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Christian DELAMORINIERE

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Messages publiés par Christian DELAMORINIERE

  1. Extraits de Britain Got Talent avec Lewis FULLER pour un numéro mélangeant projection sur ecran, chant et final avec une lévitation Ashra.

    Puis extrait American Got Talent avec les ukrainiens Oleksandr et Lena dans un numéro de danse dans un cube semi transparent sur lequel sont projectés des images.

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  2. Il y a 5 heures, Patrick FROMENT a dit :

    Le physicien quantique embrasse un domaine d'étude si vaste qu'il ne peut pas tout à fait s'en soustraire lui-même. Ne pouvant pas se soustraire de ce qu'il veut connaître, il n'est pas en mesure de le traiter comme un objet intégralement séparé de lui. N'étant pas en mesure de traiter ce qu'il veut connaître comme un objet, il ne saurait ni le décrire ni le démonter à la manière d'un mécanisme.

    Citation

         Au cours de l’histoire humaine, les philosophes ont toujours échoué à définir ce qu’est la conscience, et c’est un proverbe bouddhiste qui explique le mieux cet échec récurrent en formulant l’adage selon lequel « un couteau ne peut se couper lui-même ».
         La physique quantique n’échappe pas à cette difficulté, mais apporte un élément de compréhension intéressant en expliquant la structure vibratoire du « champ informationnel originel », ce champ que les sages de l’Inde ancienne appelaient l’Akasha et que les physiciens modernes appellent le « champ du point zéro » pour exprimer que tout ce qui existe provient de lui. Il y a une convergence manifeste entre la vision cosmologique actuelle et la pensée du prêtre jésuite français Pierre Teilhard de Chardin (1881-1955) - qui était à la fois chercheur, paléontologue, théologien et philosophe - lorsqu’il parlait d’un « point Oméga » représentant le point ultime du développement de la complexité et de la conscience vers lequel se dirigerait l’Univers.
         Pour accéder à plus d’informations, il nous faut donc élever notre niveau vibratoire. Pour ce faire, nous pouvons agir à deux niveaux : sur le plan physique en adoptant un mode de vie facilitant le processus d’acétylation de l’ADN ; et sur le plan spirituel en pratiquant le dialogue avec notre « Moi intérieur » (notre Esprit) qui se situe à des fréquences plus élevées que notre corps physique et qui s’avère toujours bienveillant à notre égard et disposé à nous aider pour autant que les désirs exprimés ne soient pas motivés par l’ego. L’institut Monroe, aux États-Unis, qui étudie depuis cinquante ans les expansions de conscience l’a, à ce titre, dénommé « ISH » (pour « Inner Self Helper » ou « auto-assistance intérieure »). Mais le moyen le plus efficace pour accéder à plus d’informations du champ originel reste la méditation, qui consiste à calmer son corps mental par la concentration, à se désidentifier de ses différents corps (physique, émotionnel, mental) et de sa personnalité pour s’identifier alors à son « vrai Moi », son Moi intérieur.
    https://www.youtube.com/@jeangayral2156

     

  3. Il y a 4 heures, Mickaël MCD a dit :

    C'est chelou, je suis allé voir le site du magazine "Inexploré".

    A part  une couv avec un homme, une couv avec un enfant et une couv sans personne dessus, toutes les autres couv sont des femmes, principalement des visages de femmes.

    Quand je disais "tout dépend du niveau", je ne pensais pas que c'en était à ce point-là !

  4. Citation

    La réalité absolue est pré-langagière
         « Le monde du langage, qui est à la base de notre perception de la vie, impose une réalité déjà tronquée. Le monde de la saisie, de ce que je fais mien ou vôtre, c’est cela qui est à l’origine de l'illusion de séparation entre le monde intérieur et le monde extérieur. Le langage n’est que l'expression de ce malentendu”, de cette perception erronée des choses », explique maître Wang-Genh. L’abbé recommande évidemment la pratique de la méditation pour appréhender cette expérience non dualiste, où réalité intérieure et réalité extérieure ne sont plus deux, mais une. Et si la pratique du Zazen représente un espace de connexion à la réalité absolue, maître Wang-Genh ajoute que « tout instant vécu au-delà du langage est susceptible de nous faire réaliser que nous sommes des êtres cosmiques. Cela peut être la contemplation d’un clair de lune, l’absorption dans la beauté de la nature, le rire d’un petit enfant... »
         La réalité absolue, si elle se situe par-delà le langage, cohabite avec la réalité individuelle. L’affirmation d’une réalité n’annule pas l’existence de l’autre. « On pense connaître la conscience, au sens cosmique, mais on ne connaît rien ; au mieux, on en explore quelques bribes, rien de plus. Nous ne sommes que conscience, et en Occident, on réduit l’étude de la conscience à la conscience de soi, alors que la conscience est élastique, elle peut se contracter et se dilater complètement. La dilatation totale est la conscience cosmique, la réalité absolue, tandis que les perceptions subjectives du réel sont des contractions de la conscience. C’est précisément cela qui fabrique la réalité relative, les contractions temporaires de la conscience », explique l’abbé. Maître Dogen, moine zen du XIIIe siècle, écrivait ainsi que « la pleine lune se reflète dans l’eau. La lune n’est pas mouillée. L’eau n’est pas troublée. » Les deux réalités existent, mais ne se dérangent pas.

    https://www.inexplore.com/magazines/Inexplore-60

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