Aller au contenu

Recommended Posts

Publié le (modifié)

Un message parlant du spectacle "l'apprenti magicien" de Sébastien Mossière m'ammène à vous poser une question.

Vous avez très souvent débatut des spectacles d'enfants, mais je me place du coté du spectateur et parent spectateur.

A partir de quel âge pensez vous qu'on puisse ammener sa progéniture voir un magicien.

Monsieur Mossière par expérience, dans votre spectacle vers quel âge les enfants commencent-ils à accrocher à l'histoire et aux effets magiques ?

Ma petite a 2 ans et je ne suis pas sur que pour le moment elle s'apperçoive que la balle rouge qui aurait dû être dans la main droite est en fait dans son oreille. Ni même que c'est vraiment magique qu'un lapin vienne de sortir du chapeau auparavant vide.

Je caricature bien sur, mais pour le moment son univers est encore très onirique et pas encore assez terre à terre pour s'apercevoir que le monsieur devant elle fait des choses vraiment extraodinaire.

Maintenant je me trompe sans doute et j'aimerais beaucoup connaitre vos ressenti et avis fondé sur le écu de l'artiste.

Modifié par Thomas THIÉBAUT
Pas de pub non magique pour les membres du Cercle VM. Clique ici pour en savoir plus !
Publié le

tout dépend du spectacle et si oui ou non il est adapté aux tous petits...

si tu travailles avec des "objets" de magicien, forcement les enfants n'accrocheront pas mais si tu travailles avec des choses qu'ils connaissent et que tu l'intergres à une histoire, là il y a plus de chance pour que ça fonctionne.

car même en crêche les enfants peuvent suivre un spectacle (à savoir qu'il ne faut pas qu'il dure très longtemps)

Publié le (modifié)

J'ai fait un spectacle hier pour des 3-4 ans, et ça c'est super bien passé, mes tours étaient encrés dans une histoire (ce spectacle est appelé Conte magique) et des objets usuelles pour les magiciens avaient un sens autre dans l'histoire (ex: balles éponges = crottes de chameau, ficelle flash = poil de lutin, d'light = lucioles, quêteuse = sac à dos...)

Grâce à cela, les enfants sont prit par l'histoire et les tours s'enchaînent à merveille...

Modifié par Abrak
Publié le

On retombe donc dans la justification d'un effet magique. Si la magie est là pour ponctuer une histoire, et non pour être le faire-valoir du magicien, ce dernier ne pourra qu'emporter l'adhésion de son public, fut-il un public d'enfants. Certes, il est nécessaire d'adapter cette histoire à l'âge dudit public, mais la démarche est similaire.

PS : L'histoire, quant à elle, peut être vocale, mais la musique, si le jeu d'acteur est là, peut être aussi parlante que la voix. Et les deux à la fois, là c'est génial !!!

« La préservation de la vérité objective et de la capacité de chaque individu à former des jugements objectivement vrais est la condition première et absolument nécessaire d’une vie libre » (James Conant, in Orwell ou le pouvoir de la vérité, p. VIII).

Publié le
Ficelle flash ... Bonne idée de montrer ça aux enfants !!!

Wé, maintenant tous les lutins vont se cacher pour pas se faire piquer leurs poils et on en verra plus un !

;)

« On peut éprouver une telle joie à faire plaisir à quelqu´un qu´on ait envie de le remercier. »

Henry de Montherlant

Publié le
ex: balles éponges = cottes de chameau, ficelle flash = poil de lutin

Je suppose que tu voulais écrire crottes de chameau ...

Ficelle flash ... Bonne idée de montrer ça aux enfants !!!

Et bien ludo, ça va peut être t'entonner, mais le poil de lutin passe très bien vis à vis des enfants... Il s'agit en fait d'un cadeau que me fait le lutin contre un service rendu...

Surtout que le poil de lutin est un élément capitale dans la quête du héros... tu crois quand même pas qu'on va réussir à retrouver le troll des montagnes sans poil de lutin ...

Publié le

Merci pour vos réponses.

Cela me conforte dans mon impression, ma fille est encore un peu petite pour vraiment apprécier un spectacle de magie.

Je pense qu'elle apprécierait vos histoires et vos talents de conteur, mais elle passerait totalement à coté de ce qui fait votre spécificité, le coté réellement magique de votre histoire.

Je vais donc attendre encore un an, avant de l'emmener vous voir.

Rejoins la conversation !

Tu peux publier maintenant et t'enregistrer plus tard. Si tu as un compte, connecte-toi maintenant pour publier avec ton identité.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Restaurer la mise en forme

  Only 75 emoji are allowed.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédemment saisis, a été restauré..   Effacer le contenu

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.



  • Messages

    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
  • Statistiques des membres

    • Total des membres
      8336
    • Maximum en ligne
      4524

    Membre le plus récent
    Jalal ROGUI
    Inscription
  • Statistiques des forums

    • Total des sujets
      84.5k
    • Total des messages
      681.2k
×
×
  • Créer...