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Franchement Merci a tous pour vos réponses, la déjà j'ai de quoi faire.

après mon interrogation dans ce domaine de la magie pour enfant c'est vraiment les tranches d'ages que dois on présente pour les enfants de 4 ans par exemple, est ce le même spectacle pour les 5 ans et les 8 ans etc, le comble c'est que je n'ai pas d'enfants lol donc ca complique un peu la chose

Le livre de David Kaye t'apportera les réponses à tes questions. Il te permettra de connaitre les spécificités propres à chaque tranches d'âges afin de pouvoir adapter tes effets à ton public. L'auteur est américain, cela se ressent dans l'approche de ses spectacles, mais les informations sur la psychologie infantile, issues de son expérience sont plutôt intéressantes.

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Les magasins de jouets: Toy's R Us, Pic Wic...

Les dessins animés: chloé magique, les Disney

Les contes traditionnels et ceux d'aujourd'hui

Les ouvrages de Peter Din, Mimosa, Jean de Merry, ...

Voir, voir, voir des spectacles pour enfants, et pas seulement en magie

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Il y a plusieurs Mad-Magic Spécial enfants avec un qui est tout bleu et qui te décrit un spectacle complet pour enfants, mais introuvable sauf peut-être avec la réédition, à voir.

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Ben, en conte, on se pose les mêmes questions :

Perso, j’ai retenu trois classifications :

Il y a des contes pour tous petits (0,5-4 ans), avec beaucoup de jeux de doigts, d’objets, de couleurs, et des histoires très courtes et imagées. Aucune abstraction.

Il y a pour enfant plus grand (4-10 ans) avec une structure simple, mais un premier degré d’abstraction, lié à l’univers des enfants de cet âge, tant quotidien que culturel. Beaucoup d’interaction avec les enfants.

Ensuite, je ne fais plus trop de différence entre les contes pour enfants et les contes adultes, en évitant les parties les plus pornographique ou gore, si surtout si les parents sont présents et d’allure baraquée…

La tolérance sur les scènes de violence est très différente entre ce que vivent les enfants et ce que pensent les parents :

J’ai vu une conteuse dire une histoire horrible, avec le plus grand sérieux, ou des enfants sont décapités, ou les têtes roulent par terre etc.

Les adultes étaient tous interloqués, et se tournaient vers les enfants du coin de l’œil, pour voir leurs réactions.

Les enfants, eux, riaient aux éclats.

Si on voulait protéger les enfants autant que le souhaite les parents, la majorité des contes traditionnels, même ceux repris par Disney, seraient à bannir.

Prenons le petit poucet, un grand classique.

Parent dans la misère, famine totale : l’ambiance est posée.

Les parents décident de perdre leurs enfants dans la forêt, pour qu’ils se fassent manger par des bêtes : cool.

Bon en plus, ils n’y arrivent pas du premier coup, ils doivent s’y reprendre à deux fois ! (la préméditation n’est plus à démontrer…)

Le fameux poucet et ses frères sont ensuite perdus seuls, dans la forêts, ils ont faim, soif, peur, tout est obscur…(joyeuse balade)

Ils trouvent ensuite refuge (bref espoir), mais dans la maison d’un ogre qui va les égorger la nuit pour les manger le lendemain (bonne nuit les petits…)

Heureusement, ce sournois de poucet s’arrange pour que l’ogre égorge SES PROPRES ENFANTS durant la nuit, par erreur… (Vous recevez des copains à dormir, demain, les enfants ???)

Le reste est moins drôle, uniquement basé sur le vol, le mensonge et la violence quotidienne ordinaire…

Un beau conte.

A noter que beaucoup de spectacles de contes actuels ne sont PAS à destination des enfants, mais des adultes.

Le conte à encore cette connotation « spectacle pour enfants » pour beaucoup de gens, mais il s’en extrait petit à petit…

Personnellement, je ne fais pas de contes pour enfants.

Je n’aime pas les enfants.

Déjà que je n’aime pas les gens…

Alors les enfants, des gens même pas finis….

Gilbus

Modifié par Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

Publié le

Juste un petit mot Gilbus pour te remercier sincèrement pour la richesse de tes écrits et apports envers la communauté.

C'est toujours un plaisir de te lire ! :)

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Publié le (modifié)

Hé, on se calme, réservez les éloges aux gens vraiment qualifiés qui partagent avec vous leur magie, moi je ne suis qu’un bouffon, et je ne suis même pas vraiment magicien, alors…

Gilbus

Modifié par Gilbus

Quand le magicien montre la lune avec son doigt, le public regarde le doigt...

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    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
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