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Pour ma part je ne connais que le roughing stick et en moins de 3 minutes le jeu est fait. Un peu mal aux doigts au bout du troisième jeu d'affilée mais après on est opé pour un long moment ;) Je ne sors jamais sans mon Trilogy double deck card Shark traité au Roughing Stick. Simple mais pour moi rien de plus efficace, surtout quand on peut montrer le paquet dans sa totalité.

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Perso je me suis fait un jeu au roughing stick. En utilisation régulière j'ai remarqué que ça avait tendance à ne pas durer longtemps.

Je pense que c'est cool pour bricoler un tour personnalisé pour une soirée. C'est propre c'est fait en deux secondes. Par contre pour un effet que je vais faire souvent je vais continuer à m'empoisonner les poumons.

www.philippeday.com

Antoine de Saint-Exupéry : "Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité, et surtout pense à refaire le plein de l'avion"

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"Perso je me suis fait un jeu au roughing stick. En utilisation régulière j'ai remarqué que

ça avait tendance à ne pas durer longtemps..."

Bon après mon emballement même constat ,

pour quelques carte en une soirée ça le fait...

mais juste au bout de 3 Jours , les cartes ne colles déjà plus très bien .

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"Perso je me suis fait un jeu au roughing stick. En utilisation régulière j'ai remarqué que

ça avait tendance à ne pas durer longtemps..."

Bon après mon emballement même constat ,

pour quelques carte en une soirée ça le fait...

mais juste au bout de 3 Jours , les cartes ne colles déjà plus très bien .

+1 !

Publié le

+2 !

J'utilise Roughing stick pour un effet temporaire, de dépannage.

Mais pour construire un jeu complet destiné à durer, facile à manipuler, rien ne vaut Science Friction. J'utilise encore très souvent un jeu invisible (ou brainwave modifié) depuis des mois, sans aucun problème. Il est comme à l'origine. Et des cartes clé depuis des années, sans problème non plus.

Les produits basés sur une adhérence connaissent un problème de colle, justement parce que ces "colles" ne doivent pas coller de trop. Elles perdent de leur pouvoir avec le temps.

Tandis que pour Science Friction, la solution n'est pas une colle, mais des nano éléments produisant une friction, pas une adhérence. Une colle intervient seulement pour assurer leur inclusion à la carte. Et de ce fait elle n'a pas besoin de ne pas coller de trop, bien au contraire. Seule une usure régulière de la partie de la carte traitée peut à la rigueur diminuer l'effet de friction, mais ce n'est pas rapide du tout.

Les rares cas où le produit n'a pas bien fonctionné (se détachait, même), c'était lorsque les conditions d'application n'étaient pas remplies : notamment une température trop basse au moment de l'application, qui faisait que la colle adhérait très peu au support (c'est indiqué dans la notice). Il est également important de bien agiter la bombe avant application (3 minutes) et de diriger un premier jet en dehors de la zone à traiter, pour éviter les gouttelettes trop grosses du premier jet.

Citation
Quand on veut on peut.
  • 10 months plus tard...
Publié le

Une question. Peut-on se servir du stick pour en mettre sur un doigt et faciliter ainsi le glissage d'une carte. Dans la carte au plafond de David Stone, j'ai vraiment du mal à faire glisser la carte dans le gimmick avec le mouvement qu'il propose. Mon doigt est très sec et glisse sur la carte sans qu'elle-même ne glisse. Je dois donc humidifier l'index pour réussir le mouvement. Le stick appliqué en amont sur le doigt peut-il remplacer le moment "léchage du doigt"?!

Didier (artifice31)

Publié le
il y a 43 minutes, artifice31 a dit :

Une question. Peut-on se servir du stick pour en mettre sur un doigt et faciliter ainsi le glissage d'une carte. Dans la carte au plafond de David Stone, j'ai vraiment du mal à faire glisser la carte dans le gimmick avec le mouvement qu'il propose. Mon doigt est très sec et glisse sur la carte sans qu'elle-même ne glisse. Je dois donc humidifier l'index pour réussir le mouvement. Le stick appliqué en amont sur le doigt peut-il remplacer le moment "léchage du doigt"?!

Allons, il ne faut pas rêver: ça ne laisse rien sur les doigts...

...

Ça, c'est la réponse que je pensais taper d'office...

Et puis, pris d'un doute, et comme mon stick n'est pas loin, j'essaie:

Effectivement, ça ne laisse rien sur les doigts... dommage...

J'essaie sur les cartes : ARF! Ça marche!

Après quelques essais fébriles, à l'instant:

Le mieux que j'ai trouvé : un coup de langue sur les doigts, puis on essuie, pour que le doigt soit juste un peu moins sec.

Passage du stick.

on se frotte les doigts, c'est pas mouillé...

Mais le doigt dérape environ deux fois moins sur la carte! (essais sur un vieux  jeu passé à la poudre à éventail, sur un vieux jeu aux cartes collantes, sur un jeu neuf...)

Je ne sais pas encore quelle est la tenue dans le temps...

je ne peux plus faire de test comparatif tout de suite, tous mes doigts sont traités... à continuer!

 

La question est maintenant:

Est ce psychosomatique, ou il y a un effet réel?

 

Gilbus

 

 

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

  • 9 months plus tard...
Publié le

Je viens d'essayer de traiter un jeu au Roughing Stick pour un effet et j'ai dû en mettre trop, impossible d'étaler le jeu sur le tapis, ça me fait 3 ou 4 blocs de cartes, en main ça fonctionne bien mais je m'attendais au même effet qu'avec le Roughing Fluid mais là, même avec une carte traitée au contact d'une autre carte non-traitée, ça adhère quand même !

 

J'aurai besoin que ça n'adhère que face contre face mais là ça adhère tout le temps...(ce qui peut être excellent au passage pour d'autres applications).

 

J'ai lu certains commentaires qui disaient que c'était encore mieux que le Roughing Fluid pour se faire un jeu invisible, question de quantité, une carte sur deux, traiter toute la carte ou juste une zone ?

 

Merci d'avance pour vos conseils et pour le partage de vos expériences avec ce produit.

"Rassurez-vous, rien n'est sous contrôle." Zen

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    • non il a fait une refonte de l'interface pour la rendre encore plus simple ainsi que toutes les nouveautés.
    • Je viens de terminer "Le magicien d'Auschwitz" et je suis assez partagé. Ce livre est bien écrit, certains passages sont un peu longs (mais ils sont rares) et au final, je ne me suis pas ennuyé mais je ne sais toujours pas quoi en penser. L'une des rares choses que j'ai apprises à propos de cette période ignoble (le mot est encore trop faible) n'a pas été écrite dans le roman mais dans la postface, par l'auteur lui-même, et concerne les sonderkommandos, notamment la façon dont ils ont vécu l'après-guerre (pour les rares survivants de ces "forces spéciales"). Par ailleurs, je connaissais l'intérêt irrationnel des nazis pour les sciences occultes et s'il n'aborde finalement que très peu cet aspect (juste pour établir un lien entre l'occultisme complètement hors sol des nazis et l'illusionnisme du Grand Nivelli), l'auteur remet néanmoins au centre - même ponctuellement - cet aspect du nazisme considéré, jusqu'il y a peu, comme un pan anecdotique de la doctrine nationale-socialiste (et aujourd'hui, évoqué, à juste titre semble-t-il, comme un élément essentiel de cette idéologie). Pour le reste, le côté romanesque de cet ouvrage n'est pas fou mais l'on finit assez rapidement par s'attacher aux personnages et s'intéresser à leur effroyable parcours (s'il n'avait pas mis en scène un illusionniste, il y a fort à parier que l'on n'en aurait jamais parlé ici). Mais la vraie force de ce livre réside, selon moi, dans la description minutieuse du déroulement du processus de persécution des Juifs jusqu'à la mise en oeuvre de la "solution finale" et cela revêt une véritable valeur documentaire. Il y aurait encore beaucoup à dire et je dois avouer qu'en débutant la rédaction de ce commentaire, j'avais pratiquement décidé de ne pas poursuivre avec "Le manuscrit de Birkenau" mais je pense que ce serait une erreur car si l'on "sait" l'horreur qu'ont vécu les victimes du régime nazi à Auschwitz-Birkenau (mais aussi à Treblinka, Sobibor ou encore Dachau), il est nécessaire d'en entretenir le souvenir et à ce titre, ce roman est exemplaire. Et pour ceux qui veulent approfondir cet important - mais éprouvant -  devoir mémoriel envers les victimes du 3e Reich, je conseille "la mémoire meurtrie", film documentaire consacré à la libération du camp de Bergen-Belsen (attention cependant, certaines séquences sont particulièrement difficiles), le livre de Primo Lévi, "Si c'est un homme" (témoignage essentiel et bouleversant) et, peut-être plus accessible, "Adieu Birkenau" (BD réalisée à partir du témoignage de Ginette Kolinka, rescapée d'Auschwitz-Birkenau). My2Cents W.
    • On est d'accord sur le fait qu'il n'y a pas grand chose disponible sur la toile à ce sujet 😅
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