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J'ai sur le feu une idée qui mijote doucement depuis deux ou trois ans.

La base de ma réflexion est la mnémotechnie. Depuis plus de 30 ans je pratique cette gymnastique cérébrale qu'est l'alpha-numérisation.

Je me demandais combien d'entre vous connaissent cet outil qui, il faut bien le dire, est essentiellement utilisé pour l'expérience des 20 (ou plus) mots. Je ne parle pas des méthodes qui y ressemblent, où les chiffres sont remplacés par des images telles qu'un cygne, la tour Eiffel, ou un œuf.

j'aimerais que ceux qui ont créé leur table de rappel me fasse parvenir celle ci. La mienne va jusqu'à 99 ce qui est amplement suffisant. Je la communiquerais bien volontiers. J'ai besoin de connaitre quels sont les mots (en langue française uniquement) qui reviennent le plus souvent.

Je sais que ces listes sont construites (et c'est préférable) d'une manière personnelle.

Utilisez vous régulièrement ce procédé en magie ? (dans la vie courante cela m'importe peu).

Les mentalistes devraient, ils me semble, pouvoir répondre plus facilement. Mais les autres utilisateurs seront les bienvenus.

Nous pouvons en parler sur ce forum tant que les listes restent publiés en MP quitte à se rejoindre par la suite en chambre des secrets.

Avec mes remerciements.

Si tu n'as qu'une parole, ne la donne à personne !

Site web: www.allias-magie.fr/

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
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Salut Allias. Je te recopie çà et t'envoie çà dès que j'ai un moment mais tu peux toujours me bigophoner si tu veux en parler plus an détail. A très vite. Mentalistiquement.

NIRAG

www.nirag.fr

Envie de votre propre acrostiche personnalisé ? Contactez moi.

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Salut mon vieux !!!

Tu regardes Vassal et Tréborix.......leurs tables sont légérement différentes ...............

Avant d'apprendre des tours de magie il faudrait apprendre l'Histoire de la magie

(Christian Fechner )

Publié le

Bonjour à tous, et merci.

J'ai déjà un certain nombre de tables, glanées dans divers ouvrages à ma disposition ou disponibles sur divers sites internet.

Toutefois, ce sont les votre, celles que vous utilisez vraiment, celles que vous avez mises à votre goût qui me seront utiles.

Il n'est pas impossible qu'en découvrant les utilisateurs de ces tables, je leur propose de tester ou d'améliorer un produit sur lequel je bosse.

Merci à ceux (peu nombreux je dois le dire) qui m’ont fait parvenir leur table.

A bientôt

Si tu n'as qu'une parole, ne la donne à personne !

Site web: www.allias-magie.fr/

Publié le

Un mot encore, je pourrai très bien m'inventer mes listes moi même. Mais sur le plan statistique ce ne serait pas crédible.

NB:Ce qui suit est incompréhensible pour les non pratiquants.

Dans la table de rappel classique nous savons que:

1= toit, thon, tee, thé, taon, ou bien encore, doigt, dé, dent et j'en oublie forcément. Je n'ai gardé que les mots qui peuvent se transformer en image évidente.

Ainsi doux, ou teint qui sont corrects ont été éliminés d’emblée.

Il me semble également que taon a peu de risque d'être choisi car c'est un mot moins coutumier que toit par exemple.

Voilà pourquoi ce sont vos listes qui intéressent.

Si tu n'as qu'une parole, ne la donne à personne !

Site web: www.allias-magie.fr/

Publié le

Bonjour Allias,

Je ne visualise pas l'aboutissement que tu souhaites obtenir est ce que tu peux préciser ce que tu veux construire en collectant différentes tables ?

"Oubliez tout ce que vous avez appris ... commencez par rêver"

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Bonjour Allias,

Je ne visualise pas l'aboutissement que tu souhaites obtenir est ce que tu peux préciser ce que tu veux construire en collectant différentes tables ?

Hélas je ne peut pas en dire plus. Disons tout en restant cependant dans le flou que c'est comme si (seulement comme si; hein), je voulais connaître la taille de vos foulard pour créer un F.P qui fonctionne avec la plupart de ceux ci. Mais c'est très aproximatif comme image.

Si tu n'as qu'une parole, ne la donne à personne !

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  • Thomas changed the title to Mnémotechnie & Table de Rappel | références

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
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