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Publié le

A propos des gobelets, Bébel m'a fait une remarque intéressante: il disait (en substance) que bosser les gobelets, c'est assez rapidement bosser plus que les gobelets, car tous les aspects de la magie y sont toujours indispensable: présentation, technique, misdirection, psychologie, timing, fluidité, relachement, temps forts et faibles...

j'ajouterais que ces aspects sont tous liés. D'ici un bout de temps j'aurais ma routine de keupsandbolz perso et je serais le maitre du monde! (si les pièces à travers la table ne s'avèrent pas suffisantes)

je le bosse un peu dans le même état d'esprit que Youki, en partant à l'aventure :)

Roland Barthélemy

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Publié le

Merci Youki !

On copie/colle et on met dans les archives.

J'ajouterais à ta liste, ce qui est pour moi une des plus belles routines de gobelets : Les salières de Goshman.

Goshman qui ouvre aussi la voie des gobelets transparents avec sa pièce sous le verre.

Magicien, comédien, artiste de rue 

Publié le

Ayé, j'ai reçu mes muscades et ma charge!

Les muscades sont un peu plus grosses que celles que l'on trouve chez le marchand de trucs, ce qui facilite un peu les manips, la couleur est tres bien le travail est soigné et les rares petites imperfections font le charme de l'artisanat! Par contre j'ai pas fait gaffe, la charge finale est trop grosse pour mes gobelets, il va falloir que je passe une commande spéciale. :grin:

Roland Barthélemy

Publié le

Bonjour à tous,

Merci à toi Roland pour ta critique de mon travail, et merci à toi Youki pour tes précieux conseils. Je pense qu'il n'y a pa plus belle récompense que de savoir son ouvrage aprécié et comparé au travail de Brett Sherwood, et surtout reconnu par quelqu'un comme Youki.

Maintenant je vais me mettre en quète de "noyaux" de divers diamètres afin de pouvoir coller au mieux à la demande de chacun. Vous avez tous votre propre routine, vos propres jeux de gobelets avec des dimensions spécifiques, et ce qui convient à Roland ne conviendra pas forcément à Pierre, Paul ou Jacques.

Mais comme le dit Youki, je ne compte pas en faire une industrie, mais plutôt une fabrique artisanale qui s'attacherait à faire du sur mesure du taillé et cousu-main pour votre routine. Ce qui sous-entend que je ne constitue pas un stock, et que pour chaque commande sortant de l'ordinaire je dois me mettre en quête des diamètres spécifiques, donc les délais peuvent être plus long. La charge que j'ai fabriqué pour Roland est trop grande pour ses collectors cup, je vais donc lui proposer d'autres dimensions et adapter ma fabrication à sa demande. Le but que je me suis fixé n'est pas la rentabilité, mais bel et bien la qualité et à un cout raisonnable.

  • 2 months plus tard...
Publié le (modifié)

allez hop! je fais remonter ce sujet parceque ça vaut le coup, je tavaille depuis le début de l'année avec les muscades de Pascaline et François, et je progresse...

allez faire un tour sur leur site!

Modifié par Thomas THIEBAUT

Roland Barthélemy

  • 4 weeks plus tard...
Publié le

Et j'en remets une petite louche. Je viens de recevoir ma commande et sincèrement je n'ai strictement rien à redire : Parfait !

Mais si ce n'était que cela ... J'ai un peu eu l'impression d'avoir été un client privilégié tellement François est sympathique et disponible : réponses aux questions, mail de confirmation, respect des délais, résultat impeccable et surtout rapport qualité/prix imbattable !

Bref, François, j'aurais pu simplement vous dire par mail - plutôt que sur un forum public - le plaisir que j'ai eu à vous commander mes muscades mais je voulais que cela se sache ;) !

Amitiés

:cool:

Woody.

  • 3 années plus tard...
Publié le

Hop Hop UP je remonte ce sujet...

Le lien vers ce site ne marche plus, je cherche justement des balles crochetées de qualité, de couleur, et pour ChopCup...

J'ai vu un lien vers un autre fabricant sur VM, je cherche encore (c'est comme çà que je suis tombé sur celui-ci)...

Si vous avez des idées...

Merci !

Mon regard sur les publications Close-Up :

http://closeupcritique.wordpress.com/

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
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