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Quelques nuances après les commentaires très dithyrambiques sur D C...le très grand showman n'est pas en cause, mais l'usage de la vidéo dans les shows télévisés : Ex : le flying en très gros plan dans une émission antérieure: impossible sans un travail type photo shop de l'image...dans le show récent, par ex la scène "le voyeur" , très bien filmée certes, mais on nous laisse penser que la scène est entourée au moins des trois côtés par les spectateurs qu'on aperçoit d'ailleurs sous le banc avant la disparition des girls derrière un voile, élevé seulement devant elles côté caméra: impossible dans ces conditions...autre ex: la prise des poisons rouges ? A regarder image par image...

Vos opinions ?

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Qu'est-ce qu'elle a la prise des poissons rouges ???????? Je te la fait quand tu veux !

Je fais justement une apparition d'un poisson rouge dans un verre mais avec une autre méthode, j'ai trouvé la methode de DC très clean, je me suis entrainé et j'y arrive tout à fait (avec qu'1 seul poisson...parce que le mien est un peu gros), je suis donc sur qu'il n'y a pas de "montage" comme tu le prétends ! :mad:

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Je précise ma pensée : Je n'ai pas parlé de "montage" mais d'utilisation de la vidéo,(pas d'arrêt sur image etc..) Sur l'ex des poissons, le truc est construit pour un spectateur immobile, borgne,( pas de perspective ) en plan américain qui facilite pas mal les charges ! ( hors cadre dès que la main descend le long du corps)...la main gauche qui avance bloque ainsi tous les angles...ce ne sont donc pas des conditions de close up standard pour le moins ! Il n'en reste pas moins que c'est très parfaitement fait et que DC est certainement un grand magicien dont le génie consiste aussi à utiliser toutes les techniques pour créer les spectacles les plus bluffants :avantage des écrans géants pour le close up de scène...vos opinions sur le voyeur m' intéressent ?

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Un des problèmes du show télévisé est que ce n’est pas ce que l’on verra exactement sur scène. Le tour de l’illusion de Steve Fearson « Cut in Half » n’est pas aussi spectaculaire en salle qu’à la télé. Si l’on voit le show TV puis le spectacle en salle, sera-t-on déçu pour autant ? Le but de l’émission télévisuelle qui passe quelques mois avant la tournée, c’est uniquement de la promotion ! Il y a un siècle, les magiciens faisaient placarder des affiches promotionnelles avec des images « extraordinaires » enjolivées dans le but d’aller voir le spectacle ! Aujourd’hui, c’est la télé … Le magico que nous sommes pourrait parfois en être décu mais le professionnel qui vend son spectacle a ses raison !

« En général dès qu'une chose devient utile, elle cesse d'être belle » - Théophile Gautier

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enfin cut in half sur scene... heureusment que j'étais dans les 10 premiers rang, sinon c'est peu de luminosité et beaucoup de fumé... c'est comme "Hawaï", le tour en live est quand même magnifique mais j'ai compris pas mal de truc en ayant vu auparavant 10 fois la version US avant de venir, en live le M. Copperfield change certaines choses... ça reste tout autant magnifique et impressionnant.

Il y a 5 ans sur son site internet, on pouvait s'inscrire à un concours en décrivant notre rêve le plus cher et le lieu ou on voulais le réaliser n'importe où dans le monde. On aurait pu dire : bourcagneux sur garonne, Perros guerrec, la souterraine, et encore pas mal de lieu tres typique... Mais non !!!!! sur toute sa tournée mondiale, ils ont tous voulu partir à Hawaï et sur la même plage en plus ! le Hasard fait bien les choses !

On dira... mais le marketing à l'américaine c'est quand meme pas mal !

Chapeau David !

MAGIX Cyril

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"Montélimar c'est le nougat, et Montcuq c'est du poulet ?"

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J' insiste !!! Y a t-il des VM qui s' intéressent aux GI, et même qui en ont une expérience concrète, qui pourraient donner leur opinion sur les conditions "impossibles" (?) de la disparition des deux girls dans la scène "Le voyeur" ? A titre de comparaison, les deux effets vus dans les précédents shows télé et à Paris :le "cocon" je crois: permutation instantanée de DC et d' une girl sous un voile réalisé à l' identique sur scène, et dans une autre scène la disparition d'une girl sous un voile rouge après ashrah vertical, le voile se retournant sur lui-même de façon incroyable avant de retomber, également reproduit à l' identique au palais des congrès...En termes de marketing, il y a à mon avis une différence assez fondamentale entre montrer un spectacle vraiment réalisé sur scène, même très bien filmé, et une autre approche qui serait de le "prétendre" alors qu'en fait le truc n' est pas réalisable (?) dans les conditions du film présenté, dans l'exemple du "voyeur" : entouré par les spectateurs ....

Merci de vos commentaires

Publié le

En fait de ce que j'ai vu de voyeur sur scene, toujours pareil c'est super différent de la version tv. La disparition sur la table se fait d'apres ce que j'ai vu avec un FN (par pitié merci de ne pas comprendre front national). Et ce n'est qu'apres que les femmes aient disparu de la table que le lit apparait provenant de l'autre coté des coulisses. La réaparition avec le drap qui prend forme sur le lit je la trouve plus clean à la télé qu'en live, on va dire qu'on entend des bruits suspects sur scene malgres la musique...

Perso j'y connais pas grand chose en grande illusion pour pas dire rien du tout par rapport a ceux qui en pratiquent régulièrement.

Voila ce que je peux en dire...

MAGIX Cyril

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"Montélimar c'est le nougat, et Montcuq c'est du poulet ?"

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    • Je crois surtout qu’une telle accumulation d’affirmations toutes plus invraisemblables les unes que les autres les feraient ricaner, s’ils en avaient cure.    J’ai déjà évoqué cela. Un exemple ici :  Par ailleurs Christian Delamorinière habituellement si « prompt » (c’est le cas de le dire) à dégainer une IA pour répondre à sa place lorsque ça l’arrange, ne fait pas ici cet « effort » dès lors que ça pourrait ne pas abonder dans son sens, exemple avec ce que peut relever ChatGPT du point de vue des éléments scientifiques sur cette affaire (qui pour moi je le précise n’en est pas une, à part l’analyse sociologique intéressante qu’on peut faire sur les croyances et la crédulité humaine) : ChatGPT : « Je vais te donner, de façon structurée et rigoureuse, les éléments scientifiques (tests, observations, preuves historiques et limites méthodologiques) qu’on peut invoquer pour soutenir l’hypothèse non-miraculeuse concernant l’image de Notre-Dame de Guadalupe. Je cite les travaux et rapports clés pour chaque point (les cinq affirmations les plus importantes sont sourcées). Résumé rapide (une phrase) : Les enquêtes historiques et techniques existantes montrent des indices compatibles avec une fabrication ou des retouches humaines (présence de pigments et retouches, témoignages d’experts-restaurateurs, preuves documentées d’altérations et d’interventions), et aucun test non-contredit et irréfutable n’a démontré une origine « surnaturelle ». 1) Matière du support et conservation — pourquoi la “longévité inexplicable” n’est pas une preuve suffisante Analyses historiques identifient le support comme une tilmatli / tissu composé (traditionnellement ixtle = fibre d’agave) mais certaines études postérieures ont trouvé des fibres plus stables (lin/coton) ou mélange. Les fibres d’agave « pures » se dégradent normalement en quelques décennies dans le climat de Mexico — l’existence d’un tissu intact depuis ~1531 exige donc une explication (restaurations, protection, remplacements partiels, conditions favorables), pas automatiquement un miracle. Faits documentés qui expliquent partiellement la conservation : image protégée derrière verre blindé, changements d’éclairage et de contrôle climatique au XXᵉ siècle, interventions de restauration historiques (nettoyages, ajout de cadre, etc.). Ces mesures réduisent l’argument « ça n’aurait pas dû survivre ». 2) Preuves de retouches, additions et interventions historiques Documents et enquêtes (rapports de peintres en 1751, note d’un restaurateur en 1946, rapport de José Sol Rosales en 1982) signalent retouches visibles (ajout/suppression de la couronne, placages d’or/argent sur certains éléments, retouches locales). Ces interventions humaines montrent que l’image a subi modifications — ce qui affaiblit l’argument que l’ensemble de l’image est « intacte et miraculeuse ». Incidents historiques (taches d’acide en 1791, explosion d’une bombe en 1921, déplacements/encadrements multiples) sont attestés et documentés ; l’existence de copies et de manipulations rend plausible qu’au fil du temps on ait effectué réparations/restaurations. 3) Analyses pigmentaires et techniques (ce qu’on sait / ce qu’il faudrait) Tests publiés (examens visuels, microscopiques, photos infrarouges) ont montré des zones retouchées et, selon certains experts, des pigments et une préparation compatibles avec des techniques humaines (tempera/tüchlein). L’étude infrarouge de Philip Serna Callahan (1979–1981) n’a pas trouvé d’explication miraculeuse pour la conservation des zones « originales », mais a identifié des retouches visibles et des différences de matière. Méthodes scientifiques rigoureuses à appliquer (ou dont l’absence est critique) : cartographie non destructive (XRF, hyperspectral imaging), micro-spectroscopies (Raman, FTIR), SEM-EDS pour composition élémentaire, analyses de couches (micro-stratigraphie) et datation AMS (radiocarbone) sur fibres non-essentielles. Si ces tests montrent pigments, liants et stratigraphies compatibles avec peinture humaine du XVIᵉ siècle et/ou matériaux introduits plus tard, cela supporte fortement l’origine humaine. À ce jour, il n’existe pas de publication largement acceptée présentant un jeu complet, moderne et indépendant de ces analyses sur l’ensemble de l’objet (ou du moins ces données ne sont pas toutes publiques). 4) Études sur les « reflets » dans les yeux et pareidolie Certaines études ont affirmé trouver des « images » miniatures dans les yeux (figures des témoins). Les critiques scientifiques montrent que ces images sont très faibles, sujettes à pareidolie (reconnaissance d’images dans des taches) et que l’interprétation n’est pas reproductible ni robuste : ce type d’« evidence » n’a pas de valeur probante forte en l’absence d’une méthodologie statistique stricte. 5) Approche historique et iconographique L’enquête historique (relevés, témoignages du XVIᵉ–XVIIIᵉ siècle, débats entre religieux) montre que depuis le début il y a eu des accusations que l’image était peinte par des humains (témoignages citant un peintre « Marcos/Marcial » au XVIᵉ siècle). Les rapports d’experts en peinture (1751) et les analyses iconographiques modernes fournissent des alternatives historiques plausibles à l’explication miraculeuse. Ce qu’il faudrait pour “prouver” de façon scientifique qu’il n’y a pas de miracle (critères de rigueur) : Pour renverser définitivement l’attribution miraculeuse (dans une logique scientifique), il faudrait un jeu complet et public d’analyses reproductibles, indépendantes et multi-modalités : Datation directe (AMS radiocarbone) d’un fragment de la fibre (ou d’un fil marginal non essentiel) — établir l’âge du support. Cartographie chimique non destructive (XRF, hyperspectral, FTIR, Raman) couvrant l’ensemble pour lier pigments/éléments à matériaux connus. Analyses micro-stratigraphiques (coupe en section microscopique) montrant couches de préparation, liant, pigments et retouches datables. Contrôle de l’altération (analyses de dégradation) pour comprendre pourquoi certaines zones sont conservées. Publication complète et revue par pairs permettant reproduction et critique. Absence d’un de ces éléments (surtout l’absence d’AMS daté ou d’un jeu public et indépendant d’analyses) signifie que l’argument « inexplicable scientifiquement = miracle » est méthodologiquement faible. Limites et mise en garde méthodologique Accès et échantillonnage : la basilique contrôle très strictement l’accès — procédures invasives (prélèvement pour AMS, micro-coupe) sont politiquement et religieusement sensibles; l’absence de tels prélèvements limite les conclusions définitives. Preuves négatives : montrer que l’on ne voit pas d’explication naturelle complète n’est pas la même chose que prouver un miracle. La charge de la preuve scientifique pèse sur celui qui affirme l’exceptionnel. Interprétations contradictoires : plusieurs études (et auteurs) arrivent à conclusions différentes selon méthodes, expertise et déclarations. Il faut privilégier analyses reproductibles et données ouvertes. Conclusion synthétique (ce que la science rigoureuse peut raisonnablement soutenir aujourd’hui) Il existe des preuves historiques et techniques d’interventions humaines (retouches, ajouts, nettoyage, modifications documentées). Des études techniques (photos IR, examens microscopiques, analyses conservatoires) ont identifié des pigments et des signes compatibles avec un travail humain sur au moins une partie de l’image. L’argument « la tilma aurait dû se décomposer » perd de sa force quand on tient compte des matériaux identifiés, des interventions historiques et des mesures de conservation. Il n’y a pas (à ma connaissance, dans la littérature publique et peer-critique) de série complète et indépendante d’analyses modernes et invasives qui établissent irrécusablement une origine miraculeuse ; inversement, il existe des analyses et arguments plausibles en faveur d’une fabrication ou de retouches humaines. »   Lequel ? La Bulgarie ? 
    • Merci beaucoup @Sébastien MACAK (Splitter). 🙏
    • Apparitions de Guadalupe : des preuves matérielles qui désarment la science :  
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