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Pierre EMONOT

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Tout ce qui a été publié par Pierre EMONOT

  1. Si par hasard, la date n'a pas encore été fixée, je serais ravi de me joindre à vous. Je ne suis pas THE spécialiste du Mnémonica mais j'espère me débrouiller assez. En plus, je suis très flexible au niveau des dates.
  2. Pour l'instant, les retours sur le site du Pingouin sont très bons pour la conférence de Vincent Hedan. Très très bons même. Bien sûr, il n'y a encore que deux retours.
  3. Si je suis me permettre, le titre de la vidéo est bien "Intimate impossibilities" et non "Intimate possibilities". Ce détail n'apporte rien à l'annonce, mais ça servira peut-être à ceux qui voudraient éventuellement l'acheter et ne trouveraient pas davantage d'informations dessus.
  4. Une petite parenthèse dans ce sujet pour signaler à tous les Parisiens et Franciliens présents intéressés par ce sujet que Wanda et Viktor jouent demain au théâtre Essaion (tout près de Beaubourg) la dernière représentation de leur spectacle à Paris. Si vous avez envie de voir ce que ce genre d'expérience donne en live, n'hésitez pas, à 15 euros la place sur internet, vous ne pourrez pas le regretter.
  5. Notons d'ailleurs sa réaction pleine de douceur et de tendresse : "Vous avez pas eu trop mal ? Demain y'aura quelques bleus".
  6. Tu as tout à fait raison Melvin (je me permets de te tutoyer), effectivement, c'est une idée que l'on peut tous accepter, qui peut avoir de l'impact, et qui tient, comme je l'ai dit de la nature essentiellement stéréotypique de la PNL. D'ailleurs, comment peut-on appeler une idée qui n'a pas besoin de fondement scientifique pour être compris et adopté sans problème par tous, sinon un stéréotype ? Et tous ces trucs dispensés par la PNL peuvent être très rassurants. Seulement, cela pose beaucoup de problèmes. Tout stéréotype a ces revers : l'exercice même de l'intelligence est souvent de lutter et d'interroger ses propres stéréotypes. J'ai d'ailleurs longtemps lu et apprécié la PNL avant de m'interroger réellement dessus et de me remettre en question. Ensuite, il y a toujours beaucoup de généralisation abusive derrière la PNL, et qui ne repose pas sur grand chose. Beaucoup de ce qu'elle évoque tient de l'évidence. Les auteurs que j'ai déjà cités donnent beaucoup d'exemples. Mais par exemple, la manière dont elle parle du "langage" ou de la "communication" sont conceptuellement très réductrices. Je me permets de rebondir sur les reproches d'idéologie que tu semblais faire à certaines sciences. Tout discours suppose en effet une idéologie mais l'intelligence d'une science est généralement d'offrir un discours sur elle-même, de regarder elle aussi sa propre idéologie, et de savoir d'où parle celui qui parle. C'est une interrogation à laquelle la PNL ne souscrit pas, elle est elle-même truffée d'idéologies, notamment par sa diffusion dans le monde de l'entreprise.
  7. Je me permets de continuer suite à l'avis laissé par Melvin. Effectivement, la PNL est pleine de bon sens. Mais cela est liée à sa nature essentiellement stéréotypique, ou en tout cas truffée de facilités. Ce n'est pas mal en soi : les stéréotypes peuvent même être assez rassurants. Il est absolument vrai que des phénomènes échappent à une explication scientifique ; l'hypnose en a été longtemps un exemple frappant. Mais ce qui est très intéressant dans ce que dit Melvin, c'est justement que la PNL s'inscrit dans une forme de pseudo science humaine, qui ne repose sur absolument, et c'est cela que je critique moi aussi. Travestir en science ce qui n'a rien de scientifique, c'est inquiétant. La PNL n'est absolument pas un phénomène, elle est bel et bien une pratique, et dont la rhétorique surfe allègrement sur une forme de scientificité. Je me permets d'ajouter que la psychanalyse est très critiquée en France comme ailleurs par beaucoup de scientifiques. Jacques van Rillaer par exemple est un psychologue virulent envers elle. Pour défendre le succès qu'elle a eu en France, je me permets de signaler que ce qui a massivement plu, ce n'est pas la scientificité de la psychanalyse, c'est plutôt l'interprétation et la lecture nouvelle qu'elle proposait de l'homme. Elle a plu justement et aussi parce qu'elle sortait d'un discours trop rationaliste.
  8. Ta réponse est très intéressante thementalist13 car elle est justement au coeur de la rhétorique des praticiens de la PNL contre ceux qui les attaquent, et une telle réponse est en général utilisée par tous ceux qui pratiquent une pseudo-science. Cette attaque est malheureusement très biaisée, et ce pour plusieurs raisons. Il faut bien comprendre une chose : un discours empirique du type "voyez bien que ça marche" ne vérifie en rien une vérité scientifique. Si une telle affirmation ne passe pas l'épreuve d'une quelconque démonstration, elle ne vaut pas grand chose. Comme le dit Dreda, il ne faut pas confondre ce qui tient d'une théorie, et ce qui tient d'une pratique. Tu ajoutes que la PNL ne fonctionne pas pour ceux qui ne savent pas l'utiliser : c'est à nouveau un argument classique et très pratique. C'est vrai puisque ça marche, et quand ça ne marche pas, c'est qu'on ne sait pas s'en servir. Voilà une simplification bien pratique ! Mais à nouveau, avec ce type d'argument, on peut tout prouver, et on a prouvé bien des foutaises. Par exemple, moi je peux guérir d'une grippe en claquant mes doigts, et si toi tu n'y arrives pas, c'est que tu ne sais pas claquer des doigts correctement. J'espère que je suis assez clair pour expliquer ce biais ? Yves Winkin et Pascal Lardellier l'expriment bien mieux que moi. Par ailleurs, je ne peux que suivre Dreda dans son analyse. Si dans ces certains cas la PNL fonctionne, c'est essentiellement qu'elle invite à plus écouter, ce qui ne peut jamais être néfaste, et d'une manière plus générale, elle repose sur tellement de stéréotypes et de clichés qu'à un moment ou un autre, ils se vérifieront forcément dans la pratique. Mais nous sommes ici bien plus du côté de l'idée reçue ou de l'impression que de la vérité, avec tout ce que cela suppose à la fois de rassurant (on fait société aussi avec nos clichés) mais aussi de dangereux (à partir du moment où on impose le stéréotype comme vérité universelle). Un autre argument serait celui de la prophétie dont parle Winkin, et je dirais même de la prophétie auto-réalisatrice sur laquelle repose la PNL. A partir du moment où des gourous diffusent dans toutes les entreprises la nécessite de pratiquer une pseudo-science, forcément ses présupposés se vérifient puisque tout le monde les utilise ! Et donc tout le monde peut répéter allégrement combien cela marche... Qui plus est, je ne crois pas que dans le monde de l'entreprise, tout le monde pense vraiment que ça marche. Mais ceux qui ont le plus accès à la parole sont justement ceux prêts à accepter l'idée que ça marche. Et ceux qu'on entend le plus parler de PNL sont essentiellement les formateurs en PNL eux-mêmes, qui ont plutôt tout intérêt à croire en elle. A nouveau, je ne peux que renvoyer sur les articles des auteurs que j'ai déjà cités, ils sont généralement très clairs et plutôt savoureux. J'espère moi-même n'avoir pas été trop obscur...
  9. Disons Christian que ma phrase sur les fondements nuls de la PNL devaient tenir d'une forme de provocation ou du moins d'une volonté de clarifier le flou conceptuel autour de toutes ces notions, qui invite à ne plus savoir ce qui est science, ce qui est théorie, ce qui est pratique... J'aurais sans doute dû préciser de la manière suivante : dans l'état du débat scientifique actuel, les fondements de la PNL sont considérés comme nuls parce qu'ils reposent sur des observations empiriques sur lesquels on va bâtir une théorie hyper généralisante, sans s'encombrer de subtilités conceptuelles. Fondamentalement, pour la science, nous sommes proches du zéro. Et je pense que ma phrase un peu nette provient d'un énervement qui est le mien face à la rhétorique employée par les praticiens de la PNL, qui plagie allègrement les discours scientifiques, ce qui me semble très grave. La PNL n'emprunte pas plus à la neurologie qu'à la linguistique, mais elle fait comme si. Par ailleurs, j'accepte totalement qu'on adhère à d'autres discours que le discours scientifique (et heureusement d'ailleurs, quelle serait la prétention de la science à se présenter comme le seul discours possible ?!) mais je ne supporte pas qu'on présente et qu'on diffuse comme une science, en jouant au maximum sur les ambiguïtés de langage, ce qui n'est pas du tout scientifique. C'est de cela qu'est apparu mon besoin de rappeler cette scientificité artificielle de la PNL.
  10. Il y avait un moment que je n'avais pas parcouru ce sujet, dont je trouve le titre surprenant, car il assemble des concepts, des termes et des réalités bien différentes les unes des autres. C'est là qu'on voit bien le problème de la diffusion massive de la psychologie : son incroyable plasticité et sa capacité à s'insérer dans des univers très divers, qui vont de l'entreprise à la salle de spectacle en passant par le cabinet de consultation. Je trouve d’ailleurs qu’il y a auprès des gens de spectacle (je n'attaque personne en particulier, ce n'est peut-être qu'une impression flottante) une grande crédulité à l’égard de ces différents sujets, comme je me suis déjà permis de le dire sur un post consacré spécifiquement à l’hypnose. Bien sûr, celle-ci se comprend très bien car elle répond à de grandes promesses : quoi de mieux en effet qu’un livre ou une formation qui vous dévoilerait les secrets de la « communication » (ah le beau mot employé à tort et à travers) et fonctionnerait aussi bien dans votre vie sentimentale, professionnelle et même dans vos spectacles ? J’ai tendance à corréler cette mode qui touche peu à peu le monde du spectacle après avoir touché celui de l’entreprise à une autre montée en puissance, celle du mentalisme. En témoignent d’ailleurs tous les messages de définition et de surdéfinition qu’on trouve ici même (mentalisme, magie mentale… mais qui sommes-nous vraiment ?) Et si ces sujets me passionnent, je regrette toujours une part de facilité dans l’approche que certains peuvent en avoir et une forme de melting-pot de théories, parfois hasardeux. Sans doute pouvons-nous l’expliquer par le fait qu’en tant que gens de spectacle, qui visons plus une pratique qu’une recherche de vérité, nous aurions tendance à nous laisser tenter par tout ce qui peut nous permettre une plus grande efficacité, en nous délivrant les clés un peu simplistes des interactions humaines ? Après tout, tant que « ça marche »… Je me permets de noter par ailleurs que si l'hypnose, qui a longtemps eu mauvaise presse dans le champ scientifique tend à être aujourd'hui acceptée plus nettement, il en est en revanche bien différent de la PNL, pour laquelle nous devons tous être bien d'accord que les fondements scientifiques sont nuls. Sans risquer de me prendre une volée de bois vert, je pense que ceux qui s'intéressent à ces sujets devraient lire certains articles d'Yves Winkin ou de Pascal Lardellier, qui ont respectivement attaqué la PNL ou encore la synergologie, notamment dans leurs ambiguïtés à se présenter comme sciences. Je me permets d'ailleurs de signaler que face à cette mode "psychologisante" à laquelle nous assistons, il est de bon augure que d'autres disciplines s'intéressent à de tels sujets, notamment les sciences de l'information et la communication. A propos de la PNL, je me permets un lien vers un article intéressant que j'ai redécouvert il y a peu : http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article153
  11. Il est vrai que The Code fait vraiment usine à gaz. On devine au visionnage du dvd qu'il s'agit d'un produit fait pour être vendu à des gens qui n'auraient pas le courage d'apprendre un chapelet, ni le temps de marquer leur propre jeu pour leur en conférer tous les avantages. Le problème principal est que l'on perd tout l'intérêt du chapelet, puisque le minimum est d'en connaitre l'ordre pour pouvoir le restituer facilement et enchaîner des effets qui vont plus ou moins détruire cet ordre pour mieux le reconstituer par la suite. D'autant que ce jeu n'a pas été basé sur n'importe quel chapelet... Par ailleurs, un autre petit souci est que le truquage du jeu peut être repéré par quiconque serait un peu attentif. Sinon la vidéo est bien produite et surtout très bien vendue...
  12. Pour les avoir essayés à peu près tous, les swamis de Vernet me semblent chers, se fatiguent vite, et m'apparaissent très compliqués à utiliser. Après il faut essayer ! Les bugs writer ne sont pas vraiment pas pour moi... Le mieux est encore et toujours de piocher chez Corinda un système qui puisse nous tenter (en plus, c'est facile à trouver, c'est quasiment la première page). J'ai mis très longtemps à trouver un swami qui me convienne et seul le système de band writer m'est apparu satisfaisant (tout comme à Banachek et à Lee Earle notamment). Je l'ai donc fabriqué moi-même, avec un tout petit peu de jugeote, et c'est encore ce que l'on peut trouver de plus adapté à chacun et de moins cher !
  13. Il ne faut pas oublier que la Bibliothèque nationale de France n'est pas n'importe quelle bibliothèque, son rôle est de conserver à peu près tous les ouvrages qui peuvent sortir sur le sol français (ou en français du moins). D'ailleurs, les livres de Derren Brown ne sont pas en accès libre là-bas, ils se trouvent dans la bibliothèque de recherche, réservée théoriquement, comme son nom l'indique, aux chercheurs (ou étudiants qui ont su montrer patte blanche ou spécialistes de tel ou tel sujet...). Peu de gens sont au courant d'ailleurs de la possibilité de se faire photocopier un livre, qui reste rare, mais pour la BNF, c'est pleinement dans son rôle de participer à une conservation et à diffusion, fut-ce-t-elle minime d'ouvrages, afin qu'il reste des objets vivants.
  14. Bob Cassidy a aussi créé un effet un peu similaire que tu peux trouver dans "L'Art du mentalisme 2" : L'agenda télépathique.
  15. Avec un agenda, tu peux envisager pas mal d'effets de mentalisme. L'effet "Happy birthday" de Simon Aronson (on peut le trouver dans son Very best of) est très intéressant. A chaque jour de ton agenda correspond une carte ; le spectateur choisit une carte, et c'est exactement celle qui correspond à sa date d'anniversaire. A noter que Simon Aronson a créé plusieurs variantes de cet effet. Techniquement c'est assez simple, mais il faut maîtriser une arme qui demande un peu de mémoire...
  16. Merci Dreda, j'avais effectivement vu ce lien sur ce "livre que Messmer ne veut pas dévoiler", qui a cela d'intéressant qu'on y voit bien que l'auteur se rend compte de la part de storytelling qu'il y a chez Messmer, mais en même temps fait tout pour percer le secret que notre fascinateur avait justement créé. Ce qui me gêne le plus, c'est qu'on est tout de même face à quelqu'un qui semble faire partie de ceux dont je parlais plus haut qui instrumentalisent l'hypnose (mais aussi d'une manière générale la communication ou les écrits de la psychologie sociale entre autres) à des fins de vente de conseils de réussite ou de développement d'expertise en entreprises, n'hésitant pas à écrire un article sur "les secrets de l'esprit humain". Vouloir être efficace en entreprise et vendre ses capacités, certes, mais aller jusqu'à croire qu'on a compris le secret de ce qui fait un être humain... Et ce genre de rhétorique du dévoilement, du mystère enfin résolu et de la pseudo-scientificité est hyper fréquente chez ceux qui écrivent sur l'hypnose, grandement récupérée par les gourous de la communication d'aujourd'hui. Gardons notre esprit critique, je le répète...
  17. Je ne dis pas que ce que raconte Messmer est faux, loin de là. D'ailleurs, quant à savoir si ce qu'il dit est conforme à la réalité ou non est une vaine interrogation. Peu importe devrais-je en fait. Il y a bel et bien ce qu'en publicité on appelle du storytelling à partir du moment où on recrée et où on recompose tout un récit de soi. Ce que Messmer fait d'une manière brillante dans ses apparitions télé ou dans ses spectacles. La question n'est donc plus de savoir si c'est vrai ou faux, nous sommes au-delà. Il y a probablement beaucoup de vrai dans ce que dit Messmer, mais il y a aussi et surtout une excellente manière de le raconter, et ainsi de mettre en scène une forme de secret et de mystère.
  18. Il est certain qu'il y a chez Messmer et ses producteurs une part de storytelling assez incroyable et très bien menée. Il est amusant d'ailleurs que même des gens qui font du spectacle en viennent à se demander quel est donc ce fameux grimoire, qui renfermerait tant de trésors. Mais c'est comme la recette du Coca-Cola : il n'y a pas de grand secret, mais une narration du secret.
  19. Absolument d'accord ! Et cela rejoint un peu ce que je disais : les visages de l'hypnose sont tellement multiples, que beaucoup de ceux qui la pratiquent parlent de réalités complètement différentes. C'en est d'ailleurs à se demander si l'hypnose en elle-même, pour elle-même et presque avec un H majuscule existe.
  20. Me voilà assez flatté de me retrouver avec quelqu'un sur ce forum, qui partage les mêmes impressions que moi. Effectivement, ce genre de travers comme tu dis existent chez beaucoup de pratiquants de l'hypnose, et ne cesse de me gêner. J'ai toujours été amusé face à des ouvrages dont les titres surfaient sur l'hypnose pour faire croire à une vie meilleure ou à des capacités hors du commun, et j'ai toujours été choqué également de voir de jeunes hypnotiseurs, qui avaient suivi une formation ne devant pas excéder deux jours, employer une rhétorique de grand scientifique. Prudence donc avec l'hypnose ! Attention aux poussées de naïveté
  21. J'aimerais ajouter un point. Je ne sais pas qui fait le stage à Metz, et je confirme que participer à de l'hypnose "en live" et non pas uniquement à travers des ouvrages est effectivement très formateur. Néanmoins, je crois que j'ai assez lu sur le sujet pour signaler qu'il faut parfois se méfier de certains stages. Nombreux sont ceux qui peuvent désormais ouvrir des formations en hypnose, PNL ou tout un tas de disciplines (ou pseudo-disciplines d'ailleurs). Il est donc prudent de se renseigner sur la qualité de la formation, sur la personne qui la dispense car l'hypnose, le développement personnel, le coaching aux entreprises (car dans les formations, tout se mélange parfois) sont des milieux qui drainent pas mal d'argent et où tout peut parfois se confondre assez vite, donc prudence ! Et ceci d'autant plus que les visages de l'hypnose sont totalement multiples. Je le répète : la street-hypnose n'est pas l'hypnose thérapeutique, qui n'est elle-même pas l'hypnose de spectacle... Les catégories se sont tellement multipliées, et ce, selon des critères parfois tout à fait arbitraires, qu'il est parfois difficile de discerner ce que l'on vient chercher en hypnose. Essaie donc de savoir ce qui t'intéresse dans l'hypnose. Veux-tu en faire du spectacle comme beaucoup sur ce site ? A moins que tu t'intéresses plutôt à son utilisation dans le traitement de la douleur ? A ses rapports avec la psychanalyse ? A l'utilisation au quotidien ? Au moyen de trouver le bien-être personnel ? Une formation, c'est toujours une certaine vision de l'hypnose : il y a tellement d'approches possibles que je n'ai jamais vu de stage en hypnose générale. Enfin, par dessus-tout, il faut comprendre qu'on trouve dans certains écrits ou chez certaines personnes qui ont pratiqué l'hypnose un relatif manque d'esprit critique, et une certaine manière de prétendre à des capacités fantasmées ou de croire détenir une forme de vérité scientifique. Si j'ai un conseil à donner à tous ceux qui s'intéressent à l'hypnose, c'est avant tout de garder un esprit critique. C'est primordial.
  22. Moi je réponds : "à Poudlard". Ca fonctionne assez bien !
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