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bonjour je voudrais intégrer à mon répertoire une ou deux routines de balles en mousse seulement je ne sais pas trop combien il faut que j'en achète (est ce qu'elles usent rapidement ou pas ?) ni vers lesquels me tourner (qu'elle tailles,marques seront mieux 1'' ou 2'' ?)

Et aussi comment les conserver pour quel reste le plus malléable possible ?(j'ai vu qu'elle était vendu sans boîte).

Ayant la carte prestige chez MDT je n'achèterai que chez Ludo alors merci à vous pour vos futurs précieux conseils.

Rien n'est miraculeux. Si l'on apprend ce que sait le magicien, il n'y a plus de magie.

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Alors je te recommande 1 boite de Super-soft 1.5 inch rouge

1 boite de Super-soft 1.5 inch autre couleur

1 boite de Super-soft 2 inch rouge

prend les goshman en boite de 4

Keep cool & pense a un objet du quotidien mais pas une maison ... un soleil ou un bonhomme ;) 

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Les "standard" sont les Super-soft rouge 1.5 inch rouge.

Elles sont habituellement vendu en boite de 4, ce qui est parfait vu que les routines utilisent soit 2 ou 3 balles généralement. Tu peux te permettre d'en perdre une ou deux comme ça (cela m'arrive parfois vu que cela ne fait pas de bruit quand cela tombe...)

Et je viens de voir que chez Ludo elles n'étaient pas vendu avec la boite... C'est un peu étonnant tout les commerçant ou presque propose les Goshman (balle mousse de qualité) avec leur petite boite en carton qui est assez pratique (pour ranger dans une mallette notamment).

Pour l'usure... oui c'est du "consommable" mais cela peut te tenir un bon bout de temps... Je les perd plus que je ne les uses perso...

(Remarque: j'en ai acheté des jaunes une fois, elles se sont salis très vite et galère à avoir leur belle couleur du début... , mais avec les traditionnelles rouge il n'y a pas ce soucis).

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Oui pour les boites je trouve cela ennuyeux aussi.

Tout les deux vous me parler des 1.5 inch ce qui est gênant car chez MDT il n'y a que des 1 ou 2 inch mais bon je pense que je vais prendre 8 Balles Goshman super-soft 2".

Rien n'est miraculeux. Si l'on apprend ce que sait le magicien, il n'y a plus de magie.

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Tu peux aussi commander ailleurs, je commande chez un peu tout le monde ça dépend des produits pour les balles mousses c’était chez un marchand parisien dont le prénom est Damien et qui est le créateur d'un contrôle de carte ;)

Keep cool & pense a un objet du quotidien mais pas une maison ... un soleil ou un bonhomme ;) 

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Après moi je pense que les balles mousses le mieux c'est d'aller voir en magasins. De les toucher voir la différence entre soft et super soft. Voir la taille qui te conviens à toi etc. Une vois que tu as trouvé ton bonheur tu pourras recommander toujours la même référence.

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    • ChatGPT : Les études historiques et techniques disponibles révèlent bien des retouches et interventions humaines, mais elles laissent le cœur de l’image (visage, mains, robe, manteau) dans une zone largement inexpliquée techniquement, sans consensus scientifique pour en faire une peinture ordinaire. 1) Support et conservation : une longévité qui reste anormalement remarquable      Pendant des siècles, la tilma a été exposée sans protection moderne : fumée de milliers de cierges, humidité, poussière, manipulations directes des pèlerins ; malgré cela, la partie centrale de l’image reste étonnamment fraîche, sans craquelures, alors que les ajouts (dorures, lune, etc.) se sont nettement détériorés.      Les restaurations et le verre blindé du XXᵉ siècle expliquent la bonne conservation récente, pas la survie initiale dans des conditions normalement destructrices. 2) Retouches et ajouts : oui… mais précisément où ?      Les documents historiques, les restaurateurs modernes et les examens IR convergent sur un point : il y a eu des retouches humaines (couronne, lune, angelot, certains rayons, dorures), ces éléments montrent des craquelures, des écaillages, un vieillissement normal, alors que le noyau de l’image (visage, mains, tunique, manteau) ne présente ni craquelure typique, ni pelade de peinture, ni vernis protecteur.      Les retouches démentent l’idée d’une image jamais touchée, mais elles soulignent aussi une différence de nature entre : ce qui est manifestement humain et fragile, et le cœur de l’image qui reste anormalement stable et techniquement singulier. 3) Pigments et technique : un dossier loin d’être “pro-peinture ordinaire”      L’étude infrarouge de Callahan et Smith (1979–1981), largement citée, aboutit à cette conclusion pour le motif central : aucun sous-dessin, aucune couche d’apprêt (sizing), aucun vernis, la trame même du tissu utilisée pour donner la profondeur, luminosité et stabilité de couleurs jugées “inexplicables” par les techniques artistiques connues.  4) Reflets dans les yeux : ni preuve de miracle, ni argument “anti-miracle”      Scientifiquement, on peut dire : ces “reflets” sont trop discutés et trop dépendants du traitement d’image pour fonder une preuve solide, mais cela ne devient pas pour autant une “preuve” contre le caractère exceptionnel de l’image : c’est juste une zone d’arguments faibles dans les deux sens. 5) Histoire et iconographie : le “peintre Marcos” ne clôt rien      Oui, certains textes plus tardifs (XVIIᵉ–XVIIIᵉ s.) évoquent un peintre nommé “Marcos” ou “Marcial” et servent de base à l’hypothèse d’une fabrication humaine. Mais : ces sources apparaissent dans un contexte de polémiques internes (conflits entre ordres religieux, débats sur la piété populaire), et on n’a aucun document direct de commande, de paiement, de contrat, ni d’atelier associé à ce prétendu peintre.      A l’inverse, il existe des sources nahuatl anciennes (comme le Codex Escalada, daté du XVIᵉ siècle) et une tradition indigène qui présentent l’image dès le départ comme liée à un événement miraculeux et à une dévotion massive. Conclusion en mode très simple      La science pointe plutôt vers ‘non miraculeux’ et ne trouve rien de vraiment inexplicable. Une lecture plus équilibrée des mêmes données dit plutôt : Il y a des retouches humaines évidentes, mais le cœur de l’image et la conservation du support restent objectivement déroutants, et les études sont trop partielles et contradictoires pour qu’on conclue sereinement ‘tout est banal’.      Au final, ce n’est pas la science qui “désacralise” Guadalupe. La science dit surtout : “cet objet est très inhabituel, nous ne comprenons pas tout.
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