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Publié le

Entièrement d'accord avec Gérard et je donne mon explication : Effectivement le choix est multiplié par 10 voir par 100 , puis des sites comme le mémo .com font un RAVAGE considérable , les clients pensent que tous les magiciens coutent 200 Euros TTC quelque soit le matos amené , les deplacements effectués ou les charges sociales à régler . Sans oublier que "des petits rigolos" qui font un métier parfaitement rémubnéré la semaine peuvent maintenant s'étaler sur le NET sans bourses déliées pour la PUB et les mailing , comme avant , et casser les prix 1 exemple : Animation de Fin d'année +DJ+Numéro de magie le tout par le même homme ..........150 Euros !!!!!!! Biensur au Black !!!

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Publié le (modifié)

Je crois que je le connais...

C'est celui qui pour 150 € au black fait le pere noel, saint-nicolas et le pere fouettard, la mascotte à l'arrivée des enfants dans la salle, 2h de spectacle sur scène, des ballons sculptés à tous les enfants, la boum des enfants, le feu d'artifices en extérieur, et la soirée dansante pour les parents jusqu'à 6h du matin...

Faut dire qu'il n'a pas trop de mérite vu qu'il est fonctionnaire, il a toute la semaine pour se reposer...

Modifié par jimi-pascal
Publié le

- Face à ce genre de problème une petite visite courtoise mais "ferme" permet généralement de faire évoluer les choses car ce genre d 'individu tient à conserver son emploi fixe..

De plus, il est très mal vu dans l' administration d'avoir une telle brebis galeuse dans son sein...

Un courrier recommandé envoyé au domicile du petit rigolo, à titre d'avertissement, a également un certain impact..

Bilan : il faut systématiquement réagir et par la même occasion cela incite indirectement certaines autres personnes à ne pas se comporter de la sorte..

Observation : Par contre le problème reste entier lorsqu'on a en face de soi une personne qui se brade afin de pouvoir toucher des indemnités Assedic.. Ce n'est pas mieux..

Don Jose de Murcia

www.donjosedemurcia.com

Publié le

tout avanc n'est ni bonne ni mauvaise, c'est ce qu'on en fait qui décide quel chemin on prend (sa fait un peu poète à l'eau de rose mais c'était pas ce que je voulais donner.)

Si quelqu'un arrive à comprendre cette histoire... c'est que j'aurai échoué.

Publié le (modifié)
vu qu'il est fonctionnaire, il a toute la semaine pour se reposer...

Euh ... je suis aussi fonctionnaire !!! (et prof par dessus le marché tongue.gif )

Et je suis à plus de 35h par semaine alors vas y molo ;) !!

Et plus comble de tout je fais des prestations :blush: !! Ouh que c'est vilain !!!

PS : c'est du second degrés (sauf pour les heures, là je plaisante pas :( ), je précise car c'est rare chez les fonctionnaires ... !!

Modifié par Spiouf

Pour mieux comprendre le réel, il faut parfois passer par l'imaginaire...

http://sebastienfourie.monsite.orange.fr/

Publié le

Bonjour Gerard,

En ce qui me concerne, "Internet" n'a pas fait diminué le prix de mes cachets.

Mais m'a permit de voir que certain faisait des close up pour 50 euro. (lol) Mais bon chacun son prix....

C'est la même chose pour les voitures... une fiat coute moins qu'une BMW (lol)

Je suis de temps en temps engagé par des clients qui me disent "ah vous savez l'année passée j'avais engagé un magicien pour la moitié de votre prix, mais il n'est pas venu !"

Ou "Il était moins cher que vous, mais c'était un bricoleur"

Moi je dis juste que certain sont encore trop cher même au 1/5e voir au 1/10e d'un tarif normal.

Magicalement

Carl Valentin

Magicien : mon rêve, ma passion, mon métier.

Publié le
Internet est un outil très moderne, mais tout le monde est d'accord pour dire qu'il a fait baisser le tarif de nos cachets ..............

Alain BERNARDIN du CRAZY HORSE augmentait automatiquement les cachets chaque année sans que l'on le lui demande. Maintenent ils diminuent le cachet sans que ce soit necessaire de le demander, c'est automatique. Et cela sans internet.

otto

(faites vos dons à mon adresse habituelle) tongue.gif

www.ottowessely.fr

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
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