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Publié le

Luis OLMEDO est un magicien espagnol brillant de renommée mondiale : il est le champion du monde dans la catégorie "micromagie" avec un premier prix à la FISM de 2022 !

Ainsi, le Champagne Magic Club est honoré d'organiser sa conférence exceptionnelle :

le mardi 28 mai 2024 à partir de 20h30

à la maison de quartier des Trois Piliers – 51100 REIMS

 

Lorsque vous verrez sa magie, attendez-vous à être « foolé », à l'instar de Penn & Teller devant son numéro de pièces incroyable ! (Vidéo ci-dessous)

Bien évidemment, vous saurez apprécier les enseignements que vous tirerez de sa maîtrise de la magie  de close-up, des cartes et des pièces de monnaie. Son style allie délicatesse, poésie et effets puissants, faisant de lui l'un des magiciens les plus prometteurs de sa génération.

Au plaisir de vous retrouver nombreux pour cette conférence mémorable !

Vous pouvez me contacter pour plus d'informations, annoncer votre venue...

 

Au programme :

Au cours de la soirée, Luis partagera avec nous ses concepts magiques préférés, tels que le change de jeux, le lapping et l'utilisation d'un tapis. De plus, il nous dévoilera certains de ses effets devenus des références mondiales, comme « canvas » et  « transpo travel », offrant ainsi une opportunité unique d'apprentissage théorique et pratique.

Ne manquez pas cette occasion de vous immerger dans son univers magique captivant !

 

Tarifs :

Tarif normal : 27 €

Pour les membres de la FFAP : 22 €

Pour les membres du Champagne Magic Club : 18 €

Pour tous les moins de 18 ans (extérieur / FFAP / CMC) : 15 €

 

Autres informations : 

champagne et biscuits offerts par le champagne magic club à la pause.

Notes de conférence et produits à la vente par le conférencier

 

 

Pour patienter, en attendant sa conférence :

 

 

 

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  • 4 weeks plus tard...
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Publié le (modifié)

Compte-rendu de la conférence de Luis Olmedo à Reims du 28 mai 2024

Luis Olmedo a donné une conférence en deux parties. La première partie était consacrée à sa magie des cartes, tandis que la seconde partie portait sur sa magie des pièces.

 

Première Partie : Magie des Cartes

Pour la magie des cartes, il a présenté un enchaînement de trois routines, qui ne sont qu’une petite partie de son spectacle professionnel :

  • Canvas

Luis commence par une routine impressionnante où un jeu blanc se transforme magiquement. Il extrait quatre cartes blanches (présentées comme les quatre dames), qui s'impriment avant que tout le jeu ne s'imprime également.

  • Transpo Travel

Cette routine démarre avec deux jokers placés de côté. Luis fait apparaître magiquement les quatre as. Un as est sélectionné par le spectateur, et trois cartes aléatoires sont distribuées face cachée sur cet as. Les trois autres as sont perdus dans le jeu. Ils disparaissent et réapparaissent avec l’as qui était mis de côté avant le début du tour. L’as et les trois cartes faces cachées se transforment visuellement en deux jokers. Les jokers qui ont été mis de côté avant le début du tour se transforment visuellement en quatre as. C’est sublime et d’une pureté incroyable !

  • Le choix de Sophie

Le scénario du tour est inspiré du film « Sophie’s Choice ». Dans ce film, Sophie est confrontée à une décision pour laquelle il n’y a pas de bonne option. Dans ce numéro, c’est le choix de ??? (nom du spectateur) qui, de manière inéluctable, ne peut échapper à son destin et en revient à retrouver sa carte.

Un joker est montré, déchiré et mis de côté hors du tapis. Ensuite, le spectateur choisit une carte qui est perdue dans le jeu (le spectateur la replace où il veut dans un ruban de cartes, et le magicien ne regarde pas, c’est très net !). Le spectateur prend des décisions : combien de mélanges à l’américaine ? On fait des paquets sur la table : combien ? (le spectateur fait lui-même les paquets). Un petit paquet est sélectionné. Le spectateur pose son doigt sur une des cartes face en bas. C’est la sienne ! Un instant plus tard, la carte choisie se transforme en joker. Le joker qui a été déchiré au début devient maintenant la carte du spectateur.

 

Seconde Partie : Magie des Pièces

Luis émerveille tout le monde avec des routines techniques et esthétiques. Les voyages de pièces sous les cartes, les matrix, sont vraiment impressionnants.

Il y a des matrix progressifs, des matrix instantanés.

Je ne suis pas trop fan de la magie des pièces habituellement, mais là, voir ce niveau de pureté dans les voyages de pièces, sans que le truc ne soit « téléphoné », avec un niveau de clarté dans les actions du point de vue du spectateur… De bout en bout, le spectateur est persuadé du « nombre » de pièces utilisées, de leur positionnement. Les actions avec les cartes dans les matrix sont très convaincantes et ne laissent rien supposer… Et quand les voyages des pièces se font, on prend une claque ! C’est hyper visuel, magique, beau et poétique… J’ai adoré !

 

Théories, réflexions artistiques…

Luis nous a donné sa vision sur le positionnement et l’attitude empathique du magicien pour améliorer l’expérience du public et établir un meilleur lien avec les spectateurs. Son objectif est de mettre à l’aise le spectateur : vous saurez ce qu’il fait en amont du spectacle, au tout début et pendant le spectacle pour parvenir à cela. Il nous a aussi donné sa vision de l’utilisation des gimmicks en magie et du choix des méthodes : pourquoi une méthode plutôt qu’une autre…

Dans la partie sur les numéros de cartes, Luis nous a enseigné ses méthodes pour enchaîner les numéros de manière fluide, avec un enseignement sur les temps forts et faibles, le positionnement par rapport à la table (et au tapis de cartes), et comment il utilise tout l’espace pour améliorer la communication avec le public tout en profitant de cela pour faire des mouvements secrets. J’ai trouvé toutes ses réflexions et ses enseignements vraiment très intéressants.

De plus, dans la partie sur la magie des pièces, Luis nous a donné des conseils sur l’entraînement et la répétition des mouvements pour les rendre naturels.

 

Explications et Interactions

Luis se montre très généreux dans ses explications, n'hésitant pas à répéter les mouvements et à permettre aux participants de filmer pour un meilleur apprentissage. Il prend le temps de répondre aux questions et de clarifier les techniques demandées s’il ne les a pas expliquées ou si vous souhaitez une précision. Les techniques avec les pièces sont expliquées avec beaucoup de pédagogie, avec des cartes transparentes pour que l’on puisse tout suivre. D’ailleurs, même avec des cartes transparentes, vous risquez d’être illusionné !

 

Produits à la Vente

Luis propose :

Des notes de conférence bien imprimées au format livret en couleur à 20 euros, en anglais avec une traduction française en cours de préparation : il les enverra en PDF gratuitement, en plus, à ceux qui lui ont acheté les notes.

Le produit "Transpo Travel" qu’il a sorti avec Penguin Magic à un tarif réduit (une vingtaine d’euros, mais je n’en suis plus certain). Mais il vous explique comment vous le refaire et ne force pas à la vente. C’est juste qu’en achetant lors de sa conférence, vous êtes libérés de la petite préparation (qui n’est pas bien méchante à effectuer)…

Un pack de trois téléchargements à prix réduit spécial « conférence » (50 euros au lieu d’une centaine d’euros) comprenant : Matrix Project + Fade to Black (si j’ai bien compris, c’est l’utilisation d’une carte noire dans les conditions du close-up) + Pigmalion (plusieurs de ses routines de cartes et/ou pièces). Il me semble que chaque téléchargement a un contenu vidéo de plus d’une heure trente. Luís vous créera un compte sur son site internet avec l'accès aux contenus vidéos.

 

Conclusion

Pour résumer, c’est une magnifique conférence, avec un artiste généreux et vraiment empathique, soucieux que vous passiez un agréable moment… et c’est très réussi !

Et je rajouterai ceci :

Il fait une tournée de conférences en France en ce moment :  allez le voir ! Il est champion du monde, et quand on le voit performer, on comprend pourquoi !

 

Modifié par Thibaut FONTAINE
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Publié le

Merci beaucoup pour ce compte-rendu très complet.

J'ai encore plus les boules de l'avoir loupée (j'ai raté mon train), mais c'est agréable de savoir tout ce qui a été abordé.

  • J'aime 1
Publié le
Le 29/05/2024 à 16:21, Thibaut FONTAINE a dit :

Pour résumer, c’est une magnifique conférence, avec un artiste généreux et vraiment empathique, soucieux que vous passiez un agréable moment… et c’est très réussi !

Et je rajouterai ceci :

Il fait une tournée de conférences en France en ce moment :  allez le voir ! Il est champion du monde, et quand on le voit performer, on comprend pourquoi !

 

Rien de plus à ajouter : un artiste effectivement délicieux dans tous les sens du terme qui nous a tous ébahis et régalés par sa gentillesse, sa technique et ses précieux conseils. Une des meilleures conférences auxquelles j'ai assisté depuis longtemps.

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    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''"humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de D.BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 : "I may be alone in thinking about this, but in a craft building on foundations of untruth, it is a worthwile occupation to seek to bring it to a place of honesty."
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