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Hello les Amis,

Je suis à la recherche d'une vidéo d'un artiste qui était passé au Plus Grand Cabaret du Monde pour présenter un matrix au sol.

Dans mes souvenirs il était assis en tailleur et portait un chapeau.

Par avance merci ;)

DRACO

Born to be Funny!

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Publié le
Avez-vous regardé la vidéo de son flying ??

Yess !

Et son numéro de manip de balles est également magnifique (mais bon c'est un peu particulier, tout le monde d'adherera pas !)

J'ai découvert cet artiste il y a un peu plus d'un an et j'aime beaucoup son univers.

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

  • 3 weeks plus tard...
Publié le

Un magicien très créatif, avec un univers très personnel...

Et qui s'est fait siffler à la FISM avec son numéro de manip' "skin" où il est presque entièrement nu sur scène.

Beaucoup de magiciens sont quand même très fermé d'un point de vu artistique...

Tous les arts ont exploré le nu, l'érotisme, la pornographie, domaines qui ne sont abordé que de façon exceptionnelle par les magiciens.

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

Publié le (modifié)
Tous les arts ont exploré le nu, l'érotisme, la pornographie, domaines qui ne sont abordé que de façon exceptionnelle par les magiciens.

Dans la vidéo postée je ne vois aucune exploration du nu, de l'érotisme ou de la pornographie.

Je vois juste une personne en slip qui fait des boules excelsior.

Le fait de faire les boules excelsior en slip apporte t'il un plus pour le spectateur ou l'effet magique?

Ici je ne pense pas. Il rajoute une contrainte mais cela se ressent sur la gestuelle.

Si rajouter des contraintes à comme seul intérêt de vouloir les surmonter, autant ne pas rajouter de contraintes.

Le travail d'Ursula Martinez est beaucoup plus intéressant car la nudité n'est pas qu'un prétexte. Elle sert l'impossibilité de l'effet même si le traitement se fait sous l'angle humoristique.

Donc la question, me semble t'il, n'est pas de savoir si les magiciens sont réacs ou fermés, la question est de savoir si la nudité sert le propos magique et si l'artiste a choisi en la magie le bon média pour aborder l'érotisme ou la pornographie.

Modifié par dub

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    • ChatGPT : Les études historiques et techniques disponibles révèlent bien des retouches et interventions humaines, mais elles laissent le cœur de l’image (visage, mains, robe, manteau) dans une zone largement inexpliquée techniquement, sans consensus scientifique pour en faire une peinture ordinaire. 1) Support et conservation : une longévité qui reste anormalement remarquable      Pendant des siècles, la tilma a été exposée sans protection moderne : fumée de milliers de cierges, humidité, poussière, manipulations directes des pèlerins ; malgré cela, la partie centrale de l’image reste étonnamment fraîche, sans craquelures, alors que les ajouts (dorures, lune, etc.) se sont nettement détériorés.      Les restaurations et le verre blindé du XXᵉ siècle expliquent la bonne conservation récente, pas la survie initiale dans des conditions normalement destructrices. 2) Retouches et ajouts : oui… mais précisément où ?      Les documents historiques, les restaurateurs modernes et les examens IR convergent sur un point : il y a eu des retouches humaines (couronne, lune, angelot, certains rayons, dorures), ces éléments montrent des craquelures, des écaillages, un vieillissement normal, alors que le noyau de l’image (visage, mains, tunique, manteau) ne présente ni craquelure typique, ni pelade de peinture, ni vernis protecteur.      Les retouches démentent l’idée d’une image jamais touchée, mais elles soulignent aussi une différence de nature entre : ce qui est manifestement humain et fragile, et le cœur de l’image qui reste anormalement stable et techniquement singulier. 3) Pigments et technique : un dossier loin d’être “pro-peinture ordinaire”      L’étude infrarouge de Callahan et Smith (1979–1981), largement citée, aboutit à cette conclusion pour le motif central : aucun sous-dessin, aucune couche d’apprêt (sizing), aucun vernis, la trame même du tissu utilisée pour donner la profondeur, luminosité et stabilité de couleurs jugées “inexplicables” par les techniques artistiques connues.  4) Reflets dans les yeux : ni preuve de miracle, ni argument “anti-miracle”      Scientifiquement, on peut dire : ces “reflets” sont trop discutés et trop dépendants du traitement d’image pour fonder une preuve solide, mais cela ne devient pas pour autant une “preuve” contre le caractère exceptionnel de l’image : c’est juste une zone d’arguments faibles dans les deux sens. 5) Histoire et iconographie : le “peintre Marcos” ne clôt rien      Oui, certains textes plus tardifs (XVIIᵉ–XVIIIᵉ s.) évoquent un peintre nommé “Marcos” ou “Marcial” et servent de base à l’hypothèse d’une fabrication humaine. Mais : ces sources apparaissent dans un contexte de polémiques internes (conflits entre ordres religieux, débats sur la piété populaire), et on n’a aucun document direct de commande, de paiement, de contrat, ni d’atelier associé à ce prétendu peintre.      A l’inverse, il existe des sources nahuatl anciennes (comme le Codex Escalada, daté du XVIᵉ siècle) et une tradition indigène qui présentent l’image dès le départ comme liée à un événement miraculeux et à une dévotion massive. Conclusion en mode très simple      La science pointe plutôt vers ‘non miraculeux’ et ne trouve rien de vraiment inexplicable. Une lecture plus équilibrée des mêmes données dit plutôt : Il y a des retouches humaines évidentes, mais le cœur de l’image et la conservation du support restent objectivement déroutants, et les études sont trop partielles et contradictoires pour qu’on conclue sereinement ‘tout est banal’.      Au final, ce n’est pas la science qui “désacralise” Guadalupe. La science dit surtout : “cet objet est très inhabituel, nous ne comprenons pas tout.
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