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[Maquillage] Comment bien se maquiller pour la scène ?


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Hello,

Je suis tombé par hasard sur ça :

MAKE-UP FOR STAGE

Et je me demandais si par hasard certaines personnes pourraient nous faire partager leur science à ce sujet.

Quels produits acheter, comment se maquiller, comment se démaquiller, etc...

Merci :)

DRACO

Born to be Funny!

Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le

Je crois que dans mon cas se serait bien inutile et une erreur car le track (même après plusieurs année) me fais suer abondament et les goutte coulent sur mon front. J'ai déjà eu un personnage de clown (par le passé) et le maquillage m'a fait abbandonné car à la fin j'étais plus effrayant que drôle.

Visitez moi : www.riendanslesmanches.com

Publié le

Bah alors Erick, tu as encore le trac après tant d'années de pratique ???

Non je ne te crois pas ;)

En tout cas ça fait plaisir de te lire sur ce forum :)

DRACO

Born to be Funny!

Publié le

Il m'est arrivé d'arriver trop confiant et de ne pas avoir le trac et c'est la catastrophe. J'échappe, je bégaye, j'ai des blanc de mémoire, je flash etc.. et je m'en veux à mourir. Mais maintenant plus de problème j'ai le trac de ne pas avoir le trac donc cela s'annule. mdr

Visitez moi : www.riendanslesmanches.com

  • 5 months plus tard...
Publié le

Bonjour,

Pour ma part je me maquille pour chaque spectacle ! (que se soit en close-up et en scène) car je trouve que le maquillage donne déjà la couleur et démarque ! Cela fait vraiment spectacle !

Tout d'abord j'utile un pan cake (make-up pro) pour cela il faut mouiller l'éponge et prendre du maquillage sur l'éponge et mettre le tout sur la figure en commençant par le front puis décendre vers le cou et maquiller le cou en dégrader.

Ensuite petite astuce (cela vaut se que sa vaut) pour cacher les boutons je met sur les boutons encore voyant de l'anticerne !

Puis vient le tour de la poudre ! Je prend une poudre assez foncer pour faire les ombrages (le front, le nez, délimiter le visage sur les côtés et enfin le menton) avec un pinceau pas trop gros puis ensuite avec un gros pinceau je prend de la pourdre claire que j'applique sur les joue, le cou et un petit peu partout en faisant attention de ne pas trop effacer les ombrages.

Et la le moment qui ma vallut beaucoup d'entrainement: le contour des yeux au crayon noir ! c'est un coup à prendre.

Puis avec un pinceau à paupière je me fais les paupière en gris/noir.

Et enfin le rouge à lèvre pas rouge vif non plus ni brillant pétant mais couleur naturel !

Voilà en espérant avoir répondu à la question sur le maquillage.

Ensuite pour le démaquillage le mieux est d'enlever la plus grosse partie avec des lingettes démaquillantes et puis de finir au savon et à l'eau et de mettre une crème hydratente pour renourrir la peau !

Si vous avez des questions, ou des points à revoir je laisse mon adresse mail : mikelkeep@orange.fr

MAGIEcalement

MiKel Keep

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Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques un... J.Brel

Publié le

Nan désol je ne suis pas de ce bord là lol =) mais je connais le maquillage pour les transfos et c'est encore plus de maquillage et se n'est pas du tout pareil! Le maquillage que j'ai propsé c'est un maquillage spectacle mais qui reste dans le naturel comme même !...

MAGIEcalement

MiKel Keep

Je vous souhaite des rêves à n'en plus finir et l'envie furieuse d'en réaliser quelques un... J.Brel

Publié le

Que tu es beau ;) joli graphisme.

Effectivement l aéro en maquillage permet pas mal de choses comme le trompe l'oeil et trouve cela tres interessant d ailleur les clowns qui se maquillent devraient s y interesser car les resultats sont stupefiants comme nous le montre Spiouf.

Pour info il faut un pistolet de grapgiste genre Pasche vls et un mini compresseur. J utilisait une bombe d air que l'on trouve chez les boutiques de matériel de dessin, c est plus pratique et ca marche tres bien.

Ensuite il faut quand meme savoir dessiner un minimum et avoir un peu de talent pour faire quelquechose de réussi.

Voila pour completer ce post interessant.

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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