Petite précision sur ce point. Etant moi-même musulman, j'ai eu l'occasion de me documenter sur la question de la dite interdiction à la "magie".
Il en est ressorti que le mot arabe, traduit en français par "magie", n'a rien à voir avec notre art. On devrait plutôt parler de sorcellerie, à savoir le fait de pactiser avec des démons pour influer sur la vie ici bas (rendre quelqu'un amoureux, malade, fou, ou encore connaître l'avenir, grimper les échelons sociaux, retrouver la santé, la jeunesse, etc etc...).
Je ne sais pas si ça fait beaucoup avancer les recherches de Romée, mais je pense que certaines précisions permettent de ne pas partir sur des bases de réflexion erronées.
Tout à fait exact, merci de le rappeler. Il en est de même dans la Bible.
Corrigez-moi si je me trompe mais il me semble que justement, au temps de l'obscurantisme religieux (inquisition), la magie (au sens de la prestidigitation, et autres amusements de société) étaient tout de même condamnés par l'Eglise car il "fallait quand même avoir des relations avec le Démon pour pouvoir tromper ses contemporains aussi habillement"
Il me semble que cette phrase, ici tirée de mémoire, est écrite dans le livre de Max Diff.
Cela explique l'effet inverse produit par les premiers ouvrages publiés.