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Christian DELAMORINIERE

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Messages publiés par Christian DELAMORINIERE

  1. Citation

         Il est crucial de reconnaître que l'amour, dans ses nombreuses formes et expressions, ne se prête pas aisément à une classification stricte dans les termes politiques de gauche ou de droite. L'amour transcende les divisions politiques et peut être vécu, exprimé, et valorisé de manières qui dépassent les idéologies. Une telle analyse par l'IA refléterait non seulement les limites des technologies actuelles en matière de compréhension des nuances humaines, mais aussi les complexités inhérentes à l'application de catégories politiques à des expériences humaines fondamentales et universelles.
    GPT4

    Open AI lance SORA qui crée les vidéos parfaites entièrement générées par intelligence artificielle :

  2. Citation

         L'utilisation de l'intelligence artificielle (IA) pour catégoriser des concepts, des idées, ou des activités comme étant de "gauche" ou de "droite" repose sur l'analyse de données et de textes disponibles publiquement. Ces systèmes d'IA analysent souvent des articles d'opinion, des blogs, des discours politiques, et d'autres sources textuelles pour identifier des schémas de langage et des associations qui tendent à se manifester chez les individus ou groupes politiquement à gauche ou à droite.

         Voici quelques explications possibles sur pourquoi un système d'IA pourrait catégoriser l'illusionnisme comme étant de "gauche" et le mentalisme comme étant de "droite" :

    1. Associations culturelles et historiques : L'IA peut identifier des associations historiques ou culturelles qui lient certaines pratiques artistiques à des mouvements sociaux ou politiques. Par exemple, si l'illusionnisme a été historiquement associé à des mouvements populaires, des formes d'expression contre-culturelles ou des mouvements sociaux progressistes, cela pourrait expliquer son classement à gauche. Inversement, si le mentalisme est perçu comme plus élitaire ou associé à des cercles plus conservateurs ou traditionnels, cela pourrait justifier sa classification à droite.
    2. Analyse du langage et des thèmes : L'IA examine le langage et les thèmes associés à ces disciplines dans les médias et les textes. Si les discussions autour de l'illusionnisme incluent souvent des thèmes comme l'émerveillement, la surprise, et l'accessibilité à tous, qui peuvent être interprétés comme des valeurs plus progressistes, cela pourrait influencer sa classification. À l'inverse, si le mentalisme est souvent discuté en termes de contrôle, de perspicacité et d'exploitation des secrets psychologiques, ces thèmes pourraient être perçus comme alignés avec des valeurs plus conservatrices ou autoritaires.
    3. Sesgos dans les données : Il est également possible que le système d'IA reflète les biais présents dans les données sur lesquelles il a été entraîné. Si la majorité des textes associant l'illusionnisme à des valeurs de gauche et le mentalisme à des valeurs de droite présentent un certain biais, l'IA pourrait reproduire ces associations sans qu'elles reflètent nécessairement une réalité objective ou un consensus large.

         Il est important de noter que ces classifications par l'IA ne sont pas infaillibles et doivent être prises avec prudence. Les concepts de "gauche" et de "droite" sont complexes et varient grandement selon les contextes culturels, historiques, et individuels. De plus, l'art et les disciplines comme l'illusionnisme et le mentalisme peuvent être interprétés de multiples façons qui dépassent les clivages politiques simples.
    GPT4

     

  3. Il y a 5 heures, Mickaël MCD a dit :

    J'ai du mal à croire qu'on soit le seul cheminement qui puisse arriver à la conscience.

    L'homme n'est pas le seul cheminement pour arriver à la conscience, le monde animal et végétal l'est aussi. Avec ces histoires de création de conscience, Raphaël Enthoven rappelle simplement  le fait que, de tout temps, l'homme a essayé de se prendre pour Dieu !

  4. il y a 11 minutes, Mickaël MCD a dit :

    A mon avis, le fonctionnement d'un cerveau est reproductible, la conscience doit pouvoir y naître.

    On en revient toujours au même débat : le cerveau ne sécrète pas la conscience, mais c'est la conscience qui se manifeste dans le cerveau. On peut difficilement imaginer comment elle pourrait se manifester dans un système informatique figé.

  5. il y a 13 minutes, Christian DELAMORINIERE a dit :

    ...et si on la construit à partir de cellules souches neurales vivantes ?

    Citation

         L'idée de bio-ordinateurs, en particulier ceux liés à des cellules souches neurales, relève d'un domaine de recherche avancé à l'intersection de la biotechnologie, de l'informatique et des neurosciences. Ces systèmes cherchent à exploiter les capacités de calcul des cellules biologiques, en particulier des neurones, pour créer des dispositifs de calcul qui pourraient théoriquement surpasser les capacités des ordinateurs traditionnels en termes d'efficacité énergétique et de capacité à gérer des tâches complexes, comme le traitement du langage naturel ou la reconnaissance de motifs.
         Quant à la question de savoir si ces bio-ordinateurs pourraient développer une conscience, cela soulève des questions profondes et complexes qui touchent à la fois à la science et à la philosophie. Voici quelques points à considérer :

    1. Définition de la conscience : Il n'existe pas de consensus sur ce qu'est exactement la conscience ou comment la mesurer. La conscience est souvent décrite comme l'expérience subjective ou la qualité de l'expérience vécue, quelque chose qui est intrinsèquement difficile à quantifier ou à détecter de l'extérieur.
    2. Complexité neuronale : La conscience, telle que nous la comprenons chez l'homme et d'autres animaux, est le résultat de réseaux neuronaux extrêmement complexes et de leur interaction au sein du cerveau. Simplement connecter des bio-ordinateurs à des cellules souches neurales ne garantit pas la réplication de cette complexité ou des dynamiques nécessaires à l'émergence de la conscience.
    3. Éthique et limites : La recherche dans ce domaine est fortement encadrée par des considérations éthiques, en particulier concernant la manipulation de cellules souches neurales et la création potentielle de systèmes qui pourraient, en théorie, expérimenter quelque chose d'analogue à la douleur, au plaisir ou à d'autres états de conscience.
    4. Technologie actuelle : Bien que la recherche progresse, la technologie nécessaire pour créer des bio-ordinateurs capables de rivaliser avec la complexité du cerveau humain ou d'autres systèmes biologiques conscients est encore loin d'être réalisée. Les progrès dans ce domaine sont constants, mais les défis techniques et éthiques demeurent considérables.

         En conclusion, bien que la construction de bio-ordinateurs connectés à des cellules souches neurales soit un domaine de recherche prometteur, la possibilité qu'ils développent une forme de conscience reste, avec les connaissances et technologies actuelles, spéculative et loin d'être réalisée. Les discussions autour de ces questions continuent de pousser les limites de notre compréhension de la conscience, de la technologie et de l'éthique dans la recherche scientifique.
    GPT4

     

  6. Il y a 1 heure, Patrick FROMENT a dit :

    Si quelqu’un de suffisamment averti passant par ici pourrait m’éclairer, ce serait bien…

    Qui de plus averti actuellement que GPT4 ?

    Citation

         La question posée par Gérard Miller dans son ouvrage "Hypnose mode d'emploi" soulève un point fondamental dans la compréhension de l'hypnose : la tension entre la malléabilité apparente de l'individu sous hypnose et la persistance d'une conscience morale résistante à certaines suggestions. Cette interrogation peut être abordée sous plusieurs angles, notamment celui de l'étatisme versus l'interactionnisme social dans la conceptualisation de l'hypnose.

         L'étatisme, dans le contexte de l'hypnose, fait référence à l'idée que l'hypnose induit un état modifié de conscience distinct, une sorte d'état spécial dans lequel des phénomènes uniques peuvent se produire, tels que la réceptivité accrue aux suggestions, sans pour autant éliminer totalement la conscience morale ou le libre arbitre de l'individu. Les partisans de cette perspective pourraient interpréter la question de Miller comme une exploration des limites de cet état modifié, suggérant que même au sein de cet état, il existe une sorte de "noyau dur" de la personnalité ou de la conscience morale qui reste intact et résistant à la manipulation.

         D'autre part, la définition de Kihlstrom de l'hypnose comme une interaction sociale met l'accent sur les aspects relationnels et contextuels de l'hypnose. Selon cette perspective, l'hypnose ne crée pas un état spécial de conscience, mais fonctionne plutôt à travers les dynamiques de pouvoir, d'attentes, et les rôles sociaux joués tant par l'hypnotiseur que par la personne hypnotisée. La résistance de la conscience morale à certaines suggestions peut alors être vue comme le résultat de normes sociales, de croyances personnelles, et de la dynamique de la relation entre l'hypnotiseur et l'individu, plutôt que comme une limite intrinsèque à un état de conscience modifié.

         La question de Miller, en se concentrant sur la "résistance" de la conscience morale, peut être interprétée de façon à ne pas s'aligner explicitement sur une position étatiste. Plutôt, elle invite à une réflexion sur la complexité de l'expérience hypnotique, reconnaissant à la fois l'influence des facteurs sociaux et relationnels (en ligne avec Kihlstrom) et la présence d'une intégrité psychologique ou morale qui peut transcender ces influences. Cela suggère une compréhension de l'hypnose qui n'est pas strictement réductible ni à un état spécial de conscience ni à une simple interaction sociale, mais qui reconnaît les contributions de chaque perspective.

         En résumé, la question posée par Miller peut être vue comme transcendant le clivage étatiste/interactionnisme social, proposant une vision plus nuancée de l'hypnose qui reconnaît la complexité des interactions entre l'état de conscience, la dynamique sociale, et la conscience morale de l'individu.

     

    • Haha 1
  7. il y a 17 minutes, Mickaël MCD a dit :

    Moi je parle de personnes qui veulent apprendre à faire le cube.

    C'est à dire qui ont une démarche personnelle et active.

    Entre le magicien qui a juste besoin de reseter son cube et le passionné, il peut y avoir 500 algorithmes de différence :

     

  8. Il y a 5 heures, Mickaël MCD a dit :

    Yes effectivement, mais ça ne sert pas à grand chose 😁

    • Un débutant va d'abord s'entrainer à la croix.
    • Et après s'entrainer au deuxième étage (second layer).
    • Et ça n'a aucun intérêt de faire faire la croix au robot...

         Évidemment, c'est pas au début que ça pose un problème de tout recommencer, mais à la fin 😁
         Moi je parle de vécu, avec des collégiens prêts à jeter l'éponge en étant obligés de se remorfler tout le cube à deux doigts de la fin. Le robot est alors bienvenu pour travailler un algorithme long et difficile qui a la particularité de tout désorganiser dans le cube au moindre faux pas.
         De cette manière, tous les algorithmes peuvent être répétés autant de fois que nécessaire pour atteindre l'automatisme et la progression en devient beaucoup plus rapide.

         Pour tous les débutants qui n'ont pas encore appris le cube parce qu'ils pensent que c'est difficile, je pense que la méthode la plus FACILE à MÉMORISER est celle des Cubart Brothers dont voici un extrait :

  9. Il y a 2 heures, Mickaël MCD a dit :

    Faut savoir faire un cube ! Le robot va devoir être initialisé, faudra placer le cube fait au moins une fois.

    • Il y a également la possibilité de réinitialiser le cube (mais c'est évidemment plus long) en prenant une photo de chacune de ses faces.
    • Si l’on initialise le cube dans une configuration donnée, cela permet de toujours retourner à cette configuration quels que soient les mélanges.
    • Enfin, il n'y a pas que les mélanges complets : les mélanges partiels (croix blanche, 1e & 2ème couronne, croix jaune...) permettent d'apprendre le cube aux débutants en ne les obligeant pas à tout recommencer à chaque fois qu'ils se plantent en cours d'apprentissage.
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