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Le Bon Coin de Sylvain MIROUF


Thomas BNZK

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Oui on parle bien de deux effets différents ici qui n'ont rien à voir l'un avec l'autre et que l'on peut évidemment mettre dans même numéro.

Il faut toujours deux jeux pour faire ce tour, mais un seul sera visible.

Carl : "Promonition n'est pas le même effet, c'est une carte manquante, dans un jeu, c'est à mes yeux beaucoup moins fort pour le spectateur, car le magicien peut cacher, ou dissimuler la carte."

Dans Premonition, le spectateur ne peut pas penser que le magicien dissimule la carte puisque le jeu est sur la table bien en vue, et c'est le spectateur qui ouvre l'étui et qui vérifie qu'il n'y a pas la carte nommée. c'est là la beauté de cet effet.

Gaetan Bloom a aussi une version et c'est lui qui a créé l'histoire servant à la routine de Christian Chelman "L'immortel".

Dans son intro, Christian Chelman rappelle que le tour est à l'origine de William McCaffrey ("Prize-Winner") et qu'il a été ensuite popularisé par Eddie Joseph.

Modifié par Melvin

Melvin

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Ouverture d'une parenthèse (

OK Melvin, mais crois moi, c'est le magicien qui perçoit la différence si je puis dire, pour le spectateur une carte pensée et posée seul sur une table, est beaucoup plus fort, car moins de parasites visuels.

Quelques effets avec trop de parasites visuels ;

1. Les effets avec 2 jeux : beaucoup moins fort pour le spectateur car trop de paramètres.

Il faut savoir que le jeu BrainWave est tué car des millions d'exemplaires furent vendu au publique, par conséquence cela devient connu puisque tous les moldus aimant la magie possèdent ce jeu.

2. Les ACAAN sont aussi des effets pour magiciens qui n'intéressent pas le public ou très peu.

Pourquoi ? parce que c'est trop lent, trop compliqué, il faut compter un nombre de carte, etc. )

Donc pour résumé : l'intérêt du tour présenté par notre ami Sylvain, vient du fait qu'il est très simple à suivre pour le spectateur, il est mis en scène comme un pari fou, il amuse les spectateurs par son texte, sans oublier de susciter l'intérêt des magiciens présent lors de la séance au Double Fond, bref cet effet ainsi présenté possède tous les ingrédients nécessaire à son succès.

Sylvain Président ! ah non ça c'est pas possible...

Sylvain à la TV : ah non c'est plus pour les magiciens la TV .... dommage !

Carl Valentin

Magicien : mon rêve, ma passion, mon métier.

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Max Maven avait présenté, en ouverture, une version de cet effet à un congrès de Mephisto's Huis : Un étui de cartes dépasse de sa pochette, un spectateur cite le nom d'une carte, il ouvre l'étui et en tombe la carte choisie. il n'y a rien d'autre dedans. MM déchire l'étui .....

Il faut la voir présentée par Max Maven.

T'as vu ? Y'en a plus !

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quelle année cette année là au mephisto week-end !!!!!

max maven - eugene burger - tamaris - etc...

quel anniversaire !!!!

Mon dieu, je crois que je ferais une crise cardiaque si je me retrouvais devant ces 3 génies.

Sinon, je trouve aussi que l'effet de la carte unique a plus d'impact que l'effet de la carte manquante. Il y a quelque chose de plus esthétique, de plus pur, à mon sens.

Ça fait quelques temps que je joue avec ce plot. J'ai une méthode "personnelle" (je ne revendique la paternité d'aucun des principes que j'utilise, juste, à la rigueur, la façon de les marier...) qui permet de le faire en toute situation, et de le présenter comme une production ou comme une prédiction.

Si je dois ne faire qu'un tour, c'est souvent celui là. Il permet de faire passer pas mal d'émotions différentes, et marque durablement.

Bref, j'ai jamais de jeu de carte sur moi, mais j'ai toujours une carte.

J'hésite à me fabriquer des étuis fins ne pouvant contenir qu'une seule carte, avec mes coordonnées dessus, mais je crois que je préfère que les gens garde la carte dans leur portefeuille. Bwef, je me tate...

La version de Sylvain est un vrai bijou. Je ne connais pas la méthode, mais l'ambiance qu'il crée avec est un régal.

Octobre paraît bien loin maintenant...

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  • 2 months plus tard...
Ce tour prend sa source il y a plus de 20 ans...avec Arsène... J'ai développé toute une théorie sur ce concept. Vous trouverez une première approche explicative dans mon prochain livre à paraître en octobre prochain. Prenez soin de vous.

Je fais remonter apres publication de l'attendu bouquin,

Des précisions sur la "première approche explicative" ?

Modifié par ThomasB

Thomas B

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    • Sensibilisation des chiens à la politique :  
    • Bonjour  Voilà un article du figaro sur le sujet  Bonne journée  Philippe  https://www.lefigaro.fr/culture/le-magicien-etait-une-femme-trente-ans-apres-le-magic-circle-rehabilite-une-travestie-20250424
    • « Si vous voulez… »   Dear Jean, « Si vous voulez… », suivi d’une pause dramatique Slydinienne, puis d’une vérité plus ou moins assassine, c’était votre phrase récurrente, votre tic verbal. C’était le signe de ralliement, le début des hostilités, l’entrée dans la Merlinosphère. « Si vous voulez », c’était comme le « Say Please » de Goshman, le « It can’t be done any slower » de René Lavand,  le « Watch! » de Richiardi. Dès que le premier « si vous voulez » fusait, ça ne rigolait plus et il fallait se préparer à la suite.  Si vous voulez…  Ben oui Jean, on voulait bien. On voulait bien venir chez vous pour la bonne bouffe, l’apéro à la carte et le menu confectionné sur mesure, par vos soins : les mêmes mises en pages, les mêmes polices de caractère que Mad Magic, mais un numéro spécial rien que pour vos invités ! On repartait gonflés d’importance, une relique entre les mains et des idées plein la tête.   On voulait bien venir pour une anecdote « c’était mieux avant », ou savoir s’ « il était gentil Slydini ?». Et puis, au cours de la soirée, cueillis comme les spectateurs qui ne voyaient pas la boulette partir, on découvrait que c’était vous qui posiez le plus de questions. Le passé restait à sa place et vous partagiez le dernier spectacle vu à Londres, le futur voyage planifié  avec votre bénite Patricia, ou votre enthousiasme pour le miraculeux Yann Frisch, grâce à qui c’est mieux maintenant aussi.   Ben oui Jean, on voulait bien.    On voulait bien venir chez vous avec la timide intention de vous acheter tel ou tel ancien numéro de Mad Magic ou autre livre. En serrant un peu les fesses, parce qu’avec vous, on ne rigolait pas avec le pognon. Un sou est un sou, voire deux, en comptabilité Merlin. Et puis on ressortait toujours content : d’abord, vous vous êtes sans doute fait arnaquer sur tous vos livres, ils valent chacun trois fois leur prix. Ensuite, parce que votre sens de l’accueil et de la fidélité sont toujours restés hors-commerce.    Ben oui Jean, on voulait bien.    On voulait bien être littéralement convoqué  (car il n’y a pas d’autre mot) chez vous, après votre visionnage de « In & Of Itself » de Derek DelGaudio. « Et je vous préviens, il n’y aura pas de vin car j’ai des questions précises à vous poser et je souhaite rester concentré ». Nous sommes restés concentrés, les questions ont été posées, et puis il y a quand même eu un peu de vin après.    On voulait bien se rappeler, au fil des visites, que derrière « Tonton Merlin », ultra-organisé et un brin cabotin, se cachait l’hypersensible Jean. Il fallait le mériter, celui-là. Une routine en plusieurs phases. Ce Jean-là, c’était l’artiste à fleur de peau. Il ne parlait plus de la meilleure façon de négocier son cachet ou ranger ses ballons, mais de spectacles passés et à venir, du métier d’artiste et de sa finalité sur Terre. Son œil scintillait à l’évocation du music-hall. Il s’embuait parfois aussi.    Ben oui, dear Jean, on voulait bien.   Et on aurait bien voulu encore un peu plus longtemps.     Sébastien Clergue 
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