facilement : on n'achète pas le journal en question C'est ce que font les catholiques depuis très longtemps (et encore, je sais qu'il y a beaucoup de catholiques qui rient quand même à des dessins de Charlie qui se moquent de cette religion). Entre imposer à certains de ne pas dessiner sous peine de les trucider, et imposer de poser ses yeux partout sauf sur une couverture de journal, tu reconnaîtras qu'on n'est PAS DU TOUT dans le même ordre de "dictature". C'est la même chose avec la télévision : celui qui trouve une émission ou une parodie offensante à la télé, il lui suffit de regarder une autre chaîne, personne n'oblige personne à regarder un programme en particulier. La différence est énorme avec du terrorisme idéologique qui peut même devenir de terrorisme tout court, comme on l'a vu. Je vais avec un dernier exemple, pour te faire comprendre comment je vois les choses. Tout d'abord, les religions, ce sont des CROYANCES. Je pense qu'on est d’accord là dessus. Personne n'est jamais revenu de la mort pour nous confirmer, qu'en effet, il y a 1000 vierges qui nous attendent sur des canapés avec des petits fours et du champagne, où alors des petits anges ou n'importe quoi d'autre qui puisse faire rêver. Pour moi, le fait que 3 grandes religions monothéistes aient pu fédérer autant d'adeptes ne leur donnent pas plus de légitimité que n'importe quelle croyance. Ce n'est pas, pour chacune d'elles, un livre "sacré", qui fait une quelconque différence avec d'autres croyances. D'accord, je veux bien comprendre que Mahomet est une figure sacrée et très importante pour les musulmans, comme peut l'être Jésus pour les Chrétiens. Mais ça ne justifie aucune violence. Maintenant, imaginons un autre exemple : Il existe des tribus dans le monde qui s'attachent à d'autres valeurs. On peut imaginer des pygmées ou des indigènes, qui vouent une religion pour la nature. Imagine que pour eux, les arbres sont sacrés, et sont sacrés de la même manière que Mahomet est sacré pour les musulmans. Alors se moquer des arbres ou faire une caricature d'un arbre serait aussi insultant pour eux qu'une caricature de Mahomet pour un musulman... Donc il faudrait, en appliquant la logique des gens "anti-caricature", que plus personne dans le monde ne fasse la moindre blague sur les arbres ? Si on me dit "ce n'est pas pareil", je réponds "si c'est pareil, on ne décide pas à la place des autres ce qui est le plus sacré pour lui". Et si on poursuit ce raisonnement jusqu'au bout (imaginons un peuple pour qui les fruits et légumes seraient une religion, et donc ce qu'il y a de plus sacré dans leur vie), alors on ne pourrait plus faire de blagues sur les asperges et les poireaux ? Évidemment, ça n'a aucun sens. Et donc, il faut pouvoir rire de tout, ou de rien (tout en étant respectueux des lois). Si on interdit des choses pour ne pas "insulter" ou être insultant envers certains, alors il faudra tout interdire, parce que ce qui est insultant pour l'un ne le sera pas pour un autre, et vice versa.
  23. L'ordre des étapes n'est pas tout à fait exact, mais ça ne change pas grand chose Normalement, dès que tu as replié la carte blanc-blanc, tu donnes un stylo au spectateur, puis "immédiatement" tu lui donnes la carte blanche pliée (ça renforce l'effet car il a vraiment le souvenir d'avoir la carte en main depuis le début). Tu lui fais signer la carte pliée, et seulement ensuite tu passes à la phase avec le choix d'une carte dans le jeu. C'est vrai que les réactions sont incroyables sur cet effet
  24. Petite rectification : l'effet peut se faire avec des As, des 2 ou des 3. Avec des 4, ça ne fonctionnera pas Thomas : l'effet de la grenouille en origami peut se trouver dans le DVD Signature de Michael Close
  25. Pareil... Je suis sous le choc... Comment c'est possible en France en 2015 ? Cabu, le "nez" de Dorothée, je m'en souviens encore, c'était lui, dans Récré A2... Et le pauvre Charb, le plus jeune des 4, partir à 47 ans seulement...
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