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Publié le (modifié)

Woody,

Si je n'ai pas appelé, c'est que j'ai zappé et oui ca arrive ! mais sinon, je decroche je te rassure !

pour la fabrication, perso, quand je presente switchbox, le bruit est vraiment mini ! Voila pourquoi les E----S me semble bien ! Apres j'essaye de trouver des solutions en lisant les critiques etc ... donc faire une chaine me semble une bonne idee !

pour discuter juste lors de la sortie de mes tours ok .... mais VM ne donne pas tjs envoe de venir ! La preuve je me fais demonter à chaque sortie et je viens quand meme ...

comme tu dis.... je laisse tomber !

j'espere en discuter plus tard avec toi et surtout ailleurs !

 

Mc

Modifié par Mickael CHATELAIN
Publié le
Il y a 13 heures, Mickael CHATELAIN a dit :

Pour le bruit, j'avoue que les E-------S sont tres petits et puissants mais rien n'empeche pour diminuer la puissance, de  creer une chaine de 2 !

Salut Mickaël,

  • Merci pour ta réponse :)

Pour moi le bruit est un énorme frein à l'achat, 9 fois sur 10 quand je fais du close-up c'est dans un salon sans musique et avec moins de 10 personnes.

Et quand le magicien en arrive au moment de "LA révélation", en général c'est silence dans la salle...

Alors pour tous les magiciens en herbe qui veulent faire cet effet à papa, maman ou tata Yolande, ça risque d'être très compliqué pour eux...

S'il faut l'utiliser en conditions "Pro", c'est à dire faire du table à table en restaurant/mariage ou dans des cocktails alors ce n'est pas pour moi.

Merci à toi de venir défendre tes produits sur le forum, bonne continuation ;)

Publié le
il y a 26 minutes, Natas a dit :

Pour moi le bruit est un énorme frein à l'achat, 9 fois sur 10 quand je fais du close-up c'est dans un salon sans musique et avec moins de 10 personnes.

C'est bizarre je fais du salon aussi et il ne m'est jamais venu l'idée de ne pas mettre de musique.

Je trouve que justement la musique met en valeur les routines pour peu que l'on s'y attarde.

Je mets énormément de temps à les choisir et je demande parfois à des potes musiciens ce qu'ils en pensent. 

Essaie, Natas, tu verras même que différentes musiques peuvent donner différentes lectures à tes routines.

En plus si tu fais ça entre amis ou pour la famille pas de problème de droits.

Si Dieu existe j'espère qu'il a une bonne excuse.

Woody Allen

Publié le
il y a 25 minutes, HREJ a dit :

C'est bizarre je fais du salon aussi et il ne m'est jamais venu l'idée de ne pas mettre de musique.

Alors en fait, je ne fais que (ou presque) de la magie pour enfants en scène ou en "conditions de salon".

Mais le close-up, je fais ça avec mes amis, ma famille, pendant un apéro ou après un repas...

Si je mets de la musique, c'est très faible niveau volume et de toutes façons c'est rare... J'aime bien qu'on puisse discuter sans avoir à parler fort pour s'entendre ;)

Mais du coup, impossible d'utiliser ce genre de gimmick dans mon cas de figure...

  • Alors que la M-Case donne au final le même résultat :D

Alors certes, moins visuel/flash mais avec tellement plus de possibilité et tellement moins de contraintes ! :x (comme le bruit ou la charge)

Le seul avantage réel de la Switchbox par rapport à la M-Case c'est qu'on peut "charger/switcher" une carte signée ou tout autre vrai choix libre parmi beaucoup de possibilités comme une carte vraiment choisie librement parmi 52 cartes.

  • Cela dit, c'est très beau de pouvoir le faire avec une carte signée. :x
Publié le
il y a une heure, Natas a dit :

Et quand le magicien en arrive au moment de "LA révélation", en général c'est silence dans la salle...

Attention car "LA révélation" n'est pas au moment ou tu prends la carte mais quand tu la déplies pour montrer son identité. mais si tu ressens une appréhension lors de la prise de la carte, tu vas inévitablement provoquer une focalisation de ce moment. Alors que tu prends juste la carte et que le "vrai" grand moment, c'est lorsque tu la déplies et la montre (TADA!!). Donc rien ne t’empêche de parler et d'expliquer qu'une carte est présente depuis le début, blabla etc....

c'est un peu comme le jeu invisible, le vrai moment c'est n'est pas quand tu montres une carte retournée mais lorsque tu la révèles.

Il est certain qu'il y a un décalage entre le moment secret du magicien et le moment magique des spectateurs.

  • J'aime 3
Publié le
il y a 2 minutes, maroine a dit :

Attention car "LA révélation" n'est pas au moment ou tu prends la carte mais quand tu la déplies pour montrer son identité

Tout à fait et le silence peut très bien être fait à ce moment là ;)

Si Dieu existe j'espère qu'il a une bonne excuse.

Woody Allen

Publié le
il y a une heure, maroine a dit :

Attention car "LA révélation" n'est pas au moment ou tu prends la carte mais quand tu la déplies pour montrer son identité.

Je sais qu'une bonne présentation repose (entre autres éléments) sur la gestion du temps. Et avoir le meilleur contrôle possible sur le timing est très important !

Mais là on joue un peu sur les mots... Il y a 2 à 8 secondes entre la prise de la carte et le moment où on le déplie... Si on garde la carte pliée en main plus d'une minute on se tire une balle dans le pied.

La switchbox est très bonne visiblement mais le fait de parler ne couvrira certainement pas le bruit d'un f***. (plusieurs propositions sont possibles pour remplacer les 3 astérisques :P)

Publié le
Il y a 2 heures, Natas a dit :

Mais là on joue un peu sur les mots... Il y a 2 à 8 secondes entre la prise de la carte et le moment où on le déplie... Si on garde la carte pliée en main plus d'une minute on se tire une balle dans le pied.

Je ne vois pas en quoi cela est choquant ou perd de son effet. Tu peux imaginer qu'une fois la carte "perdue" dans le jeu. tu donnes le paquets à mélanger au 1er spectateur et la carte pliée à un 2nd... ensuite une passe magique et le 1er spectateur cherche sa carte signée dans le jeu. et là sans rien dire les gens comprennent que cette carte pliée doit etre la selection. le 2nd spectateur la déplie et TADA! ici tu as facilement 45secondes avant la révélation finale. en quoi c'est se tirer une balle dans le pied? L'avantage par cette sorte de parenthèse d'oubli est que tout le monde se souviendra que la carte pliée n'a jamais été touchée par le magicien.

tu peux meme, commencer ton show par le choix d'une carte, la faire signée, donner le jeu à une personne, et à une autre personne lui donner une enveloppe où sera glissée une carte pliée. continuer ton spectacle et terminer par cette révélation.... là on est facile entre 15 à 30mn :)

mais je pense que tu focalises essentiellement sur ce fameux bruit...

Me concernant, je ne prendrai pas ce gimmick, non pas pour le bruit mais juste par commodité d'avoir un outil supplémentaire à avoir sur soi durant une prestation. mais sinon, je le trouve vraiment très intéressant.

Néanmoins, il y aurait d'autres questions à poser telles que: 

-Peut on utiliser l'étui pour y mettre un jeu?

-Le déclenchement n'était il pas trop sensible si je pose l'étui sur la table un peu fort..?

-Peut on remettre le gimmick en place, devant les gens en faisant mine de poser une carte pliée dessus par exemple?

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  • Messages

    • Je reviens au sujet du livre, car c'est ce que j'ai choisi comme lecture récréative pour les vacances. La citation de Pierre Etaix sur la 4e de couverture a failli me faire passer pour un intellectuel auprès de mes beaux-parents (chez qui je passe une partie desdites vacances) parce qu'ils sont très... "Télérama". Mais j'ai senti à la tête de belle-Maman quand elle a vu la couverture (pourtant dudit Pierre Etaix) et à l'attitude de beau-Papa quand il a feuilleté le livre que leur furtif espoir de s'être trompés sur le compte du zigoto choisi par leur fille pour leur faire des petits-enfants avait encore été déçu.  J'en suis à la page 183, ça se lit agréablement. C'est étonnamment bien écrit pour quelqu'un qui a appris le français en écoutant Coluche. Je me suis marré plusieurs fois à voix haute et j'ai été étonné d'y trouver quelques remarques qui m'ont fait réfléchir sur la construction d'un numéro (dans le chapitre consacré au Champion de l'élégance). Par contre, je ne regarderai plus jamais les saucisses de Strasbourg de la même manière.  Une remarque négative, cependant, à @Otto WESSELY : pourquoi ne pas avoir mis la photo de la page 174 EN COULEURS, vu que tu dis qu'elle est belle en couleurs ?! Quelle frustration ! (Les autres, je vous entends penser "Frustration totale !", je lis dans vos pensées, je suis le plus grand des mentalistes). Je la trouve super, j'aimerais l'avoir en haute résolution pour l'imprimer en poster. Merci d'avance. Bisous. Un admirateur  (Je n'ai pas le courage de me taper les 36 pages du sujet pour voir si la question de ladite photo a déjà été soulevée)
    • Et si l'on parle de "bouffée de l'humanité" : quelques portraits de la Fism à Rimini, là où l'humanité était encore plus palpable.... Qui me cite les noms ?   
    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
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