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[Matos] Le jeu Ultimate - Le jeu marqué nouvelle génération


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bonjour,

J'utilise le UMD depuis pas mal de temps , lorsque je n'ai pas eu le temps de monter un chapelet ou alors en roue de secours !!

je pratique essentiellement des tours de mémoire prodigieuse avec ce jeu....

je l'ai toujours en poche de veste au cas où , prêt pour un petit change rapide....

Je le fait en fait de presta aux tables et personne ne me l'a examiné

minutieusement !!!

après 10 mn de tours , si vous avez été bon , les gens se laissent porter par votre personnalité et "vos dons de magicien" d'autant que vous venez de le leur prouver , ils ne vont pas examiner votre jeu à la loupe , en tour cas ça ne m'est jamais arrivé!!!!

carpe diem

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Hello,

Je me permet d'apporter ma contribution ayant l'Ultimate et le B.WILD.

Je crois que ce sont les deux meilleurs jeux marqués.

Il est bien d'avoir les deux en fonction des routines...

Le marquage de l'ultimate est le plus difficile à déceler et c'est lui que j'utilise le plus souvent.

Le marquage du B.WILD est plus évident à détecter, mais offre la possibilité de retrouver une carte précise très rapidement dans le ruban c'est à mon avis ce qui en fait son seul avantage ...

Bien à vous.

Pierre-Yves

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Ca fait depuis sa sortie que j'utilise l'ultimate, et personne n'a jamais cherché à l'examiner, pour une bonne raison : je fais mélanger le jeu par le spectateur lui-même. Si donc on le lui laisse entre ses mains, pourquoi aurait-il besoin d'examiner les cartes ?

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

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Je me rappelle avoir laissé l'ultimate entre les mains d'un spectateur qui voulait examiner mes cartes car pour lui les cartes ne pouvaient être que truquées. J'ai commencé à bluffer en lui disant de bien vérifier le jeu s'il voyait une marque quelconque. Eh bien il a regardé les cartes attentivement sans s'apercevoir de rien! (c'était un informaticien qui cherchait la moindre faille dans le jeu: il a verifié que le jeu n'était pas biseauté également)

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Le Prism Deck est un jeu Raimbow deck, donc à la base toutes les cartes sont différentes et chaque dos correspond à une carte.

On peut donc facilement imaginer que la magicien connais chaque association motif de dos - carte et le marquage perd de son intérêt (à mon sens).

Ca pourrait être vrai, sauf que ça dépend de comment vous l'utilisez et en plus cela apporte d'autre possibilités: ça en fait un jeu doublement marqué!

Du très très bon matos en effet...

Zappy (les gens vont finir par penser que j'ai des actions chez Card Shark...)

PAS DE PANIQUE!

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    • Bonjour  Voilà un article du figaro sur le sujet  Bonne journée  Philippe  https://www.lefigaro.fr/culture/le-magicien-etait-une-femme-trente-ans-apres-le-magic-circle-rehabilite-une-travestie-20250424
    • « Si vous voulez… »   Dear Jean, « Si vous voulez… », suivi d’une pause dramatique Slydinienne, puis d’une vérité plus ou moins assassine, c’était votre phrase récurrente, votre tic verbal. C’était le signe de ralliement, le début des hostilités, l’entrée dans la Merlinosphère. « Si vous voulez », c’était comme le « Say Please » de Goshman, le « It can’t be done any slower » de René Lavand,  le « Watch! » de Richiardi. Dès que le premier « si vous voulez » fusait, ça ne rigolait plus et il fallait se préparer à la suite.  Si vous voulez…  Ben oui Jean, on voulait bien. On voulait bien venir chez vous pour la bonne bouffe, l’apéro à la carte et le menu confectionné sur mesure, par vos soins : les mêmes mises en pages, les mêmes polices de caractère que Mad Magic, mais un numéro spécial rien que pour vos invités ! On repartait gonflés d’importance, une relique entre les mains et des idées plein la tête.   On voulait bien venir pour une anecdote « c’était mieux avant », ou savoir s’ « il était gentil Slydini ?». Et puis, au cours de la soirée, cueillis comme les spectateurs qui ne voyaient pas la boulette partir, on découvrait que c’était vous qui posiez le plus de questions. Le passé restait à sa place et vous partagiez le dernier spectacle vu à Londres, le futur voyage planifié  avec votre bénite Patricia, ou votre enthousiasme pour le miraculeux Yann Frisch, grâce à qui c’est mieux maintenant aussi.   Ben oui Jean, on voulait bien.    On voulait bien venir chez vous avec la timide intention de vous acheter tel ou tel ancien numéro de Mad Magic ou autre livre. En serrant un peu les fesses, parce qu’avec vous, on ne rigolait pas avec le pognon. Un sou est un sou, voire deux, en comptabilité Merlin. Et puis on ressortait toujours content : d’abord, vous vous êtes sans doute fait arnaquer sur tous vos livres, ils valent chacun trois fois leur prix. Ensuite, parce que votre sens de l’accueil et de la fidélité sont toujours restés hors-commerce.    Ben oui Jean, on voulait bien.    On voulait bien être littéralement convoqué  (car il n’y a pas d’autre mot) chez vous, après votre visionnage de « In & Of Itself » de Derek DelGaudio. « Et je vous préviens, il n’y aura pas de vin car j’ai des questions précises à vous poser et je souhaite rester concentré ». Nous sommes restés concentrés, les questions ont été posées, et puis il y a quand même eu un peu de vin après.    On voulait bien se rappeler, au fil des visites, que derrière « Tonton Merlin », ultra-organisé et un brin cabotin, se cachait l’hypersensible Jean. Il fallait le mériter, celui-là. Une routine en plusieurs phases. Ce Jean-là, c’était l’artiste à fleur de peau. Il ne parlait plus de la meilleure façon de négocier son cachet ou ranger ses ballons, mais de spectacles passés et à venir, du métier d’artiste et de sa finalité sur Terre. Son œil scintillait à l’évocation du music-hall. Il s’embuait parfois aussi.    Ben oui, dear Jean, on voulait bien.   Et on aurait bien voulu encore un peu plus longtemps.     Sébastien Clergue 
    • Le livre sur le pouvoir de la narration magique (que je lis actuellement) offre un certain nombre de méthodes, considérations, exemples qui rentrent effectivement dans le storytelling.  Je suggère à celui qui serait intéressé le livre de Nancy Duarte "Vibrations" : (Vibrations: Transformez vos présentations en histoires visuelles pour captiver et conquérir votre auditoire : Les secrets des plus grands orateurs).  Un ouvrage très agréable à lire, très illustré et apportant de nombreuses illustrations de ce storytelling (avec chaque fois une analyse de la structure) : discours de Reagan après le drame de Challenger, Steve Jobs, Martin Luther King, une conf de Richard Feynman sur la physique,... On y parle de "présentations" en tressant le parallèle avec la dynamique de la musique : le rythme, les moments forts, les règles à respecter... des analyses qui sont parfaitement cohérentes  avec le livre ci-dessus. Notre approche du "Story telling" doit s'inspirer de multiples sources (pas nécessairement magiques) car l'art et la "manière de raconter une histoire" est en définitive universel et s'applique à toutes sortes de circonstances.  Le livre Scripting Magic de Peter Mc Cabe (Vanishing Inc.) m'est aussi d'une grande aide : beaucoup d'exemples appliqués à la magie avec le détail du discours associé et l'explication de la plupart des tours. Excellent !   
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