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Publié le (modifié)

Bonsoir Mesdames, bonsoirs Mesdemoiselles, bonsoir Messieurs.

Et bien voilà, samedi soir j’ai présenté un spectacle bénévole (lors d’un gala de danse) pour une association, dont fait partie une collègue, et qui menaçait de déposer la clé sous la porte. Quelqu’un disait dernièrement que quand on se fait payer à tarif raisonnable, on nous déroule le tapis rouge : je confirme ! L’accueil est toujours très bon et l’organisation pour notre prestation et confort toujours meilleur quand on touche un vrai cachet. Déjà, les détails me concernant pour cette soirée n’étaient pas vraiment préparés (j’étais au courant de cette date depuis trois mois et je n’ai eu les détails qu’une semaine avant, si j’avais été payé il se seraient sûrement bouger plus efficacement :mad: ).

Je ne peux pas dire que je sois déçu, mais je ne me réjouis pas vraiment de cette soirée. En effet, j’ai eu un accueil assez froid (pas hautain, mais plutôt distant) de la part des organisateurs ; ma collègue (avec qui je m’entends pourtant bien) n’a pas fait grand chose pour m’intégrer à l’équipe et, petit détail mais qui compte tout de même, je n’ai pas été appelé sur scène pour la traditionnelle présentation finale des artistes (je ne suis pas susceptible, mais j’ai quand même été vexé : si j’avais été payé, il est certain que l’on ne m’aurait pas oublié :mad: ). Bref, j’ai décidé d’égorger un enfant pour me venger :whistle: .

Il est vrai qu’en dehors de la scène, je suis plutôt réservé, discret voire carrément timide ; mais je suis très sociable (propre, doux et vacciné :) ). Par conséquent, j’ai eu du mal à m’imposer. Je me promets donc une chose : limiter les présentations bénévoles (sauf pour l’association « les cannes blanches » où je serais ravis de présenter mon dernier numéro visuel).

Mais cette soirée ne m’a pas fait ouvrir les yeux qu’à ce sujet : j’ai également compris l’intérêt d’une affiche personnalisée. Dans bons nombres de spectacles, l’animateur parle du « magicien »… ne connaît-il toujours pas mon nom ?!!! Quand je fais monter un spectateur, je lui demande comment il s’appelle et je me souviens de son prénom (surtout s’il s’appelle Cunégonde et qu’il est blonde à forte poitrine). Quand d’autres artiste me succèdent, je m’efforce de les présenter par leur nom. Je ne m’appelle pas « Magicien », mais « Julien » ou alors « Julien DAVID » ! De plus, je retrouve souvent avec merveille, à l’entrée de la salle, une superbe affiche 10 X 15cm représentant un clipart « magicien haut-de-forme et baguette dorée» bien ringuard accompagné de la fameuse « quint flush royale à pique » d’une originalité effarante. La petite astérisque accompagnant le mot « spectacle » (écrit en 3D orange et vert) précise que c’est le magicien Julin DVID (faute de frappe volontaire - quand ce n’est pas « Julien-le-magicien ») qui assurera l’animation.

Alors, que faire… et j’ai enfin compris : proposer moi-même une affiche avec mon nom (c’est pourquoi je vais ouvrir un autre post proposant une idée d’affiche où vous pourrez vous venger sur moi… :cry: )

Merci de m'avoir lu et à bientôt ! :cool:

Modifié par Thomas THIÉBAUT

Julien

La tête qui tourne : le livre magique où les mots prennent tous leurs sens !

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Publié le
Tu as raison : mon beau-père est infographiste !!! (ha ! tu la ramène moins hein ?!!)

Cependant, il est débordé alors, c'est à voir mon cher J.

mouais mouais, je la ramène moins.......... lol

(je suis perdu avec les émôticones... :( )

n'hésite pas..... ;)

Choose your battles wisely.

Publié le
Je veux pas faire de pub mais j'ai vu ce que peux faire J et j'avoue que si un jour j'ai besoin d'un graphiste, j'ai son numéro en poche!

pas si bon que ca , sinon il vendrais pas ces bouquins ! Gniarf gniarf j suis degueullasse :P

Allez fait moi 2euros de remise et je delete mon post

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    • Merci Otto pour ton compte-rendu très agréable à lire, tout en légèreté. J'en déduis que Voronin est quelqu'un de simple et de très sympa en plus d'être un grand artiste. Avec Finn Jon et Oguz Engin, il fait partie des quelques magiciens que j'aimerai rencontrer depuis que je suis gamin mais pour lesquels l'occasion ne s'est pas encore présentée. Par contre j'ai du mal avec la vodka mais mon père fait un très bon ratafia, ça fera l'affaire pour trinquer avec lui et les copains le jour venu.  
    • C'est en grande partie parce que ce congrès se déroule sur Paris. Il y a moins de contraintes (déplacements, hôtel, repas) donc l'organisation pour y aller nécessite moins de recherches et il y a des frais en moins. Si ce congrès avait lieu loin de Paris, il rencontrerait, je pense, pratiquement les mêmes problèmes que le congrès FFM. C'est aussi plus intimiste donc on se dit qu'on va un peu plus prendre son temps, échanger plus facilement avec les artistes et les autres congressistes. Pour être allé dans des congrès dans différents pays (The session en Angleterre, BMF en Belgique, FFAP en France et Masters of Magic en Italie), je dirais que ceux qui ont le public avec le plus de jeunes sont les congrès Italiens et Anglais. Pour The Session, la proximité de Londres joue indéniablement. Pour Blackpool, je n'y suis encore jamais allé mais c'est la très grande foire aux trucs qui semble être le plus gros point d'intérêt. Pour les congrès Italiens, c'est très animé avec Walter ROLFO et son équipe (entre les soirées à thème, les hall avec du mobilier qui favorisent au maximum les échanges, une ambiance toujours assez festive et surtout de très beaux plateaux, de beaux programmes). Je regrète juste qu'il ne fasse plus le congrès à Saint Vincent qui est une magnifique petite ville avec un casino qui comportait une salle de spectacle garantissant une bonne visibilité contrairement aux salles à Turin). Et pour les Français, Allemands et Suisses, ça faisait aussi moins de route. Pour revenir aux masterclass, je pense que les déceptions sont essentiellement par rapports aux masterclass dans les congrès que l'on règle en plus, parfois assez cher et qui se font sur 2h souvent et par groupe de 10 à 15, ce qui n'est pas un format adapté. Ce sont ces masterclass qui, je pense, laisse l'impression d'avoir assister plus à une conférence en petit commité qu'à une vraie masterclass. Il faut un après-midi voir une journée entière pour laisser le temps au maître de stage de voir ce que vous savez faire, évaluer votre niveau et puisse vous corriger, vous donner les bons tuyaux pour progresser. Et il ne faut selon moi ne pas être plus de 6. Mon raisonnement est le même que pour les cours de soutien que je donne à certains élèves en Physique-Chimie. Au delà de 6, en 1h de soutien, je ne peux pas passer plus de 10 min derrière chacun et ça revient à refaire un cours classique plus qu'un cours de soutien. En 1h, j'aborde les difficultés sur à peu près un chapitre donc des exercices sur un même sujet. Pour un masterclass de magie, en un après-midi, on peut envisager de travailler sérieusement 4 - 5 routines si elles sont déjà apprises (si les "élèves" savent déjà la faire mais mal et qu'il faut les corriger), moins si on part de zéro (si il faut apprendre la routine). Et puis par rapport à un cours de soutien où on sait que tous les élèves qui vont y venir sont en grande difficulté, le niveau sera plus hétérogène dans un masterclass de magie (entre celui qui maîtrise déjà bien la routine et qui veut pousser le truc plus loin, trouver des plans B ou C si il arrive ceci ou cela, trouver une accroche, une présentation et celui qui aimerait présenter la routine mais qui l'a juste vue ou lue). Il faudrait presque faire des groupes de niveaux après une première partie en commun. Mais certains n'accepteraient peut-être pas d'être mis dans les "débutants" après avoir payé cher l'entrée. Gérer les égos est aussi un obstacle parfois mais il est vrai que lorsqu'on se retrouve dans un groupe ou l'un demande à apprendre une technique de base, c'est un peu rageant pour d'autres.  
    • J'ai toujours cru qu'une masterclass était un mot un peu branché pour parler d'un atelier en petit nombre sur un thème précis. Je n'ai jamais vu de conférence se nommant masterclass. Sinon, faisant partie d'un tout petit club qui organise deux conférences à l'année (Amiens), je rejoins ce qu'a dit Marc sur bien des points (mais pas sur l'éducation des jeunes qui,je pense, peuvent rester friands de "live"... Mais tout dépend avec qui. J'ai, par exemple, l'impression que le congrès organisé par Magic Dream rassemble plus de jeunes que, disons, le congrès FFAP).    Après, moi, ce que je préfère dans les conférences, ce sont souvent les échanges avant et après (de préférence au bar ou au restaurant, où ça part parfois en masterclass improvisées 😅)
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