Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le

Une petite histoire pour ceux qui aiment les casse-tete :

-3 types arrivent dans un hotel ou la chambre est à 10 euros... (pas cher)

-le groom encaisse donc les 30 euros (3 chambres)

-la dessus arrive le patron de l'hotel qui dit au groom de leur faire une ristourne de 5 euros étant donné qu'ils avaient pris 3 chambres...

-devant rendre 5 euros répartis sur 3 personnes le groom se dit que pour se simplifier la tache il va rendre 1 euros à chacun et s'en mettre 2 dans la poche...

Si nous faisons le point :

Chacun a donné 10 euros soit 30 euros...

le groom leur en a rendu 1 à chacun

finalement il n'ont payé à 3 que 3x9=27euros... avec les 2 euros que le groom a dans la poche... ca fait 29 euos

...mais ou est passé le 30eme ???

[ 14 Février 2003, 01:29: Message édité par : Fox ]

Fox

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Réponses 64
  • Créé
  • Dernière réponse

Membres les + Actifs

Publié le

L'erreur de raisonnement est ici :

Citation:

Débat lancé par Fox:

Finalement il n'ont payé à 3 que 3x9=27euros... avec les 2 euros que le groom a dans la poche... ca fait 29 euos

...mais ou est passé le 30eme ???

Finalement, ils n'ont payé à 3 que 3x9=27 euros... DONT les 2 euros que le groom a dans la poche.

Hugo Caszar

Publié le

Dans le meme genre pour ceux que cela intéresse (malgré le peu de rapport avec la magie....;-), mes deux énigmes préférées :

1°)

Un couple invite 14 autres couples à une soirée. Nommons les membres de ce couple H1 pour l'homme et F1 pour la femme.

Au bout de quelques heures, pendant la soirée, F1 dit à H1 qu'elle a demandé à tout le monde combien ils ont serrés de mains, et elle remarque que chaque personne a répondu un chiffre différent.

"Dans ce cas, lui réponds son mari H1, je sais combien, toi, tu as serré de mains !"

Sachant que tout les invités qui se disent bonjour se serrent la main, quel est ce chiffre ?

2°)

un homme se trouve au centre d'un cube entièrement composé de miroirs qui réfléchissent son image. Pas d'objet supplémentaire dans le cube et pas de miroir sans teint...

L'homme regarde pile en face de lui son propre regard (donc ses yeux pour etre clair).

Combien de fois voit-il son image ?

Publié le

Pour la 2° je dirais l'infini

et la 1° ??? je comprend pas : "chaque personne a répondu un chiffre différent"

Voilà, voyont la suite...

Publié le

Connaissez-vous le paradoxe du pendu ?

Un pauvre homme est condamné à être pendu. Il est enfermé dans une celulle ce dimanche soir, et son geolier lui a dit ceci : "Vous serez pendu dans le courant de la semaine prochaine. Mais à aucun moment vous ne pourrez deviner le moment de votre pendaison".

Le prisonnier se met à réfléchir, et à écrire sur le mur les 7 jours de la semaine à venir : lundi, mardi, mercredi, etc. jusque dimanche.

Il songe que, arrivé le samedi soir, il sera certain que sa pendaison est programmée pour le dimanche, car ce sera alors le seul jour restant. Sur le mur, il raye donc le dimanche, ça ne peut pas être cela.

En tenant le même raisonnement, il en vient naturellement à rayer le samedi. Puisque ça ne peut pas être le dimanche, ça ne peut pas être le samedi, car, arrivé le vendredi soir, il saura que sa pendaison aura lieu le lendemain.

Et ainsi de suite, il est amené à rayer chacun des jours de la semaine. Et à passer une nuit sereine.

Quelle est son erreur ?

Hugo Caszar

Publié le

dès le moment où il a admis qu'il était sûr que dimanche qu'il ne pouvait pas être pendu, il est obligé de déduire qu'il ne le sera pas. C'est là qu'est l'erreur, pourquoi pourrait - il être sûr qu'il ne sera pas pendu dimanche ?

Il y a de fortes chanches qu'il soit surpris et qu'il se fera pendre par exemple mardi, le pauvre [sourire]

Et Hop apparition de six mots !

Et hop seulement cinq mots !

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8217
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Hippolyte ADENOT
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      83.9k
    • Total des messages
      678.8k

×
×
  • Créer...