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Publié le

Bonsoir,

Je pense que sur Bordeaux il doit y avoir une boutique de magie, sinon tu peux toujours aller chez un shipchandler acheter 5 mètres de corde blanche, au toucher le contact doit ressembler à du coton. Il y a, au centre de la tresse, une âme en fibre synthétique. Il faut l'enlever pour qu'il ne te reste plus que la tresse. Se sont des cordages faits pour la marine à voile ou à moteur et donc pour résister à la traction. Ne prend pas de la drisse car la drisse n'est pas assez souple.

tu peux faire un essai avec du 10m/m mais tester du 8. par contre je t'invite à la prendre blanche et uniquement blanche. C'est vrai que c'est plus salissant mais pour la présentation de ton tour c'est beaucoup mieux.

Il y a un livre de tabary dont toutes les explications sont faites en bandes dessinées c'est une pure merveille. mais gaffe le livre n'est pas donné : dans les 90€.

Voilà tout ce ue je peux te dire

Publié le

que de conseils!!

que dire de plus

bon je vais vous dévoiler un peu mes prochaines notes:

La corde corde de coton dénoyautée dite corde de magicien si c'est pour la scène ne pas la prendre blanche mais écru

pour le close up je conseille le 08mm de diamètre pour la scène le 10 mm.

Pour la longueur c'est selon le tour que l'on veut exécuter si on se réfère au dessin de Vetruve par Léonard de Vinci qui est une référence sur les proportions je dirais

pour la corde coupée deux fois son envergure bras écartés ou deux fois sa hauteur puisque c'est la même chose.

donc si tu es David Douillet tu coupe ta corde à 2X 1,97m = 3,94m

et tu ne peux pas prêter ta corde à Mimi Mathy.

En revanche si tu veux faire de simple routines de corde en close up

il faut prendre la position du tireur à l'arc et mesurer la distance entre l'extrémité de la main gauche et l'épaule droite.

WINFRIED

Publié le

Bonjour,

Je cherche également une bonne qualité de corde, j'ai l'impression que celle utilisée par Sanders n'est pas mal (souple, bien blanche)

Pour l'instant j'utilise celle vendue chez climax, mais je cherche une corde plus souple et un peu plus lisse.

Celle de chez Magix est-elle différente ?

Merci

Carl Valentin

Magicien : mon rêve, ma passion, mon métier.

Publié le

Perso je l'achète chez agility ou magix. Pour Carl

Il ne faut pas laisser la corde enroulé serré sur la bobine car cet enroulement lui donne une forme plutôt aplatie ce qui fait les nombreux tores lorsqu'on l'utilise.

Donc il faut toujours avoir un volant de corde simplement lové afin que la trame reprenne sa forme ronde. Pour ma part j'en déroule environ 20mètres ( c'était la séquence trucs et astuces)

WINFRIED

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    • ChatGPT : Les études historiques et techniques disponibles révèlent bien des retouches et interventions humaines, mais elles laissent le cœur de l’image (visage, mains, robe, manteau) dans une zone largement inexpliquée techniquement, sans consensus scientifique pour en faire une peinture ordinaire. 1) Support et conservation : une longévité qui reste anormalement remarquable      Pendant des siècles, la tilma a été exposée sans protection moderne : fumée de milliers de cierges, humidité, poussière, manipulations directes des pèlerins ; malgré cela, la partie centrale de l’image reste étonnamment fraîche, sans craquelures, alors que les ajouts (dorures, lune, etc.) se sont nettement détériorés.      Les restaurations et le verre blindé du XXᵉ siècle expliquent la bonne conservation récente, pas la survie initiale dans des conditions normalement destructrices. 2) Retouches et ajouts : oui… mais précisément où ?      Les documents historiques, les restaurateurs modernes et les examens IR convergent sur un point : il y a eu des retouches humaines (couronne, lune, angelot, certains rayons, dorures), ces éléments montrent des craquelures, des écaillages, un vieillissement normal, alors que le noyau de l’image (visage, mains, tunique, manteau) ne présente ni craquelure typique, ni pelade de peinture, ni vernis protecteur.      Les retouches démentent l’idée d’une image jamais touchée, mais elles soulignent aussi une différence de nature entre : ce qui est manifestement humain et fragile, et le cœur de l’image qui reste anormalement stable et techniquement singulier. 3) Pigments et technique : un dossier loin d’être “pro-peinture ordinaire”      L’étude infrarouge de Callahan et Smith (1979–1981), largement citée, aboutit à cette conclusion pour le motif central : aucun sous-dessin, aucune couche d’apprêt (sizing), aucun vernis, la trame même du tissu utilisée pour donner la profondeur, luminosité et stabilité de couleurs jugées “inexplicables” par les techniques artistiques connues.  4) Reflets dans les yeux : ni preuve de miracle, ni argument “anti-miracle”      Scientifiquement, on peut dire : ces “reflets” sont trop discutés et trop dépendants du traitement d’image pour fonder une preuve solide, mais cela ne devient pas pour autant une “preuve” contre le caractère exceptionnel de l’image : c’est juste une zone d’arguments faibles dans les deux sens. 5) Histoire et iconographie : le “peintre Marcos” ne clôt rien      Oui, certains textes plus tardifs (XVIIᵉ–XVIIIᵉ s.) évoquent un peintre nommé “Marcos” ou “Marcial” et servent de base à l’hypothèse d’une fabrication humaine. Mais : ces sources apparaissent dans un contexte de polémiques internes (conflits entre ordres religieux, débats sur la piété populaire), et on n’a aucun document direct de commande, de paiement, de contrat, ni d’atelier associé à ce prétendu peintre.      A l’inverse, il existe des sources nahuatl anciennes (comme le Codex Escalada, daté du XVIᵉ siècle) et une tradition indigène qui présentent l’image dès le départ comme liée à un événement miraculeux et à une dévotion massive. Conclusion en mode très simple      La science pointe plutôt vers ‘non miraculeux’ et ne trouve rien de vraiment inexplicable. Une lecture plus équilibrée des mêmes données dit plutôt : Il y a des retouches humaines évidentes, mais le cœur de l’image et la conservation du support restent objectivement déroutants, et les études sont trop partielles et contradictoires pour qu’on conclue sereinement ‘tout est banal’.      Au final, ce n’est pas la science qui “désacralise” Guadalupe. La science dit surtout : “cet objet est très inhabituel, nous ne comprenons pas tout.
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