Aller au contenu
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !

Recommended Posts

Publié le
Le 17/07/2010 à 03:02, Christian GIRARD a dit :

J’avais déjà posté cette vidéo de l’incroyable Stanley Jordan interprétant Les Feuilles mortes sur deux guitares en même temps :

[video:youtube]http://www.youtube.com/watch?v=lQZY87PDsnQ

Voici du Steve Reich, Piano Phase, joué par Peter Aidu :

[video:youtube]

 

Pour ceux qui connaissent le travail de ce compositeur, voici la "traduction" que j'ai faite d'une blague trouvée sur le Net et que j'ai bien aimée (mais je comprendrais qu'elle vous laisse de glace) :

« Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Toc toc !

– Qui est là ?

– Philip Glass. »

  Masquer le contenu

Philip Glass et Steve Reich sont des figures de proue de la musique répétitive.

 

Stanley Jordan, toujours plus loin, il joue de la guitare et du piano en même temps :

 

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le (modifié)

Quelques œuvres de Christian Girard, Jean-Sébastien Bach et une IA de Google.

Cliquez, patientez quelques secondes, appuyez sur le bouton "lecture" et écoutez :

https://g.co/doodle/py9uve

https://g.co/doodle/qzmtrs

Plus "moderne" :

https://g.co/doodle/36he5b

https://g.co/doodle/vhbcha

https://g.co/doodle/zy7y8v

https://g.co/doodle/6ad36y

Ensuite, à vous de composer à votre tour... C'est très marrant. 

 

 

 

Modifié par Christian GIRARD
Publié le

 

La LENVERS, la guitare inversée !

lenvers-lahoun-s-ergonomic-guitar.jpg?it

Citation

 

Venez découvrir une guitare révolutionnaire, conçue "cul par-dessus tête"

La LENVERS est une guitare originale conçue et réalisée par Hervé Lahoun, luthier présent à Musicora cette année. Une guitare à l'envers. Pas pour le plaisir de se singulariser.

Elle est le fruit d'un long cheminement sur le "comment de la forme" débuté en 1997, longue reflexion sur l'ergonomie de la guitare visant avant tout à supprimer le repose pied qui engendre une bascule dissymétrique du bassin... et donc une crispation, souvent des douleurs importantes.

Inverser le manche, pour pouvoir jouer indifféremment sur la cuisse gauche ou sur la cuisse droite, sans repose-pied ni accessoire... L'idée était lancée !

La main droite n'étant plus devant la bouche, la projection de l'instrument est remarquable. Et bien évidemment, l'accès aux aigus est incomparable : 25 cases hors caisse, il reste à écrire des pièces usant de cette possibilité...

Gag ou non, venez découvrir cet instrument unique présenté par Hervé Lahoun tous les jours dans l'Atrium de Musicora !

 

 

Source https://www.musicora.com/fr/lenvers-la-guitare-inversée

 

  • J'aime 2
Publié le

Sympa ce clin d’œil à Man Ray.

image.png.aeb7b21a33fa5f63a2c4a6ec3ae5013e.png

 "Le Violon D'Ingres" de Man Ray,  Kiki de Montparnasse, en savoir plus ici 

 http://girldontcome.canalblog.com/archives/2012/09/16/25115573.html

 

***

Je viens de tomber sur cette vidéo de Merle Travis interprétant un morceau (avec son fils Thom Bresh) que je fais parfois travailler à certains élèves d'un niveau avancé, "Cannonbla Rag", regardez ce qui se passe entre 2' 22'' et 4' 20'' :

 

 

Publié le (modifié)
Le 29/03/2019 à 12:38, Christian GIRARD a dit :

La LENVERS

Et dans le genre "comment nous la faire à l'envers" :

Citation

Guitariste gaucher, il utilise néanmoins à l'instar du bluesman Albert King une guitare pour droitier, en conservant l'accordage original, les modèles pour gaucher étant trop onéreux. Il joue donc avec les cordes à l'envers, le Mi grave étant placée vers les pieds, et le Mi aiguë vers le menton. Bien qu'il ait adopté par la suite des modèles pour gaucher, Dick Dale a conservé cette disposition inversée, ce qui permet selon lui une attaque des cordes graves encore plus puissante.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dick_Dale

 

"Dick Dale - Surfin the Wedge - Live on TV 1963 Ed Sullivan Show" :

 

 

 

 

 

 

Modifié par Christian GIRARD

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
  • Messages

    • Voici un extrait de la FISM : Le règlement est très vague et de ce fait, on peut arguer que la simple disparition d'un FP dans un foulard aurait compté. Maintenant comme on peut voir plus haut, Dani n'a pas été éliminé. A moins, de discuter avec les juges, il est donc difficile de savoir ce qu'il lui aurait permis d'avoir plus de points.
    • Bonjour, Plus frappant peut-être était surtout l'hommage final à René LAVAND, et ses trois boulettes de mie de pain dans la tasse, exécuté ici à quatre mains...ou plutôt à deux mains sur quatre - Rubi FEREZ étant la main droite et Fernando NADAL la gauche ; et sans récitation de poème non plus mais en musique. Le duo FEREZ-NADAL fonctionne ceci dit à l'opposé de celui de Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ - si je m'en réfère à leurs apparitions dans la série Magia Potagia. *** Pour Pepe CARROLL et Juan TAMARIZ la dramaturgie du numéro se nouait généralement sur une mise en compétition entre eux, se lançant des défis mutuellement, essayant de surpasser l'autre ; ou, parfois, le fantasque et farceur Juan TAMARIZ tendant un "piège" dans le dos de l'élégant et suave  Pepe CARROLL -modifiant par exemple avec un clin d’œil au public l'ordre de certaines cartes, ou mélangeant carrément le paquet à son insu. Mais immanquablement Pepe CARROL retombait sur ses pieds, comme si de rien n'était, l'embuche tendue par J.TAMARIZ effacée par magie... Dans ce dispositif-ci,  l'intérêt est que ce conflit narratif "extérieur" entre les deux magiciens agit à la manière d'une couverture pour leur collusion secrète bien réelle : le mélange de l'un destiné à compliquer la tâche de l'autre - récit apparent- a en réalité bien l'objectif par exemple d’amener secrètement l'arrangement voulu sur le dessus du paquet, arrangement qui permettra justement au second magicien de "briller" en dépit de l’apparente traitrise du mélange du paquet par le premier ( voir l'introduction du classique  "Magic and Showmanship" de H.NELMS pour un autre exemple de  conflit narratif apparent  comme couverture du modus operandi réel de l'effet, par complicité secrète entre les deux adversaires déclarés du récit). *** Le duo FEREZ-NADAL, lui, est soudé pour produire l'effet magique, soudé littéralement bien souvent, épaule contre épaule. La séquence intermédiaire du numéro à une main chacun sur la guitare, et à une main chacun sur la table pour y produire l'effet magique, illustre cette complète coopération. S'il y a bien une dynamique de (léger) conflit entre les deux personnages elle n'est pas sur la table mais sur leurs visages avec deux leitmotiv : les lunettes de Fernando ne cesse de lui glisser sur le bout du nez et c'est Rubi qui les lui remonte en place. Ce simple geste pose les deux personnages : Fernando est le "sérieux" du duo, soucieux des apparences, et Rubi est l’affectueux, le bienveillant. Fernando, par souci des convenances, ne cesse d'arracher un cure-dent d’entre les dents de Rubi, et le cure-dent malicieusement fait perpétuellement sa réapparition dans la bouche de Rubi. Mais aucune provocation de l'un par rapport à l'autre ici, non, c’est juste que Rubi est l'enfantin des deux -et son cure-dent, et bien, il ne peut juste pas s'en empêcher c'est tout. Avec son visage ovale illuminé de son franc sourire, ou même lorsqu'il fait fait son mystérieux - tel un petit enfant qui aurait caché un objet dans sa main et nous lancerait "Devine !"-, Rubi FEREZ a un charisme tel qu'il désamorce instantanément tout bras de fer magicien-public quant au secret : la magie advient, tout simplement. *** À noter qu'il y avait un autre duo en compétition de micro-magie, les suisses Omini et Nico qui ont vendredi matin fait l'ouverture de la 3e et dernière session de la compétition close-up/magie de salon, avec un numéro extrêmement soigné, bien construit, où des balles éponges vertes sont des virus qui se multiplient et infectent un des magiciens : bâtonnets de test dans la narine, thermomètre, masque sanitaire, tous les accessoires employés sont parfaitement justifiés, la progression dramatique comme la maladie passe de l'un à l'autre très claire. Le thème choisi qui ne rappelle  guère de bons souvenirs à quiconque les a-t-il desservi ? Sans doute, mais plus globalement il parait assez net que ce jury était sur une ligne "la magie avant tout", et s'est montré globalement très peu sensible à toute mise en contexte narrative de la magie* du moins c'est comme cela que je le perçois (seul au palmarès Starman et son numéro de dépressif après une rupture amoureuse peut être vu comme une légère exception)  (je m'en vais relire à ce sujet la section de L'Arc en Ciel Magique où J.TAMARIZ analyse longuement le mélange magie et narration). *C'est cette même ligne très arrêtée du jury qui a sans doute, comme pour Omini et Nico, compliqué la tâche aux numéros de Air One, Bertrand MORA et Robin DEVILLE puisque chacun à leur manière assumait des partis pris narratifs justement très marqués, assortis d'un travail sur les personnages et sur le conflit dramatique qui en découle. Je repense à l'excellent "Conspirations" spectacle de mentalisme donné la saison dernière au LUCERNAIRE et qui proposait par sa mise en scène astucieuse, levant et rabaissant virtuellement l'invisible 4e mur au gré des effets, comment une magie fortement théâtralisée est possible. Chauvinisme en passant : au contraire des délégations italienne, allemande, bulgare ou autrichienne (olalala l'Autriche pitié) qui nous ont toutes infligés au moins un numéro irregardable, tous les candidats français en magie de salon et close-up qu'on en ait apprécié ou pas le  résultat final, leur parti-pris artistique, leurs effets magiques, témoignaient d'un travail de mise en scène, sans doute perfectible, mais avec au moins à chaque fois une recherche de quelque chose. On ne pouvait vraiment pas en dire autant donc de bien d'autres pays. *** Ces six jours furent intenses, passionants, et totalement épuisants : épuisants par ces montagnes russes émotionnelles quand on passe d'un numéro où du fond de son siège on se sent en total empathie avec l'artiste, on croiserait presque les doigts pour que le numéro tienne jusqu'au bout, on vibre et on craint, puis l'instant d’après on aimerait se terrer sous son siège tant le numéro proposé tourne à la débandade complète, le numéro s'étire, la confusion embrume les esprits, les applaudissements s'étiolent, la gêne s'installe. Épuisants aussi car intellectuellement c'est une sollicitation constante, chaque choix thématique, choix de mise en scène, de musique, d’accessoires, de chorégraphie, de texte suscitent une foule d'interrogation, d'idées, on imagine des alternatives, on reconnait un principe plus ou moins bien employé, on s'interroge sur un texte,  peu importe qu'on adhère ou pas, c'est un bouillonnement de créativité qui vous lessive, qui parfois frise l’excellence, parfois sombre dans des approximations difficilement recevable côté public, mais qui toujours exige une concentration soutenue s'il on veut analyser à fond chaque numéro- et par analyser j'entends aller au-delà du "oulalala il a flashé" ou des conjectures quant à la méthode employée (après, le 3e jour des session de close-up et magie de scène, vendredi donc 5e jour de la FISM, on ne cachera pas que c'était visiblement et surtout bruyamment 😉 difficile pour beaucoup de suivre encore la compétition tant la fatigue était grande) . Admiration aussi pour ceux, tous ceux, qui s'y collent :  que de mains qui tremblent, que de voix qui déraillent sous le coup de l'émotion, que de gestes techniques qui dérapent sous la pression, mais ils y sont allés quand même, dans l'espoir de créer un moment magique.  Chapeau. L'aspect compétition, délégation des pays, avait été ici même discuté avant la FISM : très franchement ces questions une fois qu'on est dedans s’envolent instantanément, l'ambiance fabuleuse qui se crée autour de la compétition, le plaisir de voir les équipes soutenir avec un chauvinisme bon enfant leurs différents candidats vous emporte-on a souvent la standing ovation facile, mais qu'importe c'est le jeu. Au contraire même l'idée d'avoir des équipes qui soutiennent les artistes dans tous les domaines, créatifs, techniques, et pourquoi pas psychologique - la pression est telle- paraît assez évidemment la voie à poursuivre et amplifier. *** Et zut ... ce matin -après un retour dans la nuit homérique de quelque sept heures depuis TURIN pour PARIS- je me suis surpris à fredonner "Abracadabra"... arghhhhhh Lady GAGA sort de ce corps...  
    • Merci pour cette précision. Je pensais que Dani concourrait uniquement en invention. Il reste dommage que dans la catégorie GI, on exige deux illusions différentes. Pas certain que des effets additionnels de magie générale suffisent avec une seule grande illusion. C’est du moins ce que l’on m’a expliqué à plusieurs reprises, mais peut-être les choses ont-elles changé ( ou mériteraient d’évoluer dans le cas contraire). 
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8217
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Hippolyte ADENOT
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      83.9k
    • Total des messages
      678.8k

×
×
  • Créer...