Du moins, il s'agit de la version officielle étatique qu'évoque beyrevra.
Dans un premier temps, ils auraient été stockés dans les caves, puis déplacés dans les combles car les premières étaient jugées trop humides.
Mais en manière d'entretien du patrimoine historique, l'inertie toujours très grande de nos instances politiques, conduisit à l'effondrement d'une partie de la toiture.
Par contre, il est surprenant et difficilement concevable de ne point retrouver dans les archives d'époque du musée des arts et métiers (du mois dans la main courante), des traces écrites de ce don exceptionnel.
La vérité de ce pan de l'histoire annoncée, est-elle véridique et crédible?
A vous de juger lors de vos diverses lectures.