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Et biens le fameux "je pense donc je suis" lui affirme une réalité.

De même, je ne peut pas nier que j'ai une perception, si j'ai une perception c'est que j'existe, la seul chose reel que nous arrivons a determiner c'est nous même.

Ensuite, le réel n'est qu'un concept, dans le cas d'un forum de paranormal, les personnes qui discute ne sont pas satisfaite du réel, pour eux le réel "tout ce qui est dans l'espace et dans le temp" est une maniere de se limité.

D'ou paranormal, au dela du normal, au dela du reel, ainsi l'état de trance nous fait sortir des limites de la réalité.

On peut donc choisir se soutenir que la these de réel est suffisante, ou l'on reste dans un cadre purment scientifique, ou considerer que le réel n'est qu'une partie des choses que nous pouvons considérer. le métaphysique, le paranormal n'est pas le réel mais une forme d'extention du reel.

Meristeme

Publié le

nan car la vérité c'est le rapport de comformité et le réel, ça veut dire qu'on peut porté des jugment et des interprétation de nos peception qui peuvent sortir du réel.

Le plus dur c'ets des'entendre sur les termes ^^

Dans un sens, c'est vrai qu'on se limite en ayant la croyance qu'il n'y a rien en dehors du réel.

Meristeme

Publié le

la ou est toute la difficulté c'est dans la percption de chacun des mots... en effets, ceux-ci sont le 1er obstacle a la compréhension, a l'entente humaine. Un pays dictatorial n'aurat pas 20milles mot pour définir la liberté, la paix, la pensé. Dans l'exemple de 1984 de gorge orwell (ecxellent livre) l'état réduit chaque année le langage de la populasse... ainsi, moins de mot, moins de pensée... moins de libertés...

Ainsi, la perception, peut etre différente d'une personne a l'autre, si quelqu'un a un langage étendu, elle pourrat peut-etre mieux décrire un objet, un etre, mais pour qui???

Ainsi, la liberté, c'est aussi l'expression de tout, pour tous...

mais la liberté peut-elle être présente sans vérité? On peut dire a un peuple qu'il est libre, et pourtant, il n'ai pas du tout libre, c'est la force de la pensée, la force des argument, le pouvoir de la réthorique...

En magie, on peut faire croire a un public qu'un jeu est bleu, avec les mots, les arguments, et pour le public, le jeu sera bleu, il n'y aurat pas de doute... alors que dans l'étui, il peut y avoir un jeu rouge, vert, ou pas de jeu du tout...

et pour le public, "le jeu est bleu" serat une vérité, et pourtant, pour le magicien, sa sera completement faux...

alors comment distingué la vérité???

comme elle se présente, comme on la percoit, c'est sa qui fait la beauté des hommes (et leur petits coté humain destructeur aussi), si certain vont voir la vie, la terre, l'espace d'une manière, d'autre la verrons différement, sans que personne ne sache qui a raison...

La plupart des gens voient le monde en 3dimensions, d'autre en 4, les scientifiques en 11, qui a raison??

c'est un question de perception, de besoin, tout le monde a-t-il besoin de voir le monde en 11 dimension?

non, 4 pour certains, c'est déja trop...

Mais dans ce sens, on voit aussi la différence de la réalité, si on regarde un arosoir au loin, on le verra en 2D, se sera évidement, on ne pourrait distinguer un arrosoir plat d'un arrosoir en 3D, la réalité sera telle que au loin, il y aura un arrosoir plat. Pourtant, si on se raproche de ce meme arosoir, il prend sa véritable forme, redevient un arrosoir en 3D. Ceci pour montrer que la réalité change selon le point de vu, tout en restant une réalité...

Aussi, si la réalité reste "vrai","vérédicte", on ne sait jamais si elle est réelle, mais cela reste pourtant la réalité. Certaine chose échapperait a la perception de chacun, par exemple, si, durant une nuit, tout doublait de taille, personne ne pourrait le savoir, et pourtant on aurait tous grandit...

mais rien ne le prouverai, et pourtant, la réalité serait la, devant nous...

Ainsi, on ne percvrai aucun changement, mais la réalité aurait changée...

étrange dyleme que celui de la vérité, vérité que seule les mots dominent, vérité puissance de dictature, d'unions divers, de croyance....

vérité pourtant impossible a démontrée, et pourtant admise par tous...

voila, je me suis un peu laché sur ce sujet, je ne sais pas si j'ai été très claire :crazy:, mais bref, tongue.gif

Publié le

J'insiste sur le fait que si l'on considere qu'il y a plusieur réalité (ce qui est pour moi absurde) la vérité n'a aucun sens.

autrment dit :

si interpretation = reel alors nous some face a une vérité vérité

a liberté peut-elle être présente sans vérité?

tout à fait, la liberté c'ets pouvoir d'etre le principe absiolu d'une série d'action, la réalité et la perception n'on pas un rapport direct avec la liberté, la vérité et la liberté sont donc bien deux concept distinct il peut y avaoir une réalité unique sans liberté et inversement.

Meristeme

Publié le

"Lao tseu l'a dit...il faut trouver la voie ! Moi je l'ai trouvé. Je vais d'abord vous couper la tête, ensuite, vous connaîtrez la vérité !"

(Tintin - Le lotus Bleu)

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

Publié le

Je pensais que l'on prenait des cours d'orthographe avant de prendre des cours de philosophie...Que l'on se devait de maitriser les bases de la langue française avant de commencer à philosopher....C'est peut-être là l'un des principaux maux de notre art : trop de gens veulent apprendre à faire des sauts de coupe avant même de savoir contrôler une simple carte au mélange à la française....

Avant de courir, il est nécessaire de savoir marcher....

Le fait de voir tant de "fotes d'aurtographes" m'a hélas empéché de lire tout le contenu de ce post...

Ecrire de telles idées sans se soucier de l'orthographe, c'est comme venter les mérites la gastronomie devant un micro-onde qui décongèle une pizza....

Nikola

www.nikola.fr

Publié le

euuh.... vAnter, et non... vEnter !

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

Publié le

je ne pense pas, pour moi l'écriture n'est qu'un moyen d'expression, j'ai beaucoup de difficulté pour écrire (et encore a la main il n'y que moi qui peu relire lol). Je prefere discuter, c'ets mon mode d'expression privilégié.

d'aillleur j'ai apris le saut de coupe avant le mélange français ^^

Meristeme

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    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
    • Les réponses ici, et c’est impressionnant :   
    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
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