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[magicien] DANI LARY : comment c'est possible ??


Otto WESSELY

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Petit conseil amicale : Si un "coach" vous propose de vous apprendre à avoir du charisme, demandez-lui tout de suite le temps qu'il lui faudra : 3 cours par semaine pendant deux mois, 2 ans, 5 ans? Et un autre "coach" pour apprendre à avoir du talent, même durée? Et pourquoi pas des cours pour apprendre à être photogénique. Tout peut s'apprendre, tout. Sauf ça.

Bonsoir Dominique

Carla

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Juste une remarque, en passant !

Le Petitbonhomme possède un truc,

c'est un exemple,

mais il ne se tient pas droit, vouté,

le fait qu'un coach, on va dire,

lui dise, lui apprenne, à se redresser,

lui dise tu n'articules pas,

travaille ta diction,

avec crayons et formules alanbiquées dans la bouche,

et bien forcément, je crois,

le truc qu'il a à la base, le Petitbonhomme,

prendra une autre dimension...

Enfin, il croit !

Petitbonhomme

Jean-Yves Loes (Petitbonhomme)

http://www.lamagiedupetitzebulon.com/

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Les coach c'est bidon comme terme, c'est un terme (parfois un raccourci) moderne pour quelqu'un qui va prendre de tout pour aider un autre.

Le coach c'est aussi très show bizz ou très sportif.

A cela préférer un professeur qualifié en chacune des disciplines.

Mais un coach peut aussi avoir des vertus de professeur quelque part.

Un coach qui apprendrait à avoir du charisme en x leçons, ce serait un gros charlatan aux recettes miracles.

Par contre des professeurs pour avoir du talent, oui je regrette, ça ça s'apprend. Cf. Ecoles de danses, de théâtre, de peinture etc.... et ça c'est en 2, 5, ou 10 ans. Vous m'étonnez, je ne vous suis pas !

Quant au cours pour être photogénique, non, car là c'est le physique seul. Le charisme, ce n'est pas le physique seul !

Ps: Petitbonhomme, mon message précédent allait exactement dans le sens de ce que tu viens de dire.

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Cher Husky, Je ne veux en aucun cas essayer de vous convaincre, mais il me semble qu'il y confusion entre charisme, talent, personnage, métier

Juste une remarque quand vous dites un acteur EST etc et parlez de "sa gueule, sa voix " en citant Delon. Alors quelle explication avez-vous pour un acteur tel que fut Carmet, qui n'avait ni gueule, ni voix, et ressemblait à Monsieur tout le monde.

Et concernant "le charisme que l'on peut avoir à un endroit et pas à un autre". Même chose que pour le talent : on l'a ou l'on ne l'a pas ( même si certains soirs un acteur peut être "moins bon")et ce que l'on joue à la Comédie Française ou dans la salle des fêtes de Villecresne

le talent, si talent il y a, reste le même.

Carla

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Husky!

Tu es mon maitre inconscient !

Ou j'ai vulgarisé ton discours,

rendu accessible !

Mais bon, coach,

c'est limite l'une des plus belles escroqueries,

impostures, de ces dernières années !

Oui, tu,peux aider, épauler,

mais faut pas déconner quand même !

Jean-Yves

Petitbonhomme

PS : je relativise, rectifie, mais,pas tout à fait, mon propos,

un artiste peut avoir besoin d'un répétiteur,

d'un metteur en scène !

Jean-Yves Loes (Petitbonhomme)

http://www.lamagiedupetitzebulon.com/

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Moi non plus je ne cherche aucunement à vous convaincre, j'argumente et m'explique sur une autre façon de voir.

Je suis d'accord avec vous sur la confusion multi termes, mais ce qui compte c'est ce qu'il y a au bout: un être ou un personnage qui dégage quelque chose de très fort, qui a du charisme !

La distinction que je faisais entre acteur et comédien, était je le disais volontairement restrictive dans le but d'illustrer deux états.

Je considère, par rapport à ces deux définitions, le grand Jean Carmet justement comme un comédien, non comme un acteur !

(Soit dit en passant, vous trouvez vraiment qu'il n'avait ni gueule, ni voix ??)

C'est le charisme qu'on peut avoir à un endroit ou un autre disions-nous, pas le talent ! En fait le chariisme on peut en avoir ou pas dans telle ou telle situation à la ville surtout, dans des conditions d'entourage social et d'individus avec lesquels on est en osmose et à l'aise ou non par exemple. Un comédien aura plus ou moins de charisme selon le rôle qu'il interprètera, celui où il sera le plus à l'aise naturellement de par sa personnalité naturelle, ou parce qu'il maîtrisera mieux ses techniques de jeu pour donner toute la saveur et la brillance à son personnage. Mais on se rapproche plus là d'une performance plus ou moins bonne, comme vous dites, que du véritable charisme... mais si dans le résultat final, le personnage est là dans toute sa splendeur, c'est qu'il y a un charisme dégagé.

Enfin tout ça pour dire que oui, entièrement d'accord avec vous, ce n'est bien sûr pas fonction du lieu pour un comédien, mais fonction du personnage, et donc peu importe oui si c'est au Français, à la Cartoucherie, à la Mjc de Créteil ou à la Passerelle de St Brieuc !

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"CHARISME, subst. masc.

A. THÉOL. Don surnaturel extraordinaire octroyé à un croyant ou à un groupe de croyants, pour le bien commun de la communauté. À plusieurs reprises, Paul parle des charismes qui se rapportent au gouvernement des Églises (Théol. cath. t. 4, 2, 1938, p. 497) :

1. Tous les prophètes n'ont pas connu leur charisme, Éminence, et le charisme peut n'être qu'exceptionnel.

Billy, Introïbo, 1939, p. 208.

B.P. ext.

1. Domaine de la sociol. pol. Autorité, fascination irrésistible qu'exerce un homme sur un groupe humain et qui paraît procéder de pouvoirs (quasi) surnaturels. Un régime fondé sur le charisme du chef (Giraud-Pamart 1971).

2. Domaine littér. Don, inspiration qui pousse irrésistiblement à la création :

2. ... le plus grand philosophe ne sera pas l'homme qui aura le plus approché la vérité, le plus grand théologien ne sera pas le mystique qui se sera avancé le plus loin dans la voie de l'expérience unitive, mais, dans les deux cas, l'homme qui en sus aura reçu le charisme proprement « poétique » [au sens plénier du grec (...)] de l'expression la plus pleine, la plus adéquate, la mieux transmissible.

H.-I. Marrou, De la Connaissance hist., 1954, p. 285.

Prononc. : Étymol. et Hist. 1879 (Renan, Hist. des Orig. du Christianisme, L'Église chrétienne, p. 471). Empr. au gr. « faveur, grâce accordée par Dieu » attesté dep. le ier s. (Philon ds Bible Suppl. t. 1), attesté au sens précis de la théologie catholique dep. St Paul (Cor., ibid.). Fréq. abs. littér. : 2. Bbg. Dub. Dér. 1962, p. 35. Giraud (J.), Pamart (P.), Riverain (J.). Mots dans le vent. Vie Lang. 1970, p. 389. Slack (A.). Le Coin du pédagogue. Fr. R. 1971, t. 45, no 2, p. 410. Wehrlin (É). Le Nouv. lang. de l'Église. 2. Vie Lang. 1972, pp. 223-224."

TALENT, subst. masc.

I. ANTIQUITÉ

A. Unité de poids de 20 à 27 kg. Chez les Athéniens, le talent pesait environ vingt-sept kilos (Ac. 1935).

B. Monnaie de compte équivalent à un talent d'or ou d'argent. [Pilate] est procurateur, lieutenant consulaire. Le port de Tyr lui paie un talent par galère (Hugo, Fin Satan, 1885, p. 869). Autrefois il a prêté , sur reçu (...) une somme de dix talents d'argent à un parent pauvre (A. France, Vie littér., 1891, p. 219).

Vieilli. [P. allus. à la Parabole des talents dans Matth., XXV, 14 et sqq.] Enfouir son talent. Ne pas faire valoir ses dons, ses capacités. Songez au serviteur qui enfouit le talent que son maître lui a confié (Martin du G., Thib., Cah. gr., 1922, p. 738).

II. A. 1. Vieilli. Disposition donnée, aptitude, capacité physique ou intellectuelle pour réussir en quelque chose. Synon. don, faculté. Les talents du corps et de l'esprit; exercer son talent, un talent; avoir le talent de se ruiner, d'ennuyer qqn, de se faire moquer de soi. Madame Paturot (...) avait un talent inouï pour détourner la conversation (Reybaud, J. Paturot, 1842, p. 412). Il possédait, entre autres talents, celui de violer un cachet, le plus doucement du monde (Bourges, Crépusc. dieux, 1884, p. 66).

2. Aptitude, capacité particulière, habileté, naturelle ou acquise, pour réussir en société et dans une activité donnée. Avoir des talents; se faire connaître par quelque talent; un talent d'imitation; un beau, grand talent; un joli talent d'amateur; talent dramatique, littéraire; talent militaire, politique; talents de ménagère. Jamais il n'avait eu le talent des affaires, et quatorze années passées à la campagne, entre ses valets, son notaire et son médecin, jointes à la mauvaise humeur de la vieillesse qui était survenue, en avaient fait un homme tout à fait incapable (Stendhal, Chartreuse, 1839, p. 19). On avait vanté devant lui le talent de conteur du premier lieutenant (Peisson, Parti Liverpool, 1932, p. 106).

Talent de société. Talent qui divertit, intéresse en société. Ses talents de société éclipsaient les miens; il devenait le héros de la fête (Reybaud, J. Paturot, 1842, p. 332). C'est vrai qu'il a des talents de société, dit-elle; il chante des chansons tellement drôles! (Beauvoir, Mandarins, 1954, p. 215).

B. Absol., dans le domaine intellectuel ou artist. Aptitude, capacité remarquable. Avoir du talent. Le génie est l'instinct de tout voir et de tout comprendre, et le talent est le don de tout rendre et de tout exprimer (Chênedollé, Journal, 1833, p. 162). Le génie, même le grand talent, vient moins d'éléments intellectuels et d'affinement social supérieurs à ceux d'autrui, que de la faculté de les transformer, de les transposer (Proust, J. filles en fleurs, 1918, p. 554).

De talent. Un homme de talent, quoi qu'il fasse, ne rassure jamais l'autorité (Goncourt, Journal, 1865, p. 120).

[P. méton.] Ensemble de qualités d'une œuvre dénotant les capacités remarquables de son auteur. Mon noble ami, mais c'est plein de talent, ça! (Villiers de L'I.-A., Contes cruels, 1883, p. 53).

C. P. méton. Personne qui a du talent. [M. Pradier] est un talent froid et académique. Il a passé sa vie à engraisser quelques torses antiques, et à ajuster sur leurs cous des coiffures de filles entretenues (Baudel., Salon, 1846, p. 190). Les grands talents ont derrière eux des imitateurs qui les caricaturent, comme ces ombres grimaçantes, sur un mur, à la chandelle (Goncourt, Journal, 1860, p. 739).

Prononc. et Orth.: Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. I. A. 1. Fin xe s. « sentiment, pensée, disposition d'esprit » [G. Mombello, Les Avatars de « talentum », Turin, 1976, p. 154, note 2 précise pour ce texte « courroux »] (Passion, éd. D'Arco Silvio Avalle, 73: Los sos talant ta fort monstred [Le Christ chassant les marchands du Temple] Que grant pavors pres als Judeus); 2. id. « désir, souhait, volonté » (ibid., 84: Vostres talenz ademplirai); ca 1050 (St Alexis, éd. Chr. Storey, 25: Amfant nus done ki seit a tun talent), cf. l'analyse sém. de G. S. Burgess ds Romania t. 95, 1974, pp. 443-466 et G. Mombello, op. cit., pp. 153-161; 3. id. « esprit » (ibid., 139: À tel tristur aturnat sun talent [la mère d'Alexis]. Unc puis cel di nes contint ledement). B. « Dons, capacités, aptitudes accordés par Dieu » 1. xive s. [ms.] « faculté, aptitude (domaine des sens) » (ds Rec. gén. des jeux-partis, éd. A. Långfors et L. Brandin, XV, 20, t. 1, p. 59: S'il ne parole [le muet], s'a par veoir talent, Par quoi il doit les biens d'amours sentir); déb. xve s. « capacités physiques » (Christine de Pisan, Epistre Othea, LXXII, ms. Harley 4431, fol. 128 ro ds G. Mombello, op. cit., p. 178); 2. mil. xvie s. « dons du Saint-Esprit » (Calvin, Serm. Pentecoste, 4 [XLVIII, 648] ds Hug.: chacun n'en pourra pas avoir en egal mesure [de la grâce du St Esprit], mais cela n'empesche pas que nous ne facions profiter nostre petit talent); 3. 1560 « capacités intellectuelles » (Ronsard, Élégie, 37 ds Œuvres, éd. P. Laumonier, t. 10, p. 364: Si Ronsard ne cachoit son talent dedans terre, Or parlant de l'amour, or parlant de la guerre [...] Il seroit tout parfaict), v. G. Mombello, op. cit., pp. 192 et 201-202; 4. p. ext. av. 1734 « personne qui a une aptitude spéciale » (Fontenelle, Éloge de Lagny ds Littré). II. 1. Ca 1170 « unité de poids (dans le monde antique) » (Rois, III, V, 12, éd. E. R. Curtius, p. 121); 2. 1530 « monnaie de compte équivalant au poids d'un talent » (Palsgr., p. 279a); 1551 spéc. Récit de la Parabole des talents enfouyr [le talent] (Bible, trad. Calvin, s.l., Jehan Crespin, Matth. XXV, N.T., fol. 10b); 3. « richesses » [XIIIe s. talente fém. (Vies des Pères, St Paulin, 67, cité par G. Mombello, op. cit., p. 349)] 1575 (Brantôme, Discours sur les couronnels [VI, 101], ibid., p. 192). Empr. au lat. talentum, sens II 1, 2; empl. fig. à basse époque « richesse, richesse morale » (fin ive-ve s. ds G. Mombello, op. cit., p. 193) [3]. L'explication de I se trouve dans l'interprétation de la parabole évangélique par l'exégèse médiév.; celle-ci s'exprime par différents aut.: dès le ive s., les talenta sont considérés par St Jérôme comme « don de Dieu, grâce » (Comment. in Évang. Matth., ibid., p. 45: In quinque, et duobus, et uno talento, vel diversas gratias intelligamus, quae unicuique traditae sunt; cf. xe s., Flodoard, Hist. Rem., lib. 2 c, 19 ds Nierm.). D'apr. le même aut., ibid., les 5 talents distribués par le maître au 1er serviteur représentent omnes sensus « les 5 sens corporels »; les 2 talents signifient l'intelligentia « les capacités intellectuelles, les facultés de l'esprit » et l'opera [operatio] (mot pour lequel G. Mombello relève la var. voluntas, op. cit., pp. 110-111); le talent unique signifie la ratio « faculté intellectuelle ». De talenta « les 5 sens corporels », est dér. le sens « capacités physiques ». Du sens « faculté de l'esprit » (relevé dès les vii-viiie s. sous la forme tallan dans des gl. a. irl., G. Ascoli ds Romania t. 27, 1898, p. 525), est issu, par synecdoque, celui de « esprit », att. dès le xie s. (a. cat. venir en talent 1067 ds Alc.-Moll; ca 1063 lat. médiév. venire in talentum + inf. ds Du Cange, s.v. talentum, v. aussi, G. Mombello, op. cit., pp. 222-223). Fréq. abs. littér.: 6 493. Fréq. rel. littér.: xixe s.: a) 15 174, b) 10 177; xxe s.: a) 8 870, b) 3 875. Bbg. Darm. Vie 1932, p. 131. Mombello (G.). Note sur deux accept. curieuses et rares de talent au Moy. Âge. In: [Mél. Lecoy (F.)]. Paris, 1973, pp. 433-441.

Modifié par tanhouarn

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

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CHARISME :1. Domaine de la sociol. pol. Autorité, fascination irrésistible qu'exerce un homme sur un groupe humain et qui paraît procéder de pouvoirs (quasi) surnaturels.

Oui c'est de ça qu'on parle, non ? ;) Une autorité en matière artistique ou sociale et qui suscite au final une fascination.

Et qui "parait procéder de pouvoirs" surnaturels...

L'illusion de paraître donc...

Une illusion donnée par des gimmicks. Les gimmicks étant les techniques.

CQFD, non ? ;):sick:

Et si ce n'est pas le "qui parait procéder", c'est que c'est une grâce innée.

Par un biais inné ou par un biais fait de techniques, le résultat, c'est un individu avec du charisme.

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Ps: Pourquoi Sarkozy (et les politiques en général) s'était-il en son temps entouré de coachs pour développer des techniques et sa gestuelle et son allure dans ses discours politiques, ce sur le modèle américain ?

Pour avoir plus de charisme non ?

Et ce dans le plus strict rapprochement avec la définition de base redonnée par Tanhouarn.

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