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Publié le

Qu'il est difficile de faire passer 2 cartes pour une!!! Surtout lorsqu'elle est en main, éloignée du jeu, au centre de l'attention. Il existe le "spin"; faire tourner la "double" plusieurs fois au niveau des coins opposés entre le pouce et le majeur, mais je trouve ca un peu trop "tape à l'oeil".

Il y a aussi une technique que j'ai vu dans les mains de bebel , après une stuart gordon T.O. il laisse la carte pivoter vers le bas et la retourne sur le jeu... Je ne sais pas si quelqu'un voit de quoi je parle ( on voit cette technique dans le dévédé bebel) mais je n'ai jamais trouvé l'explication de cette technique qui est very very effective !!

Si jamais vous avez quelques infos sur des ouvrages évoquant celà ou des idées à partager... merci d'avance.

Bien à vous

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Publié le

Salut Kohkow,

Il existe plein de manières convaincantes de faire passer 2 cartes pour une ! Si tu souhaites en etudier tu peux peut etre trouver ton bonheur dans le DVD : Levees Doubles de Vallarino ;)

Sinon tu peux aussi jeter un oeil à cette vidéo de ma chaine youtube, je pratiques une levee double bien utile est assez simple pour ce sandwich d'eric Jones :)

Elle est vers les 25-30 secs , si tu souhaites en savoir plus sur celle-ci n'hésites pas a me contacter je me ferais une joie de pouvoir te guider vers 2-3 LD faciles d'accès e convaincantes

Magicalement,

Robin.

Publié le

Merci beaucoup pour le lien Apoh, je n'arrive jamais à trouver les sujets adequats :S

Et je me suis peut etre un peu mal exprimé, j'ai aussi mon petit reservoir de LD (j'en utilise surtout 2 ou 3) et j'ai vu le sommaire du dvd de vallarino qui ne correspond pas vraiment à mes attentes. le ishkabible est quant à lui très pratique pour sandwicher mais pour le reste? Ta vidéo est par contre elle très fluide, et j'ai un peu bloqué sur le spin dans la phase one, c'est un très joli mouvement!

Publié le

Oui (Duvivier)

Aussi dans Solo "Amuserie" on retrouve le mouvement Cornelius et après le "flip" de la levé double (assez difficile)

La carte (les) saute(nt) en l'air et retombe au choix sur le paquet ou sur la table

On coince la LD entre le bout du pouce au milieu et le bout de l'index et le majeur dessous en pressant sur le milieu jusqu’à laisser échapper les cartes du pouce, celles-ci sautent en l'air sans se séparer

(il faut bien avoir chassé l'air entre les 2 cartes avant)

et elles font un demi-tour rattrapage sur le paquet, ou alors un tour complet ou plus "us" un tour 1/2 sur la table sans se séparer

Il faut oser, mais c'est très convainquant.

Publié le

" Il y a aussi une technique que j'ai vu dans les mains de bebel , après une stuart gordon T.O. il laisse la carte pivoter vers le bas et la retourne sur le jeu "

Si j'ai bien compris , la carte est tenu par le pouce dessus et l'index et le majeur dessous par la petite tranche inférieur de la carte . Après avoir pivoté la carte est tenu par la petite tranche supérieur puis est posé sur le jeu ?

Si j'ai bien compris tu peut me MP si tu le souhaite ;)

Publié le (modifié)

La fin du retournement de Bebel est très simple (c'est surement pour cela qu'il ne l'explique pas) c'est la base d'une levée double, pour apprendre a retourner la levé double genre BEBEL après le Stuart Gordon tu as dans :

Duvivier - Ecole De La Magie Techniques 07 - Levée Double Et Triple

la technique pour pousser la cartes comme on ferme un livre avec les 3 doigts;

la(les) cartes pivote(nt) sur leur tranche et dans l'angle formé par le paquet et les doigts dessous le paquet (grande tranche)

en les projetants (gentiment) avec les doigts et en ne retournant surtout pas le poignet.

tu ferme un livre, un peu comme si tu poussait la couverture avec tes doigts (vers le haut).

Modifié par claudemage
Publié le
La fin du retournement de Bebel est très simple (c'est surement pour cela qu'il ne l'explique pas) c'est la base d'une levée double, pour apprendre a retourner la levé double genre BEBEL après le Stuart Gordon tu as dans :

Duvivier - Ecole De La Magie Techniques 07 - Levée Double Et Triple

la technique pour pousser la cartes comme on ferme un livre avec les 3 doigts;

la(les) cartes pivote(nt) sur leur tranche et dans l'angle formé par le paquet et les doigts dessous le paquet (grande tranche)

en les projetants (gentiment) avec les doigts et en ne retournant surtout pas le poignet.

tu ferme un livre, un peu comme si tu poussait la couverture avec tes doigts (vers le haut).

On peut aussi, et il faut, pour retourner plusieurs fois la double avec ce mouvement, se servir de la pulpe de la main gauche, cette petite protubérance en dessous du pouce, formée par l'appui de la grande tranche gauche des cartes quand le jeu est tenu en position de la donne.

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    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de Derren BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 :  
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