Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le

Si il ne viennent pas ils auront l'excuse de dire c'était complet.....

A moins qu'ils réservent rapidement pour les 7 & 8 novembre 2014.

Avant d'apprendre des tours de magie il faudrait apprendre l'Histoire de la magie

(Christian Fechner )

  • 5 months plus tard...
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le

Mon ami Stéphan continue sa brillante aventure.

4 nouvelles dates !

les 13 et 14 mars 2015

les 3 et 4 avril prochains

à l'Hôtel du Louvre - Paris

Un vendredi 13, pour vivre cette expérience exclusive et innovante

... il ne pouvait pas rater ça !

Avant d'apprendre des tours de magie il faudrait apprendre l'Histoire de la magie

(Christian Fechner )

  • 2 weeks plus tard...
Publié le (modifié)

Quand j'ai vu les photos sur vm avec les VIPS j'avais pas du tout envie d'y aller et de partager la soirée avec cette racaille d'un certain age, snob, plein de fric et moche. Ma curiosité pris le dessus et nous sommes allés hier soir. Tout d'abord deux bonnes nouvelles :

- le "nouveau Leyshon" est arrivé : 15 kg de moins, souriant, chaleureux et il a laissé tomber son coté cynique

- Le public est vraiment tout public, nous avons croisés des "jeunes" de 50 ans, deux couples de 25 ans, assez branché, ils auraient pu aller après au Queen, et surprise, quelques enfants, mignons et un peu trop sages.

Au debut on vous emmène par un sombre couloir dans une espèce de backroom, éclairée par des bougies électroniques et là vous picolez du Champagner à volonté. C'est sympa. Stefan by himself se mélange avec les clients, soutenu par Katel, mère de trois enfants et taille mannequin, au moins ce qui m'a semblé après 5 verres de champagne. Un jeune directeur-adjoint-assistant-bcbg vous emmène dans la vraie salle de spectacle, cette fois ci les bougies sont authentiques, on s'assoit et on entend la musique de piano, la sono est tellement bien, que j'a pensé il y a de la musique life. Le spectacle - c'est pour cela je suis venu - se déroule au milieu de la salle entre les plats, le dosage est scientifiquement calculé, pas trop long, pas trop court. Tout le monde sait que l'appetit s'arrête après 20 minutes entre entrée et plat principal. Chose scrupuleusement respectée, bravo ! Heureusement il n'y a pas de close up de table à table, un faro-shuffle à chaque table aurait tout cassé.

Stephan est amoureux des belles objets, surtout si c'est du Vuitton et quand il s'agit du Baccara, il devient quasiment transcendantal : Il fait le plus beau bar magique que j'ai jamais vu. Les boissons sont choisis librement, notées sur des cartes de visite et le maître fait tirer au hasard bien sûr ;) une dizaine. Les drinks sortent d'une - une ? va savoir.... ;) - bouteille transparente, les verres sont des verres Baccarat et les clients peuvent boire sans attraper la chiasse, c'est sans les ingrédients habituels. La dernière boisson souhaitée est du Champagner et Stefan laisse la bouteille sur la table. Une trouvaille plus que geniale. Il y a une climat de transparence qui s'écoule de ses interventions, on a l'impression que rien n'est caché dans doubles fonds, dans des boites. il utilise quand même une, en Louis Vuitton, whatelse, mais c'est touchant, l'enfant montre avec fierté son jouet. La piste tourne lentement, pourquoi pas, elle est en verre aussi. Sa partenaire Olympe est là quand il faut, sinon elle est invisible, sauf quand elle lévite pour faire concurrence à une cigarette que fait la meme chose. La force de Stefan consiste à faire croire qu'il improvise et qu'il travaille avec des objets empruntés. Le l'ai observé à Monte Carlo au cours d'une réception chez la Steph' : il etait chargé à mort, mais cela ne se voyait pas : Une cigarette qui vole parmi les gens, la neige japonaise avec un Kleenex et un verre d'eau et un menu comme eventail, et s'il n'avait pas pris à un moment des mouchoirs Vuitton, on aurait pu penser que tout est emprunté. Mais revenons au secret dinner : Tout cela est résolument moderne, tout à fait dans l'esprit de Robert Houdin, seul la robe de la belle Olympe emmène un coté Belle epoque, on se demande pourquoi. Le petit robot est mignon, vous le trouverez dans 10 ans au rayon jouets du BHV. Le personnage de Stefan est authentique, bcbg mais pas lèche cul, son coté George Clooney pourrait donner naissance pour quelques gags, on verra ça surement dans le futur. Ses interventions étaient entièrement en Français et Merci Dieu il n'y avait à aucun moment l'insupportable dialogue avec les touristes style "where do you come from" connu de tous les cabarets dit internationales. Il est classe, mais près des gens, un peu pince sans rire. Bien !

La soirée touche à sa fin quand il m'emmène dans les coulisses et là j'ai eu ma surprise : Je pense qu'il va charger ses accessoires dans sa twingo pour rentrer chez lui. Fichtre : TOUT LE DECOR DE LA SALLE EST À LUI, LA SONO, LA REGIE, LES PROJECTEURS JUSQU'AU MURS QUI SONT DEMONTABLES. IL SE DEPLACE AVEC 4 TECHNICIENS ET DEUX CAMIONS ! Pauvre gourde que je suis, j'ai pensé que la salle de l'Hotel du Louvre est pas mal stylée, mais non, elle est identique partout où il va. Alors ça.....

Vu le prix, c'est la "magie pour les riches", mais j'en suis sûr, s'il il faisait la même chose au restos du coeur ou dans une salle de fête en banlieue, avec un public qui mange des saucisses frites, le succès serait pareil. On pari ?

otto

Modifié par Otto Wessely

www.ottowessely.fr

Publié le

merci pour ce CR tout à fait impartial Otto, on sent bien l'ambiance et la fin prouve une fois plus que Stephan n'est pas là par hasard ou même grâce à des relations; certes il en a mais il les a gagné, toute son infrastructure prouve que c'est le travail qui paye et son expérience vient de son passé de close-up, lui aussi a ramé par le passé, l'expérience ne vient pas comme une illumination !

Pour l'élégance, la classe naturelle, la tenue, les effets ou les"lines" à ne pas faire, là aussi c'est le métier qui parle ...

C'est un fait que c'est de la magie "pour riches" comme tu dis mais bon, il en faut et si certains ont besoin de mécènes, ce n'est pas aux restos du coeur qu'on va les trouver avec tout le respect que j'ai pour cette formidable action ...

Christopher

Publié le

Quand j'ai vu les photos sur vm avec les VIPS j'avais pas du tout envie d'y aller et de partager la soirée avec cette racaille d'un certain age, snob, plein de fric et moche. Ma curiosité pris le dessus et nous sommes allés hier soir.

Ben ça donne quand même envie d'être vieux, moche, snob, pêté au as pour s'offrir ce repas et assister à ce spectacle réjouissant mdr

Publié le

Otto il y avait aussi, des animations visuelles sur des panneaux tout autour de cette salle particulière .......Images rétrospectives de Robert-Houdin et Georges Méliès.

Le spectacle est partout !

Avant d'apprendre des tours de magie il faudrait apprendre l'Histoire de la magie

(Christian Fechner )

Publié le

Otto il y avait aussi, des animations visuelles sur des panneaux tout autour de cette salle particulière .......Images rétrospectives de Robert-Houdin et Georges Méliès.

Le spectacle est partout !

YES ! ET IL Y AVAIT AUSSI À MANGER. Et les afters de l'hôtel du Louvre (hardcore, deephouse et backroom) sont excellentes ! ;)

otto

www.ottowessely.fr

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Qu’est-ce que The Age of Disclosure, le documentaire qui dévoile des secrets sur les ovnis ? Dan Farah souhaite révéler au grand public des dissimulations vieilles de 80 ans. C’est une question qu’on s’est tous posée au moins une fois : sommes-nous seuls dans l’univers ? Si Dan Farah tente de convaincre dans son documentaire The Age of Disclosure (l’âge de la divulgation) que les ovnis sont bien à prendre au sérieux, il souhaite avant tout éveiller les consciences sur les différentes dissimulations mises en place par le gouvernement des États-Unis.  https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cinema/Qu-est-ce-que-The-Age-of-Disclosure-le-documentaire-qui-devoile-des-secrets-sur-les-ovnis-
    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8217
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Hippolyte ADENOT
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      83.9k
    • Total des messages
      678.8k

×
×
  • Créer...