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Nous connaissons tous ces appareils qui permettent de transformer de simple feuille de papier en billet de banque. Plus connu en bon français sous les sobriquets de « money maker » ou « Money printer ».

[img:center] http://www.martinsmagic.com/ama/med/denver-mint-money-maker-3.jpg[/img] [img:center]http://i.ebayimg.com/t/Steampunk-Magical-Money-Maker-Print-Machine-Motorized-/00/$(KGrHqF,!g8E45m-Ez2SBORq53M!,!~~0_3.JPG[/img]

Mais saviez vous que dans les année 20-30, Victor Lutsig, de son état, manipulateur, Arnaqueur, après avoir vendu deux fois la Tour Effel a arnaqué plusieurs pigeons avec une boite roumaine sensée dupliquer grâce à un procédé chimique les billets de 1000 dollars.

[img:center]http://www.victig.com/wp-content/uploads/2010/12/victorlustig.jpg[/img]

Cette boite, lourde que l’on ne pouvait ouvrir pour des raisons de sécurité liées à l’utilisation de produits chimique, était ornée de boutons, percée d’une fente d’un coté et de deux de l’autre.

[img:center]http://media.weirdworm.com/img/life/how-to-sell-the-eiffel-tower/eiffel-tower02.jpg[/img]

Victor Lutsig introduisait, grâce à un mécanisme de courroie, une feuille blanche dans la fente unique et demandait au pigeon d’attendre 6 heures que la chimie opère.

6 Heures plus tard, Victor Lutsig actionnait la boite et deux billets strictement identiques sortaient par les 2 fentes.

Muni de ses deux billets le pigeons se rendait dans une banque pour faire contrôler les billets et fort de la certitude que cette boite était prodigieuse et pourrait lui apporter plus de gains, l’ami le pigeon déboursait la modique somme de 10 000 dollars qui de toutes façons serait amortie au bout de 61 heures !

Aujourd’hui nous connaissons ce type de boite à fentes sous le nom de photocopieuses ou de péripatéticiennes.

Frédéric

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Publié le (modifié)
a arnaqué plusieurs pigeons

PingHouin ne se serait jamais laissé avoir!!!

PingHouin est l'étoile qui a guidé Victor Lutsig !

Une autre anecdote au sujet de Victor Lutsig. Il a aussi arnaqué Caponne sans que celui-ci s'en rende compte. Le plus drôle c'est qu'une fois emprisonné (1935), Lutsig était sous la protection de celui là même qu'il avait arnaqué quelques années auparavant.

Gloire à PingHouin

Modifié par Frédéric Ferrer
Publié le

Merci pour ce morceau d'histoire.

J'avais fait des recherches sur la MMM, ses origines, son évolution, les routines.

Ceci constitue un complément des plus intéressant.

Publié le
Merci pour ce morceau d'histoire.

J'avais fait des recherches sur la MMM, ses origines, son évolution, les routines.

Ceci constitue un complément des plus intéressant.

Amusant lorsque l'on se prénomme Bill !

Je serai très heureux et intéressé de pouvoir lire le fruit de vos recherches.

Frédréic

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    • Toujours disponible! Baisse de prix: 40 € fdpi Bonne journée!  
    • Hello Minh J’adore le choro. Mais si j’ai relayé une reprise de Tico-Tico c’est surtout parce qu’il s’agissait d’une interprétation à quatre mains… sur une seule guitare. L’idée de ce sujet dans VM est de montrer des propositions musicales décalées, des musiciens hors norme, des instruments peu communs… Il ne s’agit pas de présenter les musiciens ou les morceaux qu’on aime ou qu’on préfère (sinon il y aurait évidemment beaucoup de musiques brésiliennes et notamment celles de guitaristes comme Baden Powell et Antônio Carlos Jobim) : ici on fait dans le bizarre ! 😀 Justement il existe un morceau magnifique interprété par ses deux géants, dont au moins l’intro colle avec le sujet :   L’idée « originale » est de reproduire en partie le timbre du berimbau avec une guitare, et son esprit :  https://fr.wikipedia.org/wiki/Berimbau Mais ChatGPT est plus explicite encore, citation :    « La chanson “Berimbau” (Baden Powell & Vinicius de Moraes, 1962) porte ce titre parce que tout le morceau est construit comme un hommage direct au berimbau, à sa fonction dans la capoeira et à ce qu’il symbolise culturellement. Mais ce n’est pas seulement parce que c’est un « nom d’instrument » : il y a trois raisons principales. 🎵 1. Imiter le jeu du berimbau à la guitare L’un des objectifs musicaux de Baden Powell était effectivement de transposer le rôle rythmique et hypnotique du berimbau sur une guitare classique. Il imite la pulsation ostinato du berimbau. Il reproduit l’alternance grave / claqué, typique de l’instrument. Il crée une texture quasi « monocorde », comme le berimbau qui n’a qu’une corde. 👉 Le motif de guitare de “Berimbau” est pensé comme une traduction guitare du jeu du capoeiriste. Baden Powell a expliqué dans plusieurs entretiens qu’il voulait que la guitare soit capable de « jouer comme un berimbau », même si elle ne peut évidemment pas imiter son timbre exact. 🥋 2. Le texte de Vinicius de Moraes célèbre la philosophie du berimbau Vinicius ne parle pas seulement de l’instrument : il décrit la loi du berimbau, c’est-à-dire le code moral de la capoeira. Les paroles énoncent une série de maximes : « Quem é homem de bem, não trai » « Berimbau me chamou » « É melhor ser humilde com os humildes » Ce sont des préceptes traditionnels qui renvoient à la sagesse populaire des maîtres de capoeira. Ainsi, l’instrument est un symbole culturel, presque un “guide moral”, pas seulement un effet sonore. 🇧🇷 3. Le berimbau comme emblème afro-brésilien Dans les années 1960, Baden Powell et Vinicius de Moraes cherchaient à intégrer des éléments des cultures afro-brésiliennes dans leurs œuvres : Candomblé Capoeira Rythmes africains Sambas de roda Le berimbau est emblématique de cette identité. En nommant la chanson ainsi, ils revendiquent son ancrage afro-brésilien et lui donnent une place centrale dans leur projet musical (ce qui culminera plus tard avec Os Afro-sambas). 📌 En résumé La chanson s’appelle Berimbau parce que : La guitare imite le jeu rythmique du berimbau (objectif musical). Les paroles décrivent la philosophie de la capoeira et les “lois” du berimbau (objectif poétique et culturel). Baden Powell et Vinicius voulaient célébrer les racines afro-brésiliennes dans une forme accessible et populaire. » Donc, ta remarque est très juste : il y a bien une intention de retrouver l’esprit (pas le timbre exact) du berimbau à la guitare, mais ce n’est qu’un aspect d’un hommage plus large à sa symbolique. »
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