Tableau d'honneur
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Showing content with the highest reputation on 07/31/25 dans Messages
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https://www.facebook.com/share/1GgpJcCKyH/ Le règlement interdit de manière explicite les vidéos faisant la promotion d'artistes. Or, parmi les finalistes, on avait une vidéo promotionnelle d'artiste (très bonne, au passage, sur le thème de James Bond) et un reportage (le vainqueur) sur un couple d'artistes, sans effet magique. Il était demandé explicitement aux participants de créer une œuvre scénarisée (pour éviter les simples tours filmés), en insistant sur le fait que les montages vidéo ne devaient pas permettre de cacher une manipulation, etc. (Un comble pour un prix "Méliès") Donc, implicitement, il était aussi demandé aux participants de montrer des effets magiques. Je trouve que le nouveau règlement est bien meilleur, puisque beaucoup plus libre et ouvert à tous les vidéastes, même s'ils ne sont pas magiciens.2 points
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J'ai pu échanger avec Peter DIN (FISM Academy Director) au sujet de ma réponse : et du message de Otto : Avec son accord, je publie son message : Thomas, tu expliques bien les choses. En revanche, je suis plus réservé sur certains éléments avancés par @Otto WESSELY, qui me semblent s’éloigner un peu de la réalité. Le fait que @Dani LARY ait présenté un seul tour n’a absolument pas influencé l’attribution des prix. Certes, il n’a pas totalement respecté le cadre initial, mais cela a été clarifié rapidement, et les juges ont estimé que sa prestation comportait bien deux effets. Cela n’a donc eu aucun impact négatif sur la notation. Concernant les résultats, Dani a été évalué au même titre que tous les autres participants, sur la base de ce qu’il a présenté. Il a obtenu 70 points, ce qui est une très bonne note, correspondant à un niveau équivalent à un deuxième prix — même si cette notion n’a de sens que pour les juges dans le cadre de leur grille d’évaluation. Je me demande si Otto faisait référence à une autre représentation, car si Dani a rencontré un bon accueil, parler d’une standing ovation de plusieurs minutes avant et après me paraît un peu exagéré. L’appréciation du public est bien sûr prise en compte par les juges, mais elle est surtout observée pendant la routine. Les applaudissements ou ovations de fin, bien que touchants, n’ont qu’un poids relatif dans l’évaluation finale — surtout lorsqu’elles sont parfois un peu encouragées par les équipes. Je comprends que Dani ait pu être déçu, car son passage était de qualité. Mais d’autres concurrents ont, cette année, proposé des choses encore plus marquantes. C’est la réalité d’une compétition : la notoriété, quelle qu’elle soit, n’entre pas en ligne de compte dans les délibérations.1 point
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Cette article nous parle de la magie de voir de la magie en vrai (contrairement aux effets spéciaux sur écran). https://www.fangoria.com/stranger-things-the-first-shadow-behind-the-scenes Je vous mets la traduction ici : Regardez la bande-annonce de Stranger Things : The First Shadow ci-dessous. Qu'en penses-vous ? @Taha MANSOUR je crois que tu eu la chance de le voir ?1 point
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Hey ! Oui je l'ai vu 2 fois ! Et là dedans il y a des effets magiques qui servent la narration d'une manière remarquable ! Des changements de décors instantanés, des effets spéciaux, des lévitations et même des éléments que l'on aurait pu imaginer que dans un film. Vraiment remarquable !1 point
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Merci pour ton retour. Tu sembles parler des vidéos de l'année. Je pensais que tu parlais des numéros sur scène. Ce prix est différent des championnats de France. Il fait parti de tout une série de prix qui ont été ajoutés au fil des années et pour la plupart, comme celui-ci, sont des partenariats avec d'autres entités genre CIPI ou OEDM.1 point
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De quels manquements parles-tu? Si tu peux étayer tes dires par faits concrets c'est cool.1 point
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Concours des vidéos de la FFAP du Touquet : le gagnant ne respectait pas du tout les règles et très, très peu de gens ont trouvé quelque chose à y redire (parce que je crois que les gens se fichent un peu de ce concours et que quand on est dans un petit monde où tout le monde se connaît, les passe-droits deviennent malheureusement vite inévitables) D'ailleurs, sur les trois sélectionnés, un seul respectait les règles (il faut reconnaître qu'il y avait aussi visiblement pénurie de candidats, sans doute en raison d'une mauvaise communication). Depuis, les règles ont été modifiées. Détail amusant : la vidéo qui a gagné au Touquet est dans les clous de ces nouvelles règles.1 point
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Moi je me méfie des passe-droits qui avantageraient les uns au détriment des autres. Cette réflexion ne concerne en aucun cas Dani Lary ni sa créativité ou sa carrière. Imaginez qu’on attribue un prix à quelqu’un qui n’a pas respecté les règles d’un concours : il y aurait de bien légitimes contestations car ce serait scandaleux et injuste pour celles et ceux qui se seraient pliés auxdites règles (et donc auraient eu des contraintes supplémentaires). Ma réflexion ne concernait d’ailleurs pas vraiment cette question. Je disais juste qu’il était d’une inspiration douteuse que de ne pas respecter les règles d’un concours. Pourquoi prendre ce risque ? Peut-être Dani a-t-il été mal conseillé, peut-être que les règles n’étaient pas claires ? C’est dommage car maintenant il est facile de dire que son numéro n’a pas été primé pour la seule raison qu’un seul tour a été présenté (si j’ai bien lu les interventions précédentes) et on ne saura jamais ce qu’il serait advenu dans le respect des règles. Si le numéro de Dani méritait de gagner alors c’est vraiment ballot que de n’avoir pas joué le jeu (pour des raisons qui m’échappent, et c’est seulement ça qui est au cœur de mon questionnement). Mais tout cela n’est que supputation, je ne suis pas dans le secret des dieux.1 point
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Article - rédigé par la journaliste Delphine - prévu pour la Presse Française : Double champion du monde ? Pourquoi Dani Lary a été privé d’une reconnaissance historique à la FISM Chapeau : Ovationné pendant plus de deux minutes par 2 000 spectateurs à Turin, Dani Lary a livré un numéro d’une pureté rare lors du Championnat du monde de magie 2025. Pourtant, l’illusionniste français n’a pas été primé : la rigidité du règlement et des contraintes administratives l’ont privé d’une reconnaissance officielle, posant la question du rôle de la FISM et de son équilibre entre exigence et souplesse. 1. La FISM, vitrine mondiale de la magie La Fédération Internationale des Sociétés Magiques (FISM) est depuis plus de soixante-dix ans le rendez-vous incontournable des magiciens du monde entier. Véritables "Jeux Olympiques de la magie", ses championnats visent à célébrer l’excellence et la diversité artistique dans toutes les disciplines : close-up, manipulation, grandes illusions… L’édition 2025, organisée à Turin, a une fois de plus rassemblé des centaines d’artistes venus des quatre coins du monde, confirmant le prestige de l’événement. 2. L’exemple Dani Lary : quand la règle prime sur l’art Cette édition restera toutefois marquée par la controverse autour de la participation de Dani Lary, figure emblématique de la magie française. Dès son arrivée sur scène, l’artiste a déclenché une vague d’applaudissements et d’engouement de la part des 2 000 spectateurs présents dans la salle. Son numéro, Gloop, centré autour d’un aquarium, a été couronné d’une standing ovation de plus de deux minutes, au point que l’animateur a dû réclamer le silence avec difficulté pour introduire le passage suivant. La volonté de Dani Lary était de rester dans la pureté du numéro, débarrassé de tout artifice superflu, en assumant un minimalisme rare dans les grandes illusions. Ce choix, salué par le public, a pourtant été pénalisé par le règlement, qui considère qu’un seul "effet" ne suffit pas à concourir. « Ce numéro d’escapologie que j’ai présenté en hommage au célèbre magicien Harry Houdini, le Gloop, est à ce jour toujours incompris de tous les magiciens. C’est unique au monde. Jamais personne ne l’avait fait : c’est du 100 % invention, du 100 % créatif et novateur. Rien que pour ça, ils auraient dû se dire : “ce numéro fait avancer la magie à un haut niveau” », confie Dani Lary. Malgré l’innovation reconnue de son numéro, le règlement a prévalu : Dani Lary a été considéré comme n’ayant présenté qu’un seul effet et a perdu de précieux points. 3. Une rigidité qui interroge La FISM doit-elle rester intransigeante pour préserver l’équité ? Si la rigueur administrative garantit des conditions standardisées, elle peut aussi étouffer la créativité. Le cas Dani Lary illustre un déséquilibre potentiel entre prestige institutionnel et ouverture artistique. Gloop n’a jamais été expliqué ni reproduit ; il reposait sur un procédé totalement inédit. « J’ai gardé ce numéro pour le jour d’un congrès mondial parce que je savais que c’était une pépite », explique l’artiste, qui refuse encore de le vendre à d’autres magiciens tant il le juge unique. Dani Lary estime que ces inventions véritablement nouvelles devraient être davantage valorisées. « Ce sont ces numéros-là qui font avancer la magie », insiste-t-il. Encadré : “Un moment suspendu dans la salle” « Dès qu’il est apparu, on a senti une énergie incroyable. Les spectateurs se sont levés presque instinctivement et ont applaudi sans discontinuer pendant plus de deux minutes. L’animateur a eu toutes les peines du monde à calmer la salle pour enchaîner », raconte un membre de la communauté magique sur le forum Virtualmagie. Ce témoignage reflète l’intensité de l’émotion vécue dans la salle : un numéro salué par un public conquis. 4. Peu de précédents documentés À ce jour, aucun autre cas comparable — où un artiste majeur aurait été pénalisé pour quelques heures de retard ou pour un numéro jugé "trop minimaliste" — n’a été largement documenté. Ce cas reste donc isolé, mais soulève une question essentielle : certaines règles ne limitent-elles pas inutilement l’innovation et l’émotion scénique ? 5. Vers un équilibre à trouver Pour rester fidèle à sa mission, la FISM gagnerait à : Introduire une marge de tolérance sur les délais administratifs ; Valoriser la diversité expressive, y compris les styles minimalistes et novateurs ; Renforcer le soutien logistique auprès des artistes, quelle que soit leur renommée. 6. Conclusion Le prestige de la FISM repose sur un juste équilibre entre excellence artistique et rigueur organisationnelle. L’affaire Dani Lary rappelle que la magie est d’abord un art de l’émotion et de l’innovation. Le Gloop, salué par 2 000 spectateurs debout à Turin, a démontré qu’un seul numéro peut marquer durablement les esprits. Pour préserver sa crédibilité, la FISM doit évoluer vers davantage de tolérance et accompagner pleinement les artistes, au lieu de les freiner.1 point
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C'est beau, c'est très beau, sur le fond et sur la forme ! Eden est surement la version là plus aboutie du "bras long". Un thème hyper intéressant et profond. Pas d'équivoque, 52 possibilités. Les cartes sont sublimes, la révélation au ruban du tableau est d'une précision chirurgicale (le boulot du graphiste est dingue). Reset en quelques secondes. Une heure de vidéo d'explication en compagnie de Sylvain et @Yoan TANUJI, le ping pong verbal entre les deux est génial : origine du tour, explication de la routine, théorie, philosophie, variantes... Pour sublimer le tout un très jolie packaging. En plus du jeu on reçoit dix cartes tableaux de grands maîtres. Peut être l'occasion de se replonger dans des tours de petits paquets. On ne peut qu'espérer qu'un jour Sylvain nous écrive un livre... entre tours, théories et philosophie. Les éditeurs ne manquent pas en France. Peut être @Frantz RÉJASSE (CC edition)1 point
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