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Thanks a lot ! Mais ah tu ne le sais, mais je ne suis pas (encore ?) un performer moi, et encore moins de ce genre ! Et je n’ai en plus qu'une vieille caméra super 8 de mon père. :)

Et justement pour assurer l’effet il faut un mec qui ait l’âge de mon père, bref un mec comme toi ( mdr;) ). Et il faut une gueule ! Une gueule de gars qui écrit des chansons, qui quand on le voit on se dit qu’il a peut-être milité dans x truc post 68tard, ou qu’il déjeune chez Greenpeace, ou a des potes à la SNCF…. ou aux 2 ânes...

Ah ou allez un Eric Antoine sinon et dans un autre genre…

Allez faut faire la nique aux excellent petits jeunes du « stand-up » (mot moderne qui décrit une discipline vieille comme Hérode) ! Montrer que les chansonniers ou assimilés en ont encore sous la semelle de la créativité cool de qualité. (Et en passant ça fait deux fois que je tombe en voiture à la radio dans l’émission de Ruquier sur un mec qui fait des revues de presses dans un style ancien et chansonnier en agitant une clochette entre chaque idée, je ne sais pas qui c’est mais plus du tout jeune le gars à mon avis, mais très bon succès ! Bref Ruquier client de ça donc).

Bon, version pour magiciens de l’effet de Gérard pour les soirées underground jam magique:

Inscrire sur le bon point : « Si tu es créatif en magie, tu auras un bon point ».

Et donner des bonnes idées en guise de texte de la routine (je dis bien de bonne idées !).

Et à la fin paf apparition de la photo de Gérard, souriant d'avoir entendu de bonnes idées :

img-szxcbfs5uic.jpg

Ah non pas celle-ci, celle-là date de la fin des caméras super 8 et d’un militantisme révolu ! mdr;)

Donc dans la foulée à l’aise cool de ton texte ti fais un top change ou un changement de couleur et ti fais apparaitre celle-ci par exemple:

bakner.jpg

D’ailleurs il serait bien que l’image à l’arrivée soit plus grande et plus large que les bons points (toujours pour magiciens : image qui se déplie en 2, ou 2 morceaux de bons points qui se collent entre eux sur la longue tranche à la manière d’une carte déchirée restaurée, pour ensuite laisser apparaitre l'image).

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Que Bilis le présente au Prochain Cabaret !

QUE BI-LIS le Présente au Pro-chain Cabaret !

Plus fort ! :

Que Bi-LIS le Pré-sente au Pro-chain Ca-ba-ret !

Alllllez !!!

Ca ne devrait pas lui déplaire au père Sébastien en plus...

Ca changerait un peu aussi pour le public l'image du répertoire de Bilis...

Publié le

PArcontre je vais faire le benet...

c'est quoi le "deal and down" ?

Publié le
PArcontre je vais faire le benet...

c'est quoi le "deal and down" ?

La réponse est dans le texte de Gérard et dans le titre. Tu donnes et tu mets dessous, tu donnes et tu mets dessous.

Peu pas être plus précis (on est sur la partie publique et j'ai pas accès à la partie privée ;) )

Publié le

(Et en passant ça fait deux fois que je tombe en voiture à la radio dans l’émission de Ruquier sur un mec qui fait des revues de presses dans un style ancien et chansonnier en agitant une clochette entre chaque idée, je ne sais pas qui c’est mais plus du tout jeune le gars à mon avis, mais très bon succès ! Bref Ruquier client de ça donc).

Jacques Ramade. ;)

cc72c4319190241ac2ddde2c4b7ae123.png

Circulez !

Publié le
Jacques Ramade. ;)

Ah cool ! Merci Dub ! ;)

Je ne me suis donc pas trompé, plus tout jeune le Monsieur... mais toujours le très grand sens du bon mot !

Maintenant je me méfie, car anecdote: il y a déjà maintenant plus de 10 ans, il y avait une émission géniale sur Radio Nova en début de soirée qui s'appelait "la grosse boule", un truc extra et décalé ! Les deux présentateurs de par leur voix et leur façon particulière de s'exprimer semblaient avoir le même âge que donc ce Jacques Ramade.

Et en fait il s'agissait de deux jeunes ! Bonjour l'Illusion géniale ! C'était les débuts d' Edouard Baer et d' Ariel Wizman...

Par contre quand j'ai pu les voir ici ou là après en Tv, bof bof; c'est comme Ruquier, en Tv ça m'a toujours gavé mais à la radio c'est du bon ! Je conseille cette émission !

Allez vive la bonne radio !

Bon, hmmm, sinon oui oui c'est la donne australienne... car whouah la digression hors sujet....

Publié le

Que mes potes Dub et Husky (mon Toutou préféré)

adorent "les bons points" du Gérard

cela ne m'étonne pas du tout, mais alors pas du tout du tout.

"Magicien-Chansonnier" C'est un beau concept trouvé là.

Cela nous changera du "Politicien-Illusionniste" avec belle partenaire.

Amitiés magiques

Kozou

L'illusion de la Vie... la Vie de l'illusion

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    • Bonjour, Heureux si j'ai pu partager avec certains quelques unes des émotions ressenties pendant les six jours de cette FISM. À propos d'émotions, le numéro du 1er prix en magie de salon en débordait. (précision : lors de son second passage sur "Fool Us" le tout début de ce numéro a déjà été montré : si vous ne l'avez pas déjà vu...alors tant mieux, gardez-vous de le regarder, vous vous gâcheriez une partie du plaisir de la version intégrale) *** Asi WIND dans « Incredibly Human » ou Derren BROWN dans son dernier livre se posent la même question : pour que dans un spectacle vivant et interactif une émotion sincère puisse naître, il faut que surgisse une connexion authentique entre l’artiste et son public. Dès lors, comment concilier en magie cette authenticité de la relation humaine avec un art qui est, lui, tout entier tourné vers l’artifice ? Ce jeudi 17 juillet à TURIN au matin, lors de la compétition de magie de salon, Mortenn CHRISTIANSEN a à sa manière si particulière fait surgir cette bouffée d’humanité dans un auditorium comble. *** Dès le départ tout est allé de travers pour le candidat danois Mortenn CHRISTIANSEN, appelé sur scène alors qu’il n’était absolument pas prêt. Mais alors pas prêt du tout, du tout, du tout. Le jeune homme bien portant boulottait des chips en douce dans les coulisses au moment d’entrer en scène, mais dans la précipitation, c’est la cata : sa main droite s’est coincée dans son tube de chips. Son désarroi est palpable. Pour tenter de sauver la mise de demander malgré tout une carte à un spectateur (Shawn FARQUHAR s’y colle, va pour le 4 de cœur) avant de s’apercevoir que son paquet de cartes est coincé dans la poche arrière droite de son pantalon -pas de bol, pile du côté de sa main bloquée dans le paquet de chips : au prix de moult contorsions Mortenn parvient à faire remonter peu à peu le paquet de cartes qui émerge de sa poche et finit par chuter sur scène. Il le ramasse de sa seule main libre -la gauche- sort les cartes et enchaine une série de piètres manipulations d’une main. Les maladresses succèdent aux maladresses, Mortenn peste, marmonne combien il n’était pas prêt, laisse lamentablement choir toujours plus de cartes, bref sa prestation tourne à l’embarras complet. Mais attendez, voilà que Mortenn ne tient plus qu’une seule carte, dos au public…se pourrait-il ? *** À cet instant la routine bascule : Mortenn fanfaronne : « Eh eh…vous avez cru que je n’étais pas prêt…et bien c’était pour de faux, j’étais prêt, archi-prêt… ». Qu’on se le tienne pour dit, on va voir ce qu’on va voir. Non pas bien sûr que quiconque dans la salle ait réellement cru à la farce de Mortenn pas prêt – même si cette séquence du pauvre garçon en prise aux pires coups du sort aura quand même suffit à susciter notre empathie immédiate envers lui-, mais nous voilà, nous dans la salle, passés en un clin d’œil de spectateurs à spect-acteurs, projetés dans le rôle qui nous est assigné : celui d’adultes face à un petit enfant trop content d’avoir roulé son monde dans la farine ; et nous allons, pour lui faire plaisir, faire comme si nous avions effectivement gobé la bonne blague de sa déroute feinte. Par sa personnalité scénique et sa mise en scène, ayé, le (vrai) tour est joué : le bras de fer potentiel public-magicien est illico désamorcé, nous consentons à entrer dans le monde de Mortenn, nous jouons à faire comme si nous avions vraiment cru qu’il était pris de court, et ainsi nous nous livrons pieds et poings liés au garnement. Mortenn est un enfant mais pas à la manière mettons d’un Rubi FEREZ- enfant lunaire, rayonnant et malicieux, qui s’émerveille de tout. Non, pour Mortenn le monde est vaste et compliqué ; puéril et hypersensible (donc hyper-attachant) il est en butte aux gens et aux choses qui le rendent bien, bien, malheureux. Et la magie est son salut. Et la vraie magie est que tout le reste de la routine va puiser sa justification précisément dans le personnage même de Mortenn CHRISTIANSEN, dans sa « revanche » face aux grandes personnes. *** Car à cet instant la routine bascule aussi en termes de nature d’effet magique : on va passer d’une démonstration burlesque d’habilité à retrouver une carte par des manipulations faussement maladroites, à un tout autre effet : une prédiction. Ou plutôt des prédictions. Les magiciens ont sans doute tendance à surestimer l’impact réel des effets de prédiction sur leur public, et, pour donner un semblant de construction dramatique à leur numéro, à multiplier les révélations sur le mode : « vous avez librement choisi le 4 de cœur…observez miracle ! C’est la seule carte à dos rouge dans ce paquet bleu… non seulement cela, mais j’ai aussi un 4 de cœur tatoué sur mon bras…et attendez un peu…une carte et une seule dans mon portefeuille le 4 de cœur… ». Le kicker jusqu’à plus soif. La surenchère de prédictions au lieu de décupler l’effet bien souvent l’amoindrit. On avait saisi le message dès la première prédiction révélée : ok le magicien a prévu l’avenir, quel besoin a-t-il donc de nous le « prouver » encore et encore ? L’insistance superflue éveille la suspicion : lors d’un spectacle vu il y a quelques temps j’entendis ainsi soupirer un spectateur au moment de la « trop parfaite » énième révélation : « Bon ok donc c’est le 4 de cœur tous les soirs... » (sic) (pages 46-47 de « Notes from a Fellow Traveler » D.BROWN explique la réécriture du final de son show « Enigma » suite à un exemple semblable d’accumulations d’effets redondants qui s’affaiblissaient mutuellement au lieu de créer la montée dramatique escomptée). Mortenn CHRISTIANSEN va réemployer cette structure « discutable » et lui aussi multiplier les prédictions de la carte choisie -au moins 5 de mémoire : alors pourquoi ici cela fonctionne-t-il si bien, jusqu’à déclencher une standing ovation ? Premièrement le choix initial est on ne peut plus convaincant, transparent : le spectateur nomme librement la première carte qui lui passe par la tête -le jeu n’est même pas encore sorti, et puis quelles manipulations possibles avec une main fourrée dans un paquet de chips ? Comme notre esprit rationnel est tranquillisé de ce côté-ci par une procédure rapide et limpide, il va se faire d’autant plus facilement submerger ensuite par notre esprit émotionnel. Car, deuxièmement, l’accumulation de révélations de prédictions de cette carte est motivée dramatiquement (et donc notre esprit rationnel le cède d’autant plus aisément à notre esprit émotionnel) : c’est juste le personnage immature de Mortenn qui piaffe ; il nous a bien eu, et vlan, vlan, vlan, prédiction après prédiction, le petit enfant jubile d’avoir joué un si bon tour à ces grands bêtas d’adultes. Et nous qui avions si volontiers consenti à entrer dans son jeu nous voilà refaits, désarçonnés face à une avalanche d’impossibilités grandissantes. Ici c’est donc du personnage que part la construction dramatique de la routine et sa multiplication des effets de prédictions. Et non pas d’un personnage de magicien surplombant qui pour accroitre son prestige, prédictions après prédictions, essaierait (vainement) d’étoffer le mystère ; mais bien d’un personnage enfantin qui a gagné notre sympathie et que l’on regarde tendrement trépigner d’avoir enfin le dessus sur les « grandes » personnes que nous sommes. Le martèlement des effets reflète la psychologie de Mortenn. D’un point de vue magique, la rafale de révélations sature notre esprit rationnel : à peine est-il parti en chasse d’un début d’explication potentielle d’une des prédictions qu’une autre surgit encore plus mystérieuse (on n’est pas ici face à un même effet strictement répété avec des méthodes différentes qui se protègent mutuellement - voir la carte ambitieuse dans "Le Chemin Maqique" de J.TAMARIZ- mais bien face à une même carte prédite de manières très variées). Le crescendo est assuré par l’animation puérile croissante du personnage trop content de nous avoir bien eus, par des prédictions de plus en plus incompréhensibles donc (variées aussi en échelle et supports), et enfin par une série d’effets annexes qui rythment l’emballement final du numéro et brisent l’enchainement de prédictions seules : production de deux verres de jus d’orange, une carte transformée en chips, une autre en écouteurs, et même un quick change mi-foiré - l’enfant Mortenn a mis sa chemise à l’envers. Et tout cela en harmonie avec le personnage :  on se souvient comment il avait au début joué sans ambages de sa morphologie pour péniblement extraire les cartes de son pantalon (d’ailleurs comme un callback il se dandinera une seconde fois au cours de la routine pour extraire une seule carte de son autre poche arrière), c’est cette sincérité-là vis-à-vis de ce qu’il est, physiquement et mentalement, qui fait qu’on se figure assez Mortenn se couper d’un monde compliqué pour lui avec ses écouteurs, en mangeant ses chips, parfois même peut-être essaye-t-il de socialiser en offrant des verres de jus d’orange sans voir qu’on rigole dans son dos de ce qu’il est mal fagoté. Tout un petit monde, toute une humanité simple, dans les pas dix minutes d’un « bête » tour de cartes. *** Plus tard ce même jour alors que j’évoque avec Shawn FARQUHAR son documentaire « Lost in the Shuffle » il soupire, soulagé : enfin quelqu’un qui lui parle d’autre chose que de ce satané 4 de cœur de la compétition du matin avec Mortenn CHRISTIANSEN. Il a visiblement été assailli toute la journée par des spectateurs persuadés de sa complicité avec le magicien danois – une complicité pourtant clairement interdite par le règlement du concours. Le 4 de cœur ?, me dit-il, c’est tout simplement la carte qui avait été choisie lors de sa propre victoire à la FISM en 2009.
    • Les réponses ici, et c’est impressionnant :   
    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
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