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Hier début d’après-midi, je somnolais tout en zappant devant la boîte à images quand je suis tombé par hasard sur une redif tronquée de l’émission « C’est mon choix » consacrée à la magie. Je ne sais pas de quand date la première diffusion, mais par ordre d’arrivée en scène : Sébastien Mossière, Dominique Duvivier, Carlos Cardoso et Majax étaient présents sur le plateau. Des magiciens que j’aime bien au demeurant et pour diverses raisons.

Tous étaient au là et c’est de bonne guerre pour promouvoir soit leur actualité, soit leur boutique, soit leurs dernières productions bouquin ou vidéo. Comme c’est la coutume dans ce genre d’émission, ils nous ont tous à tour de rôle présenté un tour. Tous, euh non pas tous, Dominique Duvivier lui a laissé le soin à trois de ses «élèves» (notamment sa fille Alexandra et le premier vendeur de chez Mayette) de réaliser en commun un tour. Jusque-là rien d’anormal.

Puis la présentatrice leurs demande de révéler le secret de leur tour respectif. Et bien vous aller pas me croire, ils ont tous révélé leur truc. Tous, euh non pas tous car Dominique Duvivier a laissé le soin à ses trois «élèves» d’accomplir la tâche.

Dire que l’une (la) des premières règles que l’on apprend lorsque l’on débute en magie est de ne jamais révéler un tour… C’est à ne plus rien comprendre. Questions de génération, d’époque ?

À moins que pour un peu de promo (ou de notoriété) certains soient près à beaucoup de chose.

J’ai donc été très déçu par ces messieurs sauf par Dominique qui lui n’a rien révélé (l’honneur est sauf). Et quand je pense aux débats enflammés qu’avait provoqués l’éventuelle participation du Magicien masqué à la télévision, je me dis que certains magiciens français sont quand même plus us (pardon Alexandra) que les Américains puisqu’ils ne se cachent même pas.

PS : je sais le sujet a déjà été abordé mais pour ma part, je trouve cela toujours aussi choquant, et c'est mon choix.

Amitiés magiques

Kozou

L'illusion de la Vie... la Vie de l'illusion

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Bonjour,

A propos de débinage à la télé, lire la très bonne interview de Tom Mullica dans le numéro de juillet du magazine américain Magic, qui regrette d'avoir "exliqué" le mouchoir coupé à la télé...

Très cordialement,

---

Frantz

Publié le

Je trouve ridicule de remettre sur le tapis ce débat éculé sur le débinage, d'autant que l'émission dont tu parles date de plusieurs mois. Traiter Mossière, Cardoso et précisemment Duvivier (!) de débineurs, je pense que tu marches sur une peau de banane minée... Les magiciens n'ont pas une entière marge de manoeuvre lorsqu'ils se produisent dans une émission télé, c'est un doux euphémisme. Si la production de l'émission (omnipotente) a décrété que celle-ci serait plus intéressante pour leur téléspectateurs si les magiciens expliquaient un tour ou deux, c'est qu'ils avaient de bonnes raisons de le penser. Si les magiciens invités n'avaient pas fait preuve de réalisme, en refusant d'expliquer un tour innofensif, la production aurait choisi d'autres magiciens, ce n'est pas ce qui manque. C'est aussi simple que ça. Les tours expliqués ne portaient vraiment pas à conséquence. L'émission n'a pas causé de tort à l'image de la magie, au contraire. Souviens-toi que l'on a presque tous commencé la magie parce que quelqu'un a "débiné" un tour simple, dans un magazine ou à ta télé. Souviens-toi, c'est Bilis qui explique le comptage Elmsley et Twisting the Aces en grande surface, pas ceux dont tu parles. Et Bilis a créé ainsi des centaines de nouveaux "magiciens".

Décrispons-nous un peu sur ce débat dépassé.

Seb.

[ 14 Juillet 2002: Message édité par : Seb ]

Publié le

De plus, il faut se rappeler que lors de cette emission, il y avait deux phases, la premiere ou un tour tres simple etait realisé, puis expliqué. Puis un autre tour, qui lui n'était pas expliqué.

Je ne sais pas si la rediffusion a tout passé, je ne l'ai pas vu, mais par habitude je sais que les monteurs ont tendance à couper des grosses parties de l'emission original (et donc integrale) pour les rediffusions.

Best Regards

ChoJin

Publié le

Il vaut mieux voir du débinage de petits tours accessibles à tous (et que même les pros ne font pas ou sous d'autres angles...) que des amateurs ou pros exécutent mal leurs tours en public: c'est cela le vrai débinage.

J'ai assister à un spectacle et à la sortie tout le monde savait la lévitation verticale de Yogano au tabouret, les apparitions de cartes et les productions de colombes à vue et d'un foulard et cela est bien plus grave à mon sens!!!

Surtout que le public ne venait pas pour cela et ont même signalé à l'interessé que c'était dommage à ce niveau là!!!!

Et il ne faut pas oublier que tout le monde a commencer et que le commerce regorge de débinage commercial: on achète et on sait!!

Ceci dit ce débat est toujours le même et le monde continu à tourner!!!

Willy

Yep

Publié le

Je vois pas où est le pb, l'émission d'origine, consistait à expliquer des tours sympas à faire pour noël. Donc à priori c'est des tours qui sont comme dit Seb inoffensifs (j'ai prévu le masque à gaz). On ne peut pas parler de débinage ici...

Et comme j'ai vu l'émission il y a un petit temps déjà, je vois pas en quoi il y a un problème.

Notons au passage que Duvivier avait "les gobelets" avec sa fille, un régal.

Et Hop apparition de six mots !

Et hop seulement cinq mots !

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Ok,Ok les gars.

Mais, j'ai simplement voulu exprimer, ce que j'ai vu samedi, ainsi que le sentiment que j'ai ressenti sur le coup.

Minh : Certes ce ne sont que des petits tours (à tes yeux). Et alors, ce sont quand même des tours. Je ne sais plus qui disait : « il n’y a pas de grands ou petits tours à partir du moment qu’il y a magie pour les yeux de ceux qui les regardent »

Willy : D’accord avec toi, le monde continue de tourner !!! Mais il y a une différence entre faire la démarche d’aller dans une boutique ou un club et recevoir tout cuit dans la lucarne.

ChoJin : Il n’y avait samedi dans la redif, uniquement ce que j’ai décrit rien de plus. Mais il est vrai que cela sentait la grosse coupe. Donc je n’ai pu voir l’intégrale de l’émission originale.

Seb : Je n’avais jamais vu cette émission j’a bien compris que c’était une redif mais je ne savais pas de qu’elle datait autant. Mais tu vois Seb enfin de compte et avec le recul, ce qui m’a le plus étonné, c’est que ce soit ces magiciens là et pas d’autres.

Bon maintenant, je me décrispe. Et je remise ma ridicule et inoffensive peau de banane (lol)

C’est clos pour moi.

Amitiés magiques

Kozou

L'illusion de la Vie... la Vie de l'illusion

Publié le

Disons qu'il y a des tours plus ou moins dévoilables (c'est dans ce sens là).

Ya tj quelqu'un pour me dire qu'il y a pas de petits tours, certes certes...

Et Hop apparition de six mots !

Et hop seulement cinq mots !

Publié le

Salut,

effectivement, dans l'emission "originale" il y avait une partie avec tours expliques et une autre faite de demos.

Je te rassure, D.Duvivier sait AUSSI faire de la bonne magie...il l'a prouve ce jour-la en faisant sa routine de gobelets avec Alexandra. Mais cette partie a du etre coupee dans la redif' que tu as vu.

A+

Mat'

Publié le

O scnadale ! O désespoir O viellesse ennemie

N'ai Je...Ah non je m'a gourré !

Kozou je crois tu as pas bine compris le système et le débinage. Aucun des tours expliqués ne dévoilaient de grands secrets ( le mot me fait rire m'enfin)

Cette vulgarisation permet à tout à chacun d'essayer de reproduire des tours en famille. Majax et ses oranges c'est excellent pour un repas de famille non ?

Si tu cris au débinage pour cette émission , alors Majax qui sort son livre en grand public ouhhhhhhh ! Duv qui sort son DVD à la FNAC ouhhhhhhhhhhh Seb Mossiere et sa K7 à la Fnac ouhhhhhhhhhh !

Mais rappelle toi ? qu'est ce qui t'as donné envie de faire de la magie ? qui t'a expliqué tes premiers tours ?

Pour la plus part de ma génération c'est la TV avec les émissions de Majax avec Bloom Hodges et bien d'autres. Le soir même j'essayais de refaire les tours expliqués. Dasn la collection Marabout 50 tours de cartes faciles expliquait des tours de cartes avec des secrets comme le forcage (dingue on peut forcer une carte ?!!!!)

C'est ce bouquin qui m'a fait aller chez Mayette la premiere fois en 1991.Et ce bouquin je l'avais acheter à la librairie au coin de chez moi.

Alors tout ca du débinage ???Kozou tu le dit toi meme : fais une recherche avant , analyse les post de l'epoque ( decembre 2000 si je me rappelle bien deux vendredi de suite pour les premieres diffusions)

Les réactions à chaud ne sont pas toujours les bonnes. Enregistre et regartde plusieurs fois l'émission en te mettant dasn la peau de diverses personnes, prends du recul et je pense que tu auras un sentiment autre. Même si c'est ton choix de penser que c'est du débinage !

Bruno

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    • Derniers souvenirs partagés ici de cette FISM 2025 avec le 1er prix de micro-magie et Grand Prix FISM de Close-Up. *** Et puis le mercredi 16 IBUKI paru en scène, plia son foulard et avec lui la compétition de micro-magie. Ce n’était que la première session sur les trois de la compétition mais il n’y avait guère de doute qu’IBUKI serait au palmarès. La rumeur se répand rapidement comme souvent dans ce type d’événement. Le soir même coincé dans un bus avec la délégation russe qui avait loupé le passage du japonais les voilà qui m’assaillent de questions sur son numéro, car leur propre candidat, Vova, va devoir en découdre avec le magicien japonais. *** Description pour qui veut : IBUKI apparaît debout derrière sa table : sur celle-ci un tapis de close-up relevé à 45° vers le public et où se déroulera l’essentiel de la routine. Mais pas son introduction. Le magicien japonais sanglé dans une large veste de costume (couleur entre pêche et crème, mais pas noir, surtout pas noir), fermée sur le devant par quatre gros boutons, commence par poser alternativement ses mains sur des paires de boutons qui se téléportent magiquement jusqu’à se regrouper tous les quatre dans le coin supérieur gauche (vue du public) de son pan de veste.   Cousus là, tous les quatre.   Restés jusque-là bouche cousue, les premiers glapissements de surprise des spectateurs se font entendre dans la salle. Ce n’est que le début. *** Sur cette introduction : Les trois premiers effets de téléportation se produisent dans un plan vertical, sur la veste même d’IBUKI : il s’assure ainsi de l’excellente visibilité de cet effet de Matrix, effet redoublé d’une impossibilité matérielle : non seulement les boutons voyagent magiquement, mais avec eux leurs coutures aussi (sur cette impossibilité matérielle qui redouble le seul effet de téléportation, on pense par exemple à la Matrix avec des clous plantés dans une planche de Michael WEBER). Le contraste entre la couleur très claire du tissu et les boutons sombres participe de cette parfaite visibilité de l’effet - en plus d’éliminer certaines explications potentielles au tour. Et comme le montrera le reste de sa routine la visibilité des effets a été clairement un des problèmes qu’a eu à résoudre IBUKI.    IBUKI aurait pu faire le choix inverse : démarrer par les boutons regroupés puis les remettre magiquement à leur bonne place ; cela aurait fait sens si la routine avait été contextualisée : IBUKI aurait alors « réparé » magiquement la malfaçon initiale de sa veste. Mais ici pas de contexte, IBUKI préfère nous laisser sur l’image incongrue de cette veste aux boutons drôlement regroupés (d’ailleurs on a pu croiser dans les allées de la FISM IBUKI tout au long de ces six jours avec sa veste et ses drôles de boutons, conscient de cette image emblématique, cette image signature). En plus, en terminant avec les boutons regroupés là où ils ne servent plus à rien, quoi de plus naturel que de les découdre avec un petit ciseau de couturière.   La spectatrice (sans introduction formelle) assise à droite de la table se voit tendre les ciseaux et découd elle-même le 4e et dernier bouton (cette spectatrice jouera un rôle clef dans la suite de la mise en scène).    Enfin cette introduction instaure aussi l’émotion magique du reste de la routine : à savoir la surprise. « Les boutons ont voyagé...mais attendez un peu, surprise, ils sont bel et bien cousus ». D’ailleurs la première surprise de la suite du numéro sera que le « pouvoir » d’IBUKI ne va pas être tant la téléportation que de coudre entre eux magiquement et à volonté toutes sortes d’objets. *** Fin de l’introduction. Un foulard quadrillé est déplié sur le tapis incliné, les quatre boutons tout juste défaits de la veste sont chacun posés à un des quatre angles et à partir de là, et bien disons que plus rien ne va se passer comme prévu. Plutôt que de déflorer la suite de la routine deux remarques.  La visibilité : IBUKI a donc un problème : il va magiquement coudre entre eux des objets préalablement montrés « libres » les uns des autres…mais voilà : des coutures c’est bien peu visible de loin. La mise en scène de la routine pallie cette difficulté majeure de plusieurs façons : o   Quand il le peut IBUKI profite du contraste bien visible de loin du fil de couture blanc magiquement apparu sur certains objets noirs en montrant bien ceux-ci...sous toutes les coutures, avant et arrière. o   IBUKI va à plusieurs reprises basculer ses accessoires du plan incliné du tapis de close-up vers le plan vertical du début. Cela rend palpable les coutures même aux spectateurs les plus éloignés qui font physiquement l’expérience qu’en dépit de la gravité des objets restent désormais inexplicablement fixés, car cousus entre eux. o   À l’appui du mot « cousu » qu’il vient de prononcer, IBUKI mime (et ce mime a une autre raison d’être - voir ci-dessous, les mots) par de larges gestes de sa main droite, en vagues montantes et descendantes, l’acte même de l’aiguille qui coud, communiquant là encore pratiquement physiquement à tous les spectateurs l’expérience du fil qui transperce les objets pour les unir – ce qui renforce encore au passage la totale impossibilité de son effet magique. o   La spectatrice est elle aussi mise à contribution comme témoin-relais de l’ensemble du public : invitée à toucher les coutures, à découdre, à manipuler les boutons libres l’instant d’avant puis soudainement cousus sous sa propre paume ; jusqu’au tout dernier geste d’IBUKI envers cette spectatrice, geste qu’on ne révélera pas ici, mais qui a fait fondre les derniers neurones des spectateurs et du jury.            Obtenir une standing ovation de quelque 2200 spectateurs dans une salle dont il a été suffisamment dit qu’avec son sol plat elle offrait une piètre visibilité, et ce avec quatre boutons et un foulard, prouve combien cette mise en scène est efficace.  Les mots. Pas de dramatisation de l’effet via un contexte, pas de personnage autre d’IBUKI lui-même, un côté gendre idéal un rien timide engoncé dans son costume, posé au début, puis qui s’anime de plus en plus au gré du crescendo des effets. Le texte : réduit au possible ; en fait il va tout entier tourner autour d’un calembour assez sot (si j’ose dire) : les différentes acceptions en anglais du son [soʊ], de « tellement » (so), à « coudre » (saw), en passant par « vu » (saw). Mais ce jeu de mots à première vue bêta contribue à la montée en émotion de toute la routine. Et on l’a dit l’émotion visée est la surprise, aussi chaque séquence se déroule selon : o   Exposition de la situation initiale : les objets sont clairement séparés. o   La magie se produit en douce, sans incantation, ni geste magique. o   IBUKI prononce le son [soʊ] et on découvre stupéfait que l’effet n’est pas nécessairement celui attendu (une téléportation), mais qu’une nouvelle couture est apparue, et jamais là où on l’aurait imaginée. Le son [soʊ] n’a pas la valeur d’un abracadabra (car quand il est prononcé la magie est déjà advenue), mais il en conserve la valeur rythmique de leitmotiv en marquant le début de la phase de révélation de l’état final : dès qu’IBUKI se montre ravi que quelque chose de « so impossible » s’est produit (mime à l’appui de la couture pour souligner le piètre calembour so/saw) on frémit : on n’a rien vu et pourtant une nouvelle couture a surgi là où on ne l’attendait pas. La tension entre la naïveté assumée du jeu de mot qui nous nargue d’une part, et notre totale incompréhension du « truc » d’autre part, décuple alors l’émotion magique ressentie. *** Un dernier détail. Deux fois j’ai vu IBUKI (en compétition et dans le gala des gagnants) et deux fois à un certain moment de la routine alors qu’il se saisit du bouton le plus près de lui à sa gauche, le foulard amidonné reste malencontreusement (?) dressé à la verticale. Notre « taureau de la raison » (TAMARIZ) se rue sur ce pli accidentel : IBUKI ne profite-t-il pas d’un pli pas si fortuit pour y dissimuler un bouton resté en place et dont il n’a que simulé la prise ? L’instant suivant remarquant le désordre de son foulard IBUKI le saisit par deux coins, le claque pour le redéposer bien à plat sur le tapis…et anéantir au passage notre hypothèse : aucun bouton où nous le soupçonnions. L’art de la fausse piste, du red herring, est un art du tact : trop subtil, le leurre n’est même pas remarqué ; grossier, le spectateur flaire l’intention délibérée du magicien de l’égarer et se rebiffe. J’ignore si ce pli, bien vertical, bien visible était ou non une maladresse par deux fois réellement malencontreuse (improbable à ce niveau de compétition, d’autant que la chorégraphie d’IBUKI est impeccable partout ailleurs), j’ignore si ce minuscule « incident » du pi de trop a donc quoi que ce soit de réfléchi, d’intentionnel (voir même de nécessaire à la méthode), mais si tel est le cas, comme je le soupçonne, faire d’un faux pli un vrai contrôle de notre attention aura suffi à me ravir.    
    • Bonjour, Un peu plus haut en évoquant combien l''humanité" du personnage de Mortenn CHRISTIANSEN participe de la construction de son numéro, la citation de Derren BROWN que j'avais en tête est extraite de "Notes from a Fellow Traveller", page 416 :  
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