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Bonjour à tous. Etant néophyte en la matière, je vais sans doute poser une question qui va vous paraitre ridicule. Pour sonoriser mon numéro, j'envisage de faire appel à un compositeur afin qu'il me créé de la musique "sur mesure" en fonction de ce que je souhaite (plutôt style musique "synthétique" du style Jean Michel JARRE, VANGELLIS, Tangerine Dream, SPACE ART, etc... ). Je voudrais savoir, du fait que je vais payer ce compositeur pour effectuer ce travail, est-ce qu'ensuite je devrait lui payer des droits d'auteur à chaque fois que la musique sera utilisée en spectacle (ce qui somme toute me paraitrait assez normal) ? D'autre part, quelqu'un peut il me donner un ordre d'idée du prix que coûte la composition d'une musique (bien sûr vous allez me dire ça dépend si c'est Jean Michel JARRE qui te la compose ou un illustre inconnu) mais ce serait quand même pour avoir un ordre d'idée car je n'ai absolument aucune notion en la matière. Enfin dernière question : Où trouver un compositeur (même amateur) susceptible de me composer un morceau ? Si certains d'entre vous composent ou connaissent un compositeur susceptible de le faire, merci de me contacter dans ma boîte courriel [email protected]. MERCI D'AVANCE pour vos réponses et votre aide.

NIRAG

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à mon avis ce n'est pas toi qui va payer les droits mais l'organisateur qui va t'engager et déclarer à la sacem les musqiues que tu auras indiqué sur l'imprimé des déclarations.

Publié le
à mon avis ce n'est pas toi qui va payer les droits mais l'organisateur qui va t'engager et déclarer à la sacem les musqiues que tu auras indiqué sur l'imprimé des déclarations.

Oui tout à fait Jean Pierre et autant pour moi. Ce que je voulais dire, c'est que même si j'ai commandé et payé cette musique "exclusive" l'organisateur devra payer des droits dessus lors du spectacle ?

NIRAG

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Etant photographe je suis confronté au même problème mais quand une personne me demande une photo dans un cadre pro il faut lui faire payer les droits d'utilisations et remplir un contrat qui stipule dans quelles conditions cette personne peut utiliser cette photo sinon il doit me demander une autorisation s'il veut changer d'utilisation.

Et bien évidemment il s'en sert autant qu'il le souhaite.

Et ici tu peux faire pareil il te fait un contrat stipulant dans quels cadres tu peux t'en servir mais tu lui payes une fois en fait.

Publié le (modifié)

Si cette personne n'a pas déclaré sa musique à la sacem tu ne payes rien.

Exemple j'ai une amie chanteuse qui a composé sa chanson et sa musique mais qui pour l'instant n'est pas encore déclarée car pas assez connue.

Mais si je veux l'utiliser je peux lui payer pour un spectacle et c'est tout .

Je ne suis peut être pas trop clair là!!

Modifié par titounbe
Publié le

Alors voilà :

A partir du moment où un auteur compositeur est déclaré à la SACEM, toute création utilisée est redevable de la SACEM.

La SACEM s'occupe des créations d'un artiste qu'elles soient déposées ou non.

J'ai fait composé et écrire les chansons de mon spectacle et, même avant qu'elles soient déposées, j'ai dû payer les droits, car la SACEM défend la propriété des artistes inscrits chez eux.

Pour être inscrit à la SACEM, il faut au moins 5 compositions ou créations, enregistrées et déposées. Rien à voir avec le fait d'être connu.

Ensuite on est inscrit comme auteur, compositeur ou arrangeur, ou un mix de tout cela.

Pour les interprètes, c'est l'ADAMI et pour les textes, la SACD.

Bref, même si ton compositeur te donne des droits en tant qu'interprète exclusif par exemple, tu lui seras toujours redevable de droits SACEM.

Même si Céline Dion a vendu des millions d'album, les droits d'auteur et de compositeur sont reversés aux ayants droits.

Ensuite c'est à toi de gérer pour tes contrats, majoritairement c'est l'employeur qui gère les droits SACEM et toi qui lui fournit l'imprimé avec les morceaux.

J'espère avoir répondu correctement à tes attentes.

François Martinez qui dit "Prenez Garde au Marty Niais"

Publié le

Tout à fait Danilsen.

Titounbe, tant que tu n'es pas inscrit à la SACEM, donc que tu n'as pas déposé tes 5 morceaux minimum, elle ne gère rien de ton activité, donc si quelqu'un joue, interprète ou diffuse tes morceaux, rien n'est à payer. (moi par exemple je ne suis que co-auteur d'un seul titre et je ne peux en rien m'inscrire)

Cela reste entre le créateur et l'exploitant de l'oeuvre de voir les accords passés.

Mais dès que tu es inscrit SACEM, toutes tes oeuvres passées, présentes et futures sont soumises aux droits SACEM.

François Martinez qui dit "Prenez Garde au Marty Niais"

Publié le

Euh... Marty...une 'tite précision : normalement, sauf erreur de ma part, chaque oeuvre doit être déposée, incluant un bulletin de déclaration et les 8 premières mesures, pour pouvoir être protégée.

La Sacem a partir de là gère les droits d'auteurs sur ces oeuvres.

Une fois inscrit à la SACEM, le compositeur s'engage à déposer l'ensemble de ses créations futures à la SACEM.

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

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    • Article prévu pour la Presse Française :  Double champion du monde ? Pourquoi Dani Lary a été privé d’une reconnaissance historique à la FISM    Chapeau : Ovationné pendant plus de deux minutes par 2 000 spectateurs à Turin, Dani Lary a livré un numéro d’une pureté rare lors du Championnat du monde de magie 2025. Pourtant, l’illusionniste français n’a pas été primé : la rigidité du règlement et des contraintes administratives l’ont privé d’une reconnaissance officielle, posant la question du rôle de la FISM et de son équilibre entre exigence et souplesse.   1. La FISM, vitrine mondiale de la magie La Fédération Internationale des Sociétés Magiques (FISM) est depuis plus de soixante-dix ans le rendez-vous incontournable des magiciens du monde entier. Véritables "Jeux Olympiques de la magie", ses championnats visent à célébrer l’excellence et la diversité artistique dans toutes les disciplines : close-up, manipulation, grandes illusions… L’édition 2025, organisée à Turin, a une fois de plus rassemblé des centaines d’artistes venus des quatre coins du monde, confirmant le prestige de l’événement.   2. L’exemple Dani Lary : quand la règle prime sur l’art Cette édition restera toutefois marquée par la controverse autour de la participation de Dani Lary, figure emblématique de la magie française. Dès son arrivée sur scène, l’artiste a déclenché une vague d’applaudissements et d’engouement de la part des 2 000 spectateurs présents dans la salle. Son numéro, Gloop, centré autour d’un aquarium, a été couronné d’une standing ovation de plus de deux minutes, au point que l’animateur a dû réclamer le silence avec difficulté pour introduire le passage suivant. La volonté de Dani Lary était de rester dans la pureté du numéro, débarrassé de tout artifice superflu, en assumant un minimalisme rare dans les grandes illusions. Ce choix, salué par le public, a pourtant été pénalisé par le règlement, qui considère qu’un seul "effet" ne suffit pas à concourir. « Ce numéro d’escapologie que j’ai présenté en hommage au célèbre magicien Harry Houdini, le Gloop, est à ce jour toujours incompris de tous les magiciens. C’est unique au monde. Jamais personne ne l’avait fait : c’est du 100 % invention, du 100 % créatif et novateur. Rien que pour ça, ils auraient dû se dire : “ce numéro fait avancer la magie à un haut niveau” », confie Dani Lary. Malgré l’innovation reconnue de son numéro, le règlement a prévalu : Dani Lary a été considéré comme n’ayant présenté qu’un seul effet et a perdu de précieux points.   3. Une rigidité qui interroge La FISM doit-elle rester intransigeante pour préserver l’équité ? Si la rigueur administrative garantit des conditions standardisées, elle peut aussi étouffer la créativité. Le cas Dani Lary illustre un déséquilibre potentiel entre prestige institutionnel et ouverture artistique. Gloop n’a jamais été expliqué ni reproduit ; il reposait sur un procédé totalement inédit. « J’ai gardé ce numéro pour le jour d’un congrès mondial parce que je savais que c’était une pépite », explique l’artiste, qui refuse encore de le vendre à d’autres magiciens tant il le juge unique. Dani Lary estime que ces inventions véritablement nouvelles devraient être davantage valorisées. « Ce sont ces numéros-là qui font avancer la magie », insiste-t-il.   📣 Encadré : “Un moment suspendu dans la salle” « Dès qu’il est apparu, on a senti une énergie incroyable. Les spectateurs se sont levés presque instinctivement et ont applaudi sans discontinuer pendant plus de deux minutes. L’animateur a eu toutes les peines du monde à calmer la salle pour enchaîner », raconte un membre de la communauté magique sur le forum Virtualmagie. Ce témoignage reflète l’intensité de l’émotion vécue dans la salle : un numéro salué par un public conquis.   4. Peu de précédents documentés À ce jour, aucun autre cas comparable — où un artiste majeur aurait été pénalisé pour quelques heures de retard ou pour un numéro jugé "trop minimaliste" — n’a été largement documenté. Ce cas reste donc isolé, mais soulève une question essentielle : certaines règles ne limitent-elles pas inutilement l’innovation et l’émotion scénique ?   5. Vers un équilibre à trouver Pour rester fidèle à sa mission, la FISM gagnerait à : Introduire une marge de tolérance sur les délais administratifs ; Valoriser la diversité expressive, y compris les styles minimalistes et novateurs ; Renforcer le soutien logistique auprès des artistes, quelle que soit leur renommée.   6. Conclusion Le prestige de la FISM repose sur un juste équilibre entre excellence artistique et rigueur organisationnelle. L’affaire Dani Lary rappelle que la magie est d’abord un art de l’émotion et de l’innovation. Le Gloop, salué par 2 000 spectateurs debout à Turin, a démontré qu’un seul numéro peut marquer durablement les esprits. Pour préserver sa crédibilité, la FISM doit évoluer vers davantage de tolérance et accompagner pleinement les artistes, au lieu de les freiner.
    • Coucou Comme je reçois pas mal de questions sur les conférenciers qui sont passés à la maison, je vous fais un point ici. Alors voilà où on en est :  🎬 Paul ROMHANY : montage 100% fini, je peaufine juste le son côté français pour que ce soit top qualité. t surprise, y’a encore plus de bonus que prévu ! 😍 (gros plans inédits, astuce finale pour la production des bouteilles, gabarits cartes de visite Time Warp Cards, sa routine Out Lunch, et même le gabarit des enveloppes qu’il nous a montrées…) Bref, du lourd. Je vise une mise en ligne d’ici 10 jours. 🚀 🎥 Jay Scott BERRY : montage lancé hier soir. Tout s’est super bien passé, côté technique et magie. En plus, 40 minutes de gros plans en bonus ! Je devrais vous la proposer d’ici fin août. 🙌 🕰️ @Vincent ANCEAUME (Vinz) et son pickpocket : ce sera pour septembre. La semaine prochaine, je m’octroie une semaine au vert, sans distraction, montage intensif dans la voiture de chouchou (avec un grand écran dans le coffre, oui oui 😅). J’espère boucler un max, peut-être même les 3 confs… rêve, rêve ! 😉 🎉 En attendant, si vous l’avez loupé, lundi dernier je vous ai proposé un super bon plan sur le livre Smart Bastards 1 (30+ tours, 200 pages) avec en cadeau un tour génial de @Thibault TERNON : Constellations. Ça part vite, alors foncez ! 👉 https://www.virtualmagie.com/boutique/livres-de-magie-papier/smart-bastards-1 😎 Lundi prochain, c’est l’ami @Grégory EGGERMONT qui animera l’After Underground #34. Préparez vos tours préférés et envoyez-lui un MP pour qu’il les ajoute au programme ! À très vite pour du lourd ! 🎩✨
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