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Salut à tous amoureux du larfeuille,

F. Tabary à fait faire des portefeuilles Kaps /Le Paul/Mullica (le tout en un) de très bonne qualité en noir ou bordeaux et au format français. A voir avec lui si il lui en reste. Il a aussi fait faire des Himber Bendix Bombshell mais je suis moins enthousiaste : un peu épais. Faisable en salon mais pas en close-up si vous voulez poser sur table. Il y a une firme Anglaise qui en fabrique de bonne qualité (voir Magic smith). Sur certains congrès un Hongrois commercialise pas mal de modèles très soignés à des prix TRES compétitifs. Vérifiez au congrès AFAP si il est là... Il vend des étuis en cuir noir pour petits paquets (je l'utilise pour le bonneteau) qui sont superbes. Il y a 3 ans je l'ai payé 25 F !!!

Je suis un peu sceptique sur la nécessité d'avoir un portefeuille défoncé. Dans certaines conditions si tu fais une soirée un peu "guindée" un portefeuille rutilant n'aura pas l'air suspect. Par contre tu auras l'air d'un bouseux si tu sors de ton smoking un vieux larfeuille aux coins usés !..

Quand j'emprunte un billet je regarde les portefeuilles et je peux te garantir que là où je bosse la plupart du temps les portefeuilles ont l'air de sortir de chez le maroquinier...

A+ ou à -

Fred Darevil

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Publié le

La question du portefeuille usé ou pas usé vient surtout de l'utilisateur, et de la crédibilité du portefeuille par rapport à cet utilisateur. Minh est étudiant et on voit rarement des étudiants avec un portefeuille en cuir rutilant neuf (les portefeuilles les plus répandus chez les jeunes resemblent d'ailleurs le plus souvent aux portefeuilles en tissu, fermeture à velco, etc). L'aspect du portefeuille n'est pas vital en soi (sauf s'il pue le truc à 100 mètres), c'est surtout une question de savoir s'il est "assorti" à son propriétaire. Dans le cas de Minh, un portefeuille en cuir usé, qu'il se trimballe dans une banane, sera plus crédible que le portefeuille de tes clients du Rotary Club (il ne s'en servent sans doute pas assez?).

Pour les portefeuilles de Tabary, Camirand Academy vend toujours le Kaps/Jenning/Mullica, dont on peut voir une photo sur leur site web, mais j'ai trouvé ce portefeuille très épais. J'ai nettement préfére le Bendix, qui était vendu en son temps chez Hornecker, mais je ne sais pas s'il en possède encore.

Seb.

Publié le

Ce cher Seb à l'humour aussi piquant qu'une tranche de citron que l'on mordrait à pleines dents... Tu as tout à fait raison. L'important est que le portefeuille soit adapté au magicien et aux conditions. C'est le message que je voulais faire passer...

Je ne trouve pas le portefeuille Kaps de Tabary trop épais. Il ressemble aux portefeilles français que l'on trouve un peu partout. Je l'utilise souvent. Je crois, pour l'avoir comparé avec des modèles en maroquinerie que c'est l'un des plus convainquant de ce côté-ci de l'atlantique.

As-tu utilisé le bendix en close-up, posé sur la table ? Tu m'en diras des nouvelles...

Publié le

Je ne t'en ai pas parlé parce que je ne pensais pas qu'il existait encore et de toute manière, j'ai eu l'occasion de l'avoir entre les mains et je l'ai trouvé aussi épais qu'un Big Mac Super Deluxe avec des Mac Potatoes. J'ose à peine imaginer l'épaisseur qu'il doit faire une fois rempli avec tous les billets, papiers d'identité, etc. De plus, et c'est ce qui me dérangeait encore plus, l'insert Mullica faisait pièce rapportée et n'était pas du tout assorti au reste du portefeuille.

Celà dit, Fred dit qu'il est bien, c'est une question de goûts et de couleurs (et d'épaisseur). Peut-être également que Fred et moi avons vu différents modèles du même portefeuille.

Je trouve le Bendix vendu par Tabary nettement supérieur, il n'est pas plus épais qu'un bendix traditionnel et tout comme le Garnier portefeuille auquel Fred faisait référence, le format et le cuir font très portefeuille européen, effectivement...Et c'est un point fort de ces deux portefeuilles (Garnier et Bendix).

Les portefeuilles LePaul et Jennings remplissent la même fonction, à savoir une carte signée (ou même une bague) retrouvée dans une enveloppe fermée elle-même placée dans un portefeuille. C'est dans les détails que ça change: c'est Le Paul qui a inventé le design de base, bien qu'il ne le mentionne pas dans son livre (The Card Magic of Le Paul, 1943). Le Paul mentionne dans son livre l'effet d'un carte signée retrouvée dans une enveloppe scellée, ce qui préfigure la méthode de base, mais il ne mentionne nulle part l'idée d'un portefeuille contenant les enveloppes fermées. Il faut dire que l'effet était 'achement underground en son temps, d'autant plus que Greg Wilson n'était pas encore né. Il s'agissait dans sa version d'un portefeuille qui ne pouvait servir QUE pour le tour et c'était seulement un accessoire de scène (un bout de cuir plié en deux et maintenu fermé par un zipper, sans compartiment ou poche).

Jennings a repris le concept en l'adaptant à un portefeuille qui pouvait servir dans la vie de tous les jours, ce qui signifie qu'en ouvrant le portefeuille, on a le compartiment fermé par un zipper à gauche (la partie "truquée", donc), et le côté droit reste normal, avec moult compartiments pour ranger les papiers et autres bidules habituels (argent, photos, tickets de métro, préservatif, bon pour un BigMac gratuit, photo dédicacée de Greg Wilson, etc).

Seb.

Publié le

Pour ceux qui veulent aller encore plus loin dans l'étude des portefeuilles, je rapelle l'excellent livre de Jerry Mentzer: CARD TO portefeuille, THE BOOK. SEB me semble d'ailleurs bien connaître ce livre.

Au niveau vidéos, il faudrait peut être que Didier Ladane nous fasse part d'une infime partie de son savoir?!?

En ce qui concerne l'utilisation du Mullica portefeuille, je recommande personnellement GOURMET CLOSE-UP MAGIC de Eugene Burger qui comme toujours travaille comme un dieu.

Voir aussi peut-être The Greater Magic Video Library volume 44 (Restaurant Magic) pour une routine de Dan Fleshman avec le Balducci portefeuille.(N'achetez tout de même pas la cassette juste pour cette routine!!!)

Allez, au suivant de ces messieurs...

La magie au bout des doigts

http://illusionniste.be/

Publié le

Chers tous,

je viens d'aller voir le site Camirand Academy. Le fameux portefeuille Kaps/Mullica/LePaul a l'air genial.

Seb, pourquoi ne m'en as-tu jamais parle ? Peut-etre est-il moyennement fonctionnel pour tous les jours ?

J'ai une question. Quelle est la difference entre un Jennings et un LePaul ?

Pour revenir au sujet, mon portefeuille, je m'en sers tous les jours comme...portefeuille. Il s'abime donc et prends les formes que veulent bien lui donner MES habitudes.

En gros, il est assez gonfle, il se patine, mais ne fait pas crados ;-) Les coins ne sont pas habimes, Minh je me demande ce que tu fais ;-)

Pour les puristes, c'est un Arthur et Aston.

A+

Mat'

Publié le

L'objet, le concept du portefeuille, ses applications multiples font partie de mes marottes les plus tenaces.

J'ai acheté des dizaines de portefeuilles différents tout au long de ces dernières années car chacun donne quelque chose... .

Vouloir trouver le meilleur du premier coup, semble utopique, quelque part.Les essais personnels par rapport à ses besoins et ses propres capacités devraient conduire au meilleur choix .

Il faut parfois investir à perte pour trouver

ce qu'on cherche vraiment. Je parle pour les vrais mordus de portefeuilles et pour ceux qui n'ont pas encore de portefeuille .

A+.

Dominique .

Publié le

Sur la vidéo de Eugene Burger "Gourmet close-up magic" il y a une idée fumante de David Parr pour l'utilisation du portefeuille Mullica. Je ne peux guère en dire plus mais disons que cela ajoute un petit plus sympa à la présentation...

Seb : le bendix Tabarly posé sur table, vraiment... est-ce raisonnable ? Le Duvivier portefeuille dakodak because l'extraplatitude de la chose ! Mais le Tabarly ! Un portefeuille à bascule ! Et c'est dommage parce que à certains égards il est fumant ce modèle là !..

Et le Shogun portefeuille, hein ? Qui qui n'en parle du Shogun portefeuille ? Et le M portefeuille ? Et le Answer ouallette ? Et le Gary Ouallette...

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    • Bonjour  J'ai trouvé ça extrait du New York time  Philippe  Version francaise (traduite) : Werner Reich, qui a appris la magie à Auschwitz, est mort à 94 ans Il avait 16 ans lorsqu’un codétenu, un magicien, lui enseigna un tour de cartes dans les baraquements du camp d’extermination. Il appelait cela un « miracle ». Dans les baraquements d’Auschwitz, où des hommes affamés, émaciés et mourants étaient entassés à six par lit, le plus proche voisin de Werner Reich était un homme allemand juif d’une trentaine d’années, courtois, nommé Herbert Levin, connu avant la Seconde Guerre mondiale sous le nom de Nivelli le magicien. Un jour, au début de 1944, M. Reich, alors âgé de 16 ans, revint au baraquement après une corvée, grimpa sur la couchette supérieure de son lit à trois étages et observa M. Levin battre un jeu de cartes sale que les gardes du camp lui avaient donné pour les divertir — une manière d’éviter d’être envoyé à la chambre à gaz. « Et je n’arrivais pas à y croire, vous savez — avoir un jeu de cartes à Auschwitz, c’était comme trouver un gorille dans sa salle de bain », se souvenait M. Reich dans une conférence TEDx en 2020. « Puis M. Levin s’est tourné vers moi, m’a tendu le jeu et m’a dit : “Choisis une carte.” Alors j’ai choisi une carte, et il a fait un tour pour moi. » Pour un adolescent qui n’avait jamais vu un tour de magie, c’était un « miracle ». M. Levin lui expliqua le truc, et M. Reich en mémorisa chaque étape durant tout son temps à Auschwitz — une distraction qui l’aida à survivre à l’horreur — puis pendant une marche de la mort de 55 kilomètres, dans la neige et la glace, vers le camp de Mauthausen, en Autriche. Ce n’est que plusieurs années plus tard, une fois libéré et arrivé en Angleterre, qu’il acheta un jeu de cartes et tenta le tour par lui-même. « Et ça a marché », dit-il. « Ça a magnifiquement marché. » Après avoir émigré aux États-Unis, M. Reich devint ingénieur, sans jamais perdre son amour pour la magie. Il exécutait des tours de cartes et de pièces devant de petits groupes, dans des temples ou lors des anniversaires de ses fils. Il est décédé le 8 juillet à son domicile de Smithtown, dans l’État de New York, a indiqué son fils David. Il avait 94 ans. Enfance et déportation Werner Reich est né à Berlin le 1er octobre 1927. Sa mère, Elly (Dux) Reich, reçut la Croix de fer pour son service comme infirmière sur le front de l’Est pendant la Première Guerre mondiale. Son père, Wilhelm, était ingénieur. La vie confortable des Reich fut bouleversée en 1933, lorsque les nazis prirent le pouvoir et que Wilhelm fut renvoyé de son emploi parce qu’il était juif. La famille se réfugia en Yougoslavie, où le père mourut de causes naturelles à Zagreb en 1940. Quand les nazis envahirent le pays en 1941, la mère de Werner envoya ses deux enfants, Werner et sa sœur Renate, se cacher dans des familles différentes. Werner vécut environ deux ans chez un couple membre de la résistance, avant d’être arrêté par la Gestapo. Commence alors sa vie de prisonnier, notamment dans un commissariat à Graz, en Autriche, où il aperçut sa mère dans la cour de la prison — la dernière fois qu’il la vit avant qu’elle ne soit vraisemblablement assassinée. À Theresienstadt (aujourd’hui en République tchèque), il fut contraint de tuer des nuisibles avec le pesticide à base de cyanure Zyklon B, le même utilisé dans les chambres à gaz. À Auschwitz, il dut courir nu devant le Dr Josef Mengele, qui décidait qui était assez fort pour travailler et qui serait envoyé à la mort. « Nous courions pour nos vies », raconta-t-il au New York Times en 2017. « On essayait d’avoir l’air fort, on souriait — tout pour paraître apte au travail. » Il survécut à Auschwitz, à la marche de la mort (au prix de plusieurs orteils amputés pour cause de gelures) et aux derniers mois à Mauthausen, avant d’être libéré par l’armée américaine le 5 mai 1945. Il avait 17 ans. Il pesait 29 kilos. Une nouvelle vie De retour en Yougoslavie, il s’enfuit deux ans plus tard vers l’Angleterre, où il devint outilleur-ajusteur et rencontra sa future épouse, Eva Schiff. Celle-ci faisait partie des 669 enfants tchèques, principalement juifs, sauvés avant la guerre par Sir Nicholas Winton, un agent de change britannique, grâce à des pots-de-vin, de faux papiers et des contacts secrets avec la Gestapo. Werner et Eva se marièrent en Angleterre et émigrèrent aux États-Unis en 1955. Après avoir obtenu un diplôme à City College of New York, il travailla comme ingénieur chez Nabisco et dans la chaîne de supermarchés Hills. Durant les 25 dernières années de sa vie, il témoigna dans des écoles, des synagogues et des associations de son expérience de la Shoah. Aux élèves, il transmettait un message contre le harcèlement : « Il disait que de bonnes personnes n’avaient rien fait — qu’il s’agisse d’un ami ou d’un pays », raconta son fils David. « Il disait : si tu vois quelqu’un se faire malmener, défends-le. Fais quelque chose. » Outre David, il laisse un autre fils, Mikal, et quatre petits-enfants. Son épouse est décédée en 2016. Sa sœur, Renate Romano, survivante de l’Holocauste, a immigré aux États-Unis en 1948 et est morte en 1999. Le legs d’un tour de magie Le tour de cartes de M. Levin resta gravé dans la mémoire de M. Reich toute sa vie. « Nous aimions tout ce qui pouvait nous arracher à Auschwitz ne serait-ce qu’un instant, tout ce qui pouvait détourner nos esprits de nos souvenirs et de l’horreur autour de nous », dit-il en 2017. En Angleterre, il se plongea dans la magie : il acheta un jeu de cartes, puis d’autres tours et livres de magie. « Il y a une ligne très, très fine entre un passe-temps et la folie », plaisantait-il dans sa conférence TEDx. M. Reich ne revit jamais M. Levin après Auschwitz et ignorait que celui-ci avait lui aussi émigré aux États-Unis, repris sa carrière de magicien et vécu à Rego Park, dans le Queens. M. Levin mourut en 1977, mais M. Reich ne l’apprit qu’environ 30 ans plus tard, en lisant un article dans The Linking Ring, la revue mensuelle de la Fraternité internationale des magiciens, dont il faisait partie. Le révérend William V. Rauscher, prêtre épiscopal à la retraite et magicien, rédigea cet article puis collabora avec M. Reich à son autobiographie, The Death Camp Magicians (2015), qui raconte aussi l’histoire de M. Levin. « C’était un assez bon magicien », dit M. Rauscher. « Il venait chez moi, sortait des cartes et des pièces et faisait des tours sur la table du salon. » « Les autres magiciens le trouvaient fascinant à cause de son lien avec Nivelli. » M. Reich n’oublia jamais M. Levin, ni le cadeau de ce simple tour de cartes qui, un instant, avait offert à un garçon terrifié une évasion et un geste d’humanité. « Ce n’est ni la valeur ni la taille d’un cadeau qui comptent vraiment », disait-il dans sa conférence TEDx. « C’est la façon dont tu le gardes dans ton cœur. »                  
    • @BoB Magicien est l’élève le plus ancien de @Philippe MOLINA et est aujourd’hui devenu un professionnel accompli, vivant de son art en tant qu’animateur et magicien. Dans ce programme, Bob partage 9 routines de cartes originales, accompagnées d’explications détaillées, d’astuces issues de sa pratique quotidienne sur le terrain, et de réflexions théoriques enrichissantes. Sa solide expérience du public, acquise au fil des années, se reflète dans chaque aspect de ce contenu. 🎁 Bonus exclusif – Bon Plan VM : Les Bavardes – PM & Friends S1E07 de Philippe MOLINA offert avec l’achat de la conférence ! 🎬 Durée : 2h45 Disponible en streaming + téléchargement, avec chapitrage pour un accès direct aux effets et explications. Un extrait avec une huile et eau : En promo dutant le Black Magic jusqu'à lundi minuit. https://www.virtualmagie.com/boutique/videos-magie/conferences-ateliers-videos-magie/philippe-vous-presente-bob-magicien/
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