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CEDmagic, le gimmick a main de Mesika, que je ne connaissait pas, est en pour une ampoule, mais cela pourrait peut être me convenir en fait, surtout si, peut être, ca fonctionne aussi un verre (si c'est le classique système a marteau, pourquoi pas), tu l'as déjà essayé ? Ce qui me plait c'est que c'est 100% mécanique (je suppose), donc comme je n'ai aucune confiance a l'électronique...

Sinon, je ne cherche justement surtout pas de guéridon truqué, au mieux j'aimerais bidouiller un objet banal style livre, mais les guéridons tels qu'ils se font ne me conviennent pas du tout, trop peu "réel" à mon goût (Le mieux du mieux serait de creuser ma belle table de salon en chêne pour y caser un truc... Mais enfin.).

Chakkan, merci pour la référence, après recherche c'est aussi un produit intéressant mais comme c'est in gueridon bien carré bien noir, ce n'est pas exactement ce que je recherche.

Je ne sais plus ou, mais j'avais vu il y a quelques années, deux gimmick, un à main couleur chair, a marteau (le fameux truc dont je ne retrouve plus le nom), et aussi un montage électronique de meme fonctionnement global, peut etre dans le bouquin de Klingsor sur la magie electronique...

Je crois me souvenir que j'avais lu toute une explication dans un bouquin de Klingsor sur la magie electronique

Publié le (modifié)

Chez un certain marchand de trucs bretons, il y a "Big Bang" de M.S.

C'est une explosion d'ampoule dans un sachet transparent mais cela peut être aussi tout objet qui puisse se briser ;)

J'aime beaucoup ce système pour trois raisons:

- C'est mécanique et, comme tu le dis, c'est plus fiable.

- L'explosion se produit dans un sachet, tu ne dois donc pas balayer après ( ;) ) et tu ne risque pas d'avoir une projection de verre qui pourrait blesser quelqu'un. C'est très efficace en close-up!

- Au moment de l'explosion, tu tiens le sachet du bout des doigts, le participant peut, quant à lui tenir l'objet à travers le sachet sans problème! La magie se fait au bout de ses doigts.

Et, bien sûr, l'utilisation du sachet se justifie automatiquement, à mon sens. D'ailleurs, je ne le justifie jamais et on ne m'a jamais posé de question sur celui-ci! Pourtant c'est lui qui fait tout le boulot mdr

[video:youtube]

Voili voilou

Modifié par Tracassin

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http://www.denisdarko.art

Publié le

Je fais souvent se tour, le sachet ne pose pas de problème de mon côté, les gens adore perso je l'utilise avec électric touch, l'impact est énorme

On peut mesurer la magie d'une présence à ce qui disparait avec elle.[ Alice Ferney ]

Publié le (modifié)
Justement pour le sachet ça met vraiment la puce à l'oreille pour comprendre la méthode...

mais s'est vrai que le verre ne fini pas dans l’œil du spectateur et rien à balayer mais pour moi ça diminue l'impact de l'effet , magicien trop proche , sachet obligatoire .

Je pense qu'il faut arrêter, de temps en temps, de penser comme un magicien. Certes Big Bang n'est pas le meilleur effet pour épater un public de connaisseur mais un public de profane est tout à fait différent.

Si je relis ce qui est énoncé plus haut, ormis une table gimmické, le magicien est obligé de tenir l'ampoule ou le verre DIRECTEMENT dans sa main (pas très clean finalement). Ici le sachet permet de tenir une "certaine" distance et c'est le participant LUI MÊME qui tient l'objet qui va exploser.

Pourquoi le sac mettrait il la puce à l'oreille? Après tout il est transparent et si il y avait un objet dissimulé, cela se verrait. Personne n'a jamais soupçonné la pince qui tient le tout... Juré craché! Au mieux j'ai eu beaucoup de personne qui pensait que l'ampoule n'était pas ordinaire... Suffit de la déballer devant eux, une toute fraîche du magasin du coin et là c'est l’ébahissement total... Le sachet contient les débris de verre et c'est en ça qu'il se justifie sans rien dire. Les gens comprennent son utilité sans rien demander ;)

Oui, nous sommes magiciens, on peut même plus faire confiance à un étui de carte de nos jours mdr. Mais n'oublions pas qu'un profane, ce que nous avons tous été, peut totalement s'émerveiller devant une simple et belle LD... Un "simple" jeu Svengali/radio... Un faux dépôt bien réalisé... Alors une ampoule qui pète dans un sachet alors qu'il la tient, c'est le mi mi le ra ra, c'est le MIRACLE!

Arretons notre course à l'effet le plus clean. C'est une compétition qui ne concerne que les magiciens, pas le public profane (je ne les critique pas ceci dit, c'est une autre forme de magie c'est tout). Les clients à qui je présente mes effets aime la magie (sinon ils embaucheraient pas de magicien n'est ce pas?) et bizarrement, c'est parfois les trucs les plus simples qui les épates le plus... "A bons entendeurs, salut!"

Modifié par Tracassin
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    • A défaut, il te suffit de présenter n'importe quelle routine de ton répertoire à tes spectateurs pour que ceux-ci puissent expliquer par la suite qu'ils ont vu un tour de Pierre (et à une lettre près, on n'est pas si loin de la demande initiale. Sans que cela ne te coûte un centime. Merci qui 😜 ?)
    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
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