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Publié le (modifié)

Bonjour à tous.

Je vous propose un petit "sondage", mais à la manière de "Amélie Poulain", ou au début chaque personnage est présenté en disant:il aime ceci, il n'aime pas cela...

Etant débutant, j'ai eu cette idée pour voir ce qui rebute les gens en matière de technique, ou au contraire ce qui les inspire. On peut parler de tout ce qui à un rapport avec la magie: livres, techniques, DVD, magicien... Bon,ben comme je lance le sujet, je commence!

J'aime: les cartes, B Billis,D Duvivier et Daryl.

j'aime:le tour des mélange du monde ( Billis n°3, merci Kaltewn et Dumas!), une bonne slip cut, le flegme de M. Ammar.

j'aime pas: les LD et LT(!), le top change et le demi saut de coupe (on a le droit de l'écrire en clair?)

j'aime: voir la surprise sur le visage du spectateur (comme vous tous je pense)

j'aime pas: avoir la tremblotte avant de commencer une séance de carte!

j'aime: faire "twisting the aces", et le réussir, malgré les 2 LT.

j'aime pas: quand le spectateur n'a rien suivi au tour, et qu'au moment du climax il vous regarde en pensant:"c'est quoi ce tour pourri..."

J'aime: faire de la magie pour des enfants (pas tous...), car ils croient vraiment que vous avez des pouvoirs de magiciens, et ils ne cherche pas à comprendre le truc.(je le répète: pas tous!)

voila, au suivant.

edit: vous hésitez à vous lancer? A quoi sert ce sujet, vous dites-vous? Pourquoi pas à décomplexer le débutant, recueillir des impressions, des témoignages, des encouragements...à mieux se connaître. Aller, courage!

Modifié par meeclin

les femmes viennent de Vénus...les hommes mangent des mars. (MC Solaar)

http://img24.imageshack.us/img24/2715/jeuo.jpg

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Publié le

J'aime: croire qu'un jour je serais un bon magicien,

J'aime: la magie simple mais efficace,

J'aime pas: la technique pure et dure,

J'aime: regarder d'autre magicien,

J'aime: quand un autre magicien me bluf et que moi aussi je ne comprend rien!

J'aime bien: Duvivier, Daryl et Boris Wild. :grin: :grin:

Publié le

J'aime: la magie purement visuelle

J'aime pas: ces put... de balles en mousse, les tours "cérébraux" (je coupe le jeu en 23 paquets de 2 cartes, puis je rajoute les autres en 28ème position, ensuite je compte 42 cartes que je soustrais...)

J'aime bien: Jeff McBride, Armando Lucero, Rafael, ...

Je DETESTE: Criss Angel (hé ouais, y'en a tongue.gif)

Publié le

J'me lance....

J'aime : Duvivier, Mullica, Daryl, Malone...

J'aime : Le close up au grandes illusions

J'aime : Regarder un bon magicien de Close up

J'aime : Etre bluffé

J'aime pas : David Roth (bein vi, j'ai le droit)

J'aime pas : Les chorégraphies chiantes en Magie

J'aime pas : Le mentalisme

Publié le

A moi!

J'aime la magie flash!

J'aime pas les potiches en string qui se dendinent lors d'une GI trop longue!!!!!!!!

J'aime les mises en scenes hilarantes(cf:Mickael Kent)

J'aime pas les Faros et autres tours mathematiques!

J'aime pas les cordes!

J'aime rester sur le cul!!!!!

J'aime la technique pure,propre!!

Et surtout j'aime VM.

"C'est dans sa forme pure qu'un art frappe fort." [Robert Bresson]

Publié le

JE me RE-Lance....

J'aime : les cartes, les pièces, le mentalisme

J'aime : Le close up, la scène, la sculpture de ballons

J'aime : Patrick Sébastien, , M6, Christian Chelman et mes amis

J'aime : Etre bluffé

J'aime : les Khanars

J'aime pas : les sondages à la Khon

J'aime pas : Les G.I. chiantes aves de jolies filles et juste un string

J'aime pas : les imposteurs et les glandeurs

Zéb ? parce que c'est bien !

Publié le

J'aime, la magie (pas mal pour un début)

J'aime pas le sdc

J'aime tamariz bloom williamson

J'aime pas les pieces

J'aime faire de la magie n'importe ou a n'importe qui

J'aime les ld, les fp, les choses simples avec impact

J'aime créer des trucs bien.

J'aime pas quand je n'arrive pas a une technique

J'aime m'acharner qur une technique pour la réussir

J'aime pas le débinage

J'aime voir de la belle magie

J'aime pas les GI avec 34 boites

J'aime voir de la belle manipulation de carte tongue.gif

J'aime pas les spectateurs chiants...

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
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